rien ne va plus....

Forum crise existentielle, mal de vivre
perdue78
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Re: rien ne va plus....

Message par perdue78 »

Dubreuil a écrit :Je vous joins copie d'une expertise que j'ai faite pour une famille nombreuse, que le " Service social " de leur département avait décidé de mettre en AEMO simplement parce que les enfants avaient des difficultés scolaires. Cette situation est devenu un harcèlement moral pour les parents, et par ricochet pour les enfants. Impossible de dire que les enfants allaient bien !!
Au bout de 2ans de batailles, la famille a eut gain de cause…

J'ai mis tout en marche ( thérapie familiale, et thérapie individuelle, etc.…. pour faire taire les services sociaux )
Ceci à titre d'exemple, si vous ne prenez pas garde à la perversion du système social.

Objet
Situation de la mesure d’AEMO pour la famille...
Informations à destination de Mr le Juge des enfants

Mars 2015
Monsieur le Juge des enfants,
le 5 octobre 2013...….. m’ont sollicité pour rencontrer leurs enfants, afin que je sois en mesure de déterminer leurs capacités intellectuelles, psychologiques et psychomotrices.
M. a commencé sa thérapie individuelle le 12 octobre 2013 à raison d’une fois par semaine. S’en est suivi le 19 et 20 novembre 2013 une évaluation psychologique demandée par les parents. ( ci-jointe n°1 )
M.M a commencé sa thérapie individuelle le 9 novembre 2013 à raison d’une fois par semaine. S’en est suivi le 14, 21, et 27 décembre une évaluation psychologique demandée par l’école. ( ci jointe n°2 )
Le 2 novembre 2013, Mr et Mme ont également entrepris une thérapie familiale à raison d’une fois tous les quinze jours
Mr et Mme sont bien conscients de l’handicap de chacun de leurs enfants, et se disent très concernés par l’intégration de la fratrie dans le milieu scolaire et social. A cet effet ils se sont toujours montrés très ouverts en obtempérant aux solutions et conseils proposés et adaptés à la personnalité de chacun.

K, l’aîné des enfants est en internat à l’IME de St.. et bénéficie d’un suivi orthophonique.
M est en CLIS et bénéficie d’une AVS, d’un suivi orthophonique, et d’un suivi psychologique.
M est en grande section maternelle à G et bénéficie d’une AVS, d’un suivi orthophonique, et d’un suivi psychologique. Il rentrera en CLIS à la rentrée prochaine.
J est en 2ème année de maternelle et bénéficie d’une AVS et d’un suivi orthophonique.
Il me paraît important dans l’intérêt de cette famille et surtout des enfants, de vous informer des difficultés engendrées par les interventions inappropriées de la directrice scolaire de Maxence, ainsi que dans les propos de l’éducatrice chargée de faire appliquer la mesure d’AEMO.
Alors que les écoles n’ont pas la formation nécessaire, ni autorité en psychologie et ne peuvent mettre en perspective clinique et statistique les informations d’une expertise psychologique, suite à la réunion du 12 octobre 2014, concernant l’enfant M, la confidentialité de mes observations semble ne pas avoir été préservée. Mes propos ont été manifestement portée d’une façon déformée, et erronée, à la connaissance de l’éducatrice de l’AEMO.
Cette dernière s’est alors présentée au foyer des parents le lendemain de la réunion, avec un questionnement décalé portant sur leur autorité parentale, et sollicitant au mépris du travail thérapeutique et sans m’en entretenir, une rencontre avec l’enfant pour « parler avec lui de ce qui se passe ».
L’éducatrice a donc obtenu connaissance d’éléments confidentiels sans être en mesure d’en faire une interprétation correcte, et au lieu de me contacter pour adopter une démarche respectueuse et cohérente auprès des parents, a interprété la situation de façon inadaptée.
Pourtant, quelque temps auparavant une rencontre avait été prévue entre elle et moi à la mairie pour nous permettre d’harmoniser au mieux nos interventions dans le but commun d’œuvrer à la réassurance des parents et le bien-être de leurs enfants.
Mais alors que Mr et Mme fondaient beaucoup d’espoir dans cette synergie, la responsable du service d’AEMO l’a annulée au dernier moment, considérant que cette ouverture était inutile, chaque professionnel devant rester dans sa spécificité.

