Problème d’hypersensibilité
Problème d’hypersensibilité
Bonjour,
Voilà depuis quelque temps je remarque que mon hypersensibilité reprends le dessus, je n’arrive plus à contrôler mes émotions. Dès la moindre chose qui me concerne j’éclate en sanglots et je m’enerve au fond de moi, sauf que ça m’apporte préjudice au travail par exemple. Je souhaiterai juste pouvoir réussir à me maîtriser sur le moment. Avez vous des conseils pour arriver à m´aitriser ces pleurs ?
Merci beaucoup
Voilà depuis quelque temps je remarque que mon hypersensibilité reprends le dessus, je n’arrive plus à contrôler mes émotions. Dès la moindre chose qui me concerne j’éclate en sanglots et je m’enerve au fond de moi, sauf que ça m’apporte préjudice au travail par exemple. Je souhaiterai juste pouvoir réussir à me maîtriser sur le moment. Avez vous des conseils pour arriver à m´aitriser ces pleurs ?
Merci beaucoup
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- Messages : 15
- Inscription : 28 janv. 2019, 11:10
Re: Problème d’hypersensibilité
Bonjour,
Tu es quelqu’un de sensible c’est ton caractère c’est comme ça. Le nier t’aideras pas forcément.
Après tu peux quand même essayer de prendre du recul sur les situations qui te touchent et t’en éloigner. Il faut que tu te dises que quoi qu’il se passe c’est comme ça et pas contre toi. As tu des exemples à donner ça serait plus facile ?
Tu es quelqu’un de sensible c’est ton caractère c’est comme ça. Le nier t’aideras pas forcément.
Après tu peux quand même essayer de prendre du recul sur les situations qui te touchent et t’en éloigner. Il faut que tu te dises que quoi qu’il se passe c’est comme ça et pas contre toi. As tu des exemples à donner ça serait plus facile ?
Re: Problème d’hypersensibilité
L’hypersensibilité n’est pas un diagnostic, c’est une caractéristique qui doit s’interpréter dans un cadre plus large, en tenant compte de la personne dans sa globalité. Cela est dû la plupart du temps du temps a des problèmes de cognition qui se soignent par la TCC ou les TIP.
Il est parfois difficile de s’adapter à ce monde trop bruyant, que vous percevez rempli d’égoïsmes et d’autres doubles intentions.
Les personnes hypersensibles peuvent percevoir ce que les autres ne perçoivent pas, et le vivre si intensément que le monde leur présente alors un éventail de réalités qui échappent aux autres.
D’une certaine façon, elles portent des «lunettes invisibles» qui leur font voir le monde différemment, avec un coeur plus ouvert, mais aussi plus vulnérable.
les personnes hypersensibles disposent d’un cerveau émotionnel doté d’une grande empathie. Ils sont pleinement orientés vers la «sociabilité» et l’union avec leurs semblables.
En d’autres termes, les processus cérébraux des personnes hypersensibles se traduisent par une surexcitation dans les zones neuronales relatives aux émotions et à l’interaction.
Elles sont capables de déchiffrer et de deviner les sentiments des personnes qu’elles ont en face d’elles. Mais, dans le même temps, elles ont à gérer un problème très simple… les autres ne font pas preuve de la même empathie. Il y a donc un déséquilibre évident entre la sensibilité des personnes hypersensibles, et celles des personnes qui ne le sont pas. «Elles se considèrent comme étant différentes».
Les chercheurs ont exposé ces personnes à différents stimuli, afin d’observer l’activité biochimique qui s’opère dans les différentes structures cérébrales.
Les résultats ont été très concluants, et plus particulièrement à deux niveaux :
1) Les neurones miroirs
Ils remplissent une fonction sociale, étant surtout présents chez les humains et chez les primates.
Situés dans le cortex frontal inférieur du cerveau et très proches de la zone du langage, les neurones miroirs sont plus particulièrement liés à l’empathie et à notre capacité à capter, traiter, et interpréter les émotions des autres.
Chez les personnes hypersensibles, leur activité est continue et très marquante depuis l’enfance.
2) L’insula
L’insula est une petite structure cérébrale logée très profondément dans notre cerveau. Située dans le cortex insulaire, elle est liée au système limbique, une structure basique dans nos émotions qui nous apporte cette vision plus subjective et plus intime de la réalité.
C'est en quelque sorte «le siège de la conscience», puisqu’elle réunit la majeure partie de nos pensées, intuitions, sentiments et autres perceptions de tout ce que l’on peut vivre.
Cette étude montre également qu’en plus d’être réceptives aux stimuli visuels liés aux visages humains et aux émotions, les personnes hypersensibles sont également très réactives à de nombreux stimuli physiques, tels que les lumières intenses ou les sons forts.
Cela active chez elles les structures cérébrales relatives à la douleur.
Les personnes hypersensibles ont une façon de ressentir et de comprendre le monde qui passe par un système neurosensoriel plus pointu, plus fin. Ce n’est pas ce qu’elles ont, mais c’est ce qu’elles sont.
Restez courageux(e) et mettez " ce don " en faits concrets " créatifs " : l'écriture, la peinture, la musique, la sculpture des études sur les arts, l'apprentissage de la danse, le théâtre, par ex. Et sur le plan professionnel, tout ce qui touche à la psychologie.
Ne restez pas cantonnée à la seule appellation, allez vers une profession ( il n'est jamais trop tard ) pour vous familiariser avec des techniques vous permettant de canaliser vos émotions. Si vous apprenez à vous maintenir dans le " cadre rigoureux " du silence et de l'écoute de l'autre, vos potentialités feront des miracles, et loin de vous épuiser psychiquement, vous ressourceront sans cesse. Ne vous permettez pas de gâcher cette grâce dans des états louvoyant avec une complaisance pour les bénéfices secondaires de la plainte, ou vous maintenant dans des états pseudo-dépressifs.
Il est parfois difficile de s’adapter à ce monde trop bruyant, que vous percevez rempli d’égoïsmes et d’autres doubles intentions.
Les personnes hypersensibles peuvent percevoir ce que les autres ne perçoivent pas, et le vivre si intensément que le monde leur présente alors un éventail de réalités qui échappent aux autres.
D’une certaine façon, elles portent des «lunettes invisibles» qui leur font voir le monde différemment, avec un coeur plus ouvert, mais aussi plus vulnérable.
les personnes hypersensibles disposent d’un cerveau émotionnel doté d’une grande empathie. Ils sont pleinement orientés vers la «sociabilité» et l’union avec leurs semblables.
En d’autres termes, les processus cérébraux des personnes hypersensibles se traduisent par une surexcitation dans les zones neuronales relatives aux émotions et à l’interaction.
Elles sont capables de déchiffrer et de deviner les sentiments des personnes qu’elles ont en face d’elles. Mais, dans le même temps, elles ont à gérer un problème très simple… les autres ne font pas preuve de la même empathie. Il y a donc un déséquilibre évident entre la sensibilité des personnes hypersensibles, et celles des personnes qui ne le sont pas. «Elles se considèrent comme étant différentes».
Les chercheurs ont exposé ces personnes à différents stimuli, afin d’observer l’activité biochimique qui s’opère dans les différentes structures cérébrales.
Les résultats ont été très concluants, et plus particulièrement à deux niveaux :
1) Les neurones miroirs
Ils remplissent une fonction sociale, étant surtout présents chez les humains et chez les primates.
Situés dans le cortex frontal inférieur du cerveau et très proches de la zone du langage, les neurones miroirs sont plus particulièrement liés à l’empathie et à notre capacité à capter, traiter, et interpréter les émotions des autres.
Chez les personnes hypersensibles, leur activité est continue et très marquante depuis l’enfance.
2) L’insula
L’insula est une petite structure cérébrale logée très profondément dans notre cerveau. Située dans le cortex insulaire, elle est liée au système limbique, une structure basique dans nos émotions qui nous apporte cette vision plus subjective et plus intime de la réalité.
C'est en quelque sorte «le siège de la conscience», puisqu’elle réunit la majeure partie de nos pensées, intuitions, sentiments et autres perceptions de tout ce que l’on peut vivre.
Cette étude montre également qu’en plus d’être réceptives aux stimuli visuels liés aux visages humains et aux émotions, les personnes hypersensibles sont également très réactives à de nombreux stimuli physiques, tels que les lumières intenses ou les sons forts.
Cela active chez elles les structures cérébrales relatives à la douleur.
Les personnes hypersensibles ont une façon de ressentir et de comprendre le monde qui passe par un système neurosensoriel plus pointu, plus fin. Ce n’est pas ce qu’elles ont, mais c’est ce qu’elles sont.