A ce préjugé s’ajoute :
Un refus de la directrice scolaire à fournir le cahier de liaison terminé de M pour préparer mon expertise psychologique.
Les remarques alarmistes de l’institutrice sur le comportement de Maxence, ignorant délibérément mes informations et accompagnement à ce sujet.
Un refus de l’AEMO d’harmoniser son discours éducatif en lien avec les désirs et craintes des parents souhaitant établir un climat de confiance avec l’éducatrice.

Si l’éducatrice dépend d’un service qui la place dans un compromis intermédiaire où elle doit à la fois aider les parents, et exercer un contrôle sur eux parce que garant du respect de la décision du juge, dans la pratique elle intervient seule dans une famille pour apporter une aide relationnelle à des personnes qui ne l’ont pas choisie, en tentant de les convaincre de collaborer dans leurs propres intérêts au risque que l’intervention soit vécue comme déstabilisante et menaçante.
Ce qui est le cas pour Mr et Mme.
Alors que la mesure d’AEMO est censée donner aide et conseil aux parents démunis face aux difficultés qu’ils rencontrent dans l’éducation de leurs enfants, ces interventions me semblent être dans l’irrespect total de la mission et ne peuvent que disqualifier le travail thérapeutique engagé, en témoignant d’un mépris évident pour l’engagement psychologique de la famille.

Analyse systémique de la famille

Concernant leurs troubles du langage oral ou écrit, la singularité d’un même faisceau de symptômes retrouvés Chez K, M, M M et J ne peut s’entendre comme relevant uniquement de la façon dont les parents les sollicitent ou les éduquent.
Se situant tout à la fois à l’interface de l’individuel et du social, du psychologique et du sociologique, de l’organique et du psychisme, du pédagogique et du thérapeutique, plusieurs hypothèses doivent être formulées :

L’hypothèse génétique comme la répétition des troubles du langage au sein d’une même fratrie corrélée avec la présence des troubles du langage chez le père ou la mère, ou un membre de la famille éloigné.
Mr et Mme n’ont pas accès à des éléments concernant les troubles de langage éventuels de leurs géniteurs.

L’hypothèse familiale dans les facteurs relationnels avec les parents, où l’enfant se voulant en place comme unique objet d’amour y trouve des bénéfices secondaires importants. Mr et Mme ont engagé une personne en Chèque-emploi-service - ménage, repassage, cuisine - les lundis et vendredis de 17h à 20h et les mercredis de 14h à 20h, afin de partager régulièrement du temps libre familial à la fois tous ensemble et avec chacun de leurs enfants.

La qualité des interactions triangulaires entre père, mère et enfant favorisant l’émergence du langage.
Dans la thérapie familiale Mr et Mme travaillent pour approfondir cette qualité relationnelle avec chacun de leurs enfants.

L’hypothèse du facteur professionnel et socio-culturel généralement identique pour tous les enfants d’une même fratrie pouvant être prépondérant dans les familles à demandes multiples.

L’imitation inconsciente de la fratrie aux troubles de l’aîné, et par ricochet chez les professionnels une plus grande sensibilité aux troubles des cadets.

L’hypothèse institutionnelle, avec le risque d’une famille étiquetée dans le symptôme des troubles du langage, avec un phénomène de pluri-demandes provoquant et/ou entérinant  la pathologie de l’enfant, là où on l’attend.

La dépendance forcée de la fratrie à une prise en charge pluri-disciplinaire rendant incompétents les parents, parce que ne leur permettant plus de mobiliser leurs propres ressources et créativité.

Conclusion

Le résultat des bilans effectués par les enfants K, M, M M et J démontrent chez chacun d’eux un retard comportemental homogène, mais bien différencié, vraisemblablement étranger à une défaillance de la responsabilité éducative des parents.
Les efforts et assiduité de la famille dans le cadre du travail thérapeutique sont également réels et déjà très bénéfiques pour les enfants.
Cependant je constate qu’au lieu d’être accompagnés positivement, Mr et Mme se disent humiliés et épuisés l’un et l’autre de devoir sans cesse se justifier devant l’école et l’éducatrice de l’AEMO, toutes deux s’animant autour de la famille sur de successifs thèmes d’agressions verbales ou décisionnaires.
Ces intervenants ont pourtant une large part de responsabilité dans la situation, ce qui constitue ainsi un grave préjudice s’ajoutant aux éventuelles difficultés psychologiques et relationnelle des enfants, qui ne peuvent vivre cela que comme une déception intense perturbant l’image qu’ils ont de leurs parents, d’eux-mêmes, et de leur relation à l’autre.
Au vu de ce constat et dans l’intérêt des enfants je ne peux que témoigner de la nécessité de mettre un terme à la mesure AEMO.
N’observant aucune situation de danger ni incapacité éducative émanant de la part des parents, si l’AEMO devait perdurer elle serait à mon sens contre-productive, et totalement incompatible avec le travail de thérapie familiale engagé.

Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer, Monsieur le Juge des enfants du TGI de M., l’expression de mes très respectueuses salutations.



Fait ce jour, le 1er mars 2014
merci !
perdue78
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Re: rien ne va plus....

Message par perdue78 »

Bon j'ai eu la psy, elle a trouvé un créneau, donc d'ici la fin aout normalement le bilan sera terminé!
Dubreuil
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Re: rien ne va plus....

Message par Dubreuil »

Souhaitons qu'aucun de ses propos ne soient interprétables négativement.
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perdue78
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Re: rien ne va plus....

Message par perdue78 »

Dubreuil a écrit :Souhaitons qu'aucun de ses propos ne soient interprétables négativement.
Bonjour Madame.

Nous avons vu la psy libérale, c'était la dernière séance du bilan.
J'y retourne samedi prochain pour qu'elle me donne le bilan et en discuter.

Pour elle , ma fille présente des troubles "dys" , et le problème majeure serait une mauvaise compréhension/interprétation au niveau du langage, avec interprétation seulement au 1er degré. Elle a pourtant eu un suivi orthophonique il y a quelques années. Et nous avions consulté un neuro pédiatre qui avait simplement évaluté une petite immaturité. Elle a appris à lire très vite et bien. Donc les consignes dans les exercices ne sont pas comprises par exemple. Scolairement elle est bonne en français, elle écrit très bien et avec peu de fautes, en mathématiques par contre c'est très laborieux.
La psy estime que l'école s'est trop focalisée sur ses pb de comportement plutôt que scolaires. Il est vrai que cette année elle n'a rien fait ni appris, ce que d'autres parents confirment. Avec son père et ma mère nous l'aidons régulièrement à faire ses devoirs mais ce n'est pas encore suffisant d'autant qu'elle n'aime pas l'école ni les devoirs et que cela est source de conflits et de braquages.
La psy malgré son avis négatif sur les CMPP m'invite à poursuivre avec eux en parallèle pour une meilleure prise en charge et à leur communiquer le bilan et faire une demande à la MDPH.
Elle ne la voit pas en 6eme, mais ne la voit pas non plus en SEGPA.

Lui ai expliqué mon sentiment vis à vis de l'ASE et des travailleurs sociaux rattachés (CMPP/MDPH) et elle pense que 1) notre fille n'est pas psychotique 2) nous ne sommes en rien fautifs de ces troubles 3) une reconnaissance de son handicap, si minime soit il, la protégera contre la suspicion des sociaux ainsi que notre famille et recadrera les choses.

J'ai l'impression de tourner en rond, la rentrée en 6eme classique s'approche, et même si on prévient l'équipe éducative scolaire, les sociaux ne sont pas loin, on a une épée de damoclès au dessus de la tête..
Dubreuil
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Re: rien ne va plus....

Message par Dubreuil »

Bonjour, en début de vos posts en parlant de votre fillette vous avez écrit :
- " En parallèle elle a été inscrite au CMPP mais avec les délais d'attente, elle a été prise en charge il y a peu."
Sur quels critères a-t-elle été prise en charge exactement ?
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Dubreuil
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Re: rien ne va plus....

Message par Dubreuil »

Bonjour Madame, suite à cette information :
" La psy malgré son avis négatif sur