Restez courageux(e) et mettez " ce don " en faits concrets " créatifs " : l'écriture, la peinture, la musique, la sculpture des études sur les arts, l'apprentissage de la danse, le théâtre, par ex. Et sur le plan professionnel, tout ce qui touche à la psychologie.
Ne restez pas cantonnée à la seule appellation, allez vers une profession ( il n'est jamais trop tard ) pour vous familiariser avec des techniques vous permettant de canaliser vos émotions. Si vous apprenez à vous maintenir dans le " cadre rigoureux " du silence et de l'écoute de l'autre, vos potentialités feront des miracles, et loin de vous épuiser psychiquement, vous ressourceront sans cesse. Ne vous permettez pas de gâcher cette grâce dans des états louvoyant avec une complaisance pour les bénéfices secondaires de la plainte, ou vous maintenant dans des états pseudo-dépressifs.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Problème d’hypersensibilité
Mais comment expliquer une réaction si exagérer à l’an personne en face qui comprends pas ?
Par exemple, mon colloborateur arrive et me dis Sunil faut faire si et ça, rien d’anormal, me reproche certaines choses, et au lieu de l’accepter comme je fait d’habitude je m’effondre complètement..
Je vous remercie pour vos réponse
Par exemple, mon colloborateur arrive et me dis Sunil faut faire si et ça, rien d’anormal, me reproche certaines choses, et au lieu de l’accepter comme je fait d’habitude je m’effondre complètement..
Je vous remercie pour vos réponse
Re: Problème d’hypersensibilité
Bonjour
j'ai ce problème d'hyper sensibilité !!! la solution je l'ai pas mais le conseil : c'est respirer un grand coup se relaxer ! et si une personne veut me confier un "truc lourd" avec de l'aide j'ai appris à dire non ! j'étais une éponge ! là ca va un peu mieux
voilà
lisadeparis
j'ai ce problème d'hyper sensibilité !!! la solution je l'ai pas mais le conseil : c'est respirer un grand coup se relaxer ! et si une personne veut me confier un "truc lourd" avec de l'aide j'ai appris à dire non ! j'étais une éponge ! là ca va un peu mieux
voilà
lisadeparis
Re: Problème d’hypersensibilité
Oupsss ! je crois que j'ai posté à la place d'un pyschologue
je connais pas ce site ! on peut poster son problème mais seul un psy répond ou entre membres du forum ?
Merci de me répondre
LisaDeParis
je connais pas ce site ! on peut poster son problème mais seul un psy répond ou entre membres du forum ?
Merci de me répondre
LisaDeParis
Re: Problème d’hypersensibilité
Tous les internautes peuvent demander, répondre, ce forum est à eux. Le psy ne répond pas automatiquement, c'est selon sa visite sur le site, le temps qu'il dispose, ou encore un sujet où il sait qu'il peut apporter une réflexion qu'il souhaite pertinente ( !!! )
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Problème d’hypersensibilité
Pour" cerner " un peu plus l'hypersensibilité, faire une prise de sang qui peut dévoiler un trouble thyroïdien, un manque de vitamines ou toute autre carence qui agit sur le comportement.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Problème d’hypersensibilité
Je suis hypersensible et hypermémotive. Je l'ai toujours éte. Il a fallu une relation et une rupture douloureuse , le suivi d'un psy, pour que je l'accepte enfin...et ça va mieux, beaucoup mieux.
Je sais surtout mettre des limites pour me protéger et je fais clairement la différence de ce qui m'appartient de ce qui ne m'appartient pas. Et puis je sais lâcher prise.
Et surtout aujourd'hui, je peux clairement dire à quelqu'un qui abuse de mon empathie (ça j'peux pas m'en défaire )que je ne suis pas un paillasson.
Le syndrome du "sauveur" m'a quittée et je reste vigilante pour ne pas qu'il me regagne .
Pour tout ça il m'a fallu travailler dure avec mon psy à raison d'unefois par semaine.
Je sais surtout mettre des limites pour me protéger et je fais clairement la différence de ce qui m'appartient de ce qui ne m'appartient pas. Et puis je sais lâcher prise.
Et surtout aujourd'hui, je peux clairement dire à quelqu'un qui abuse de mon empathie (ça j'peux pas m'en défaire )que je ne suis pas un paillasson.
Le syndrome du "sauveur" m'a quittée et je reste vigilante pour ne pas qu'il me regagne .
Pour tout ça il m'a fallu travailler dure avec mon psy à raison d'unefois par semaine.
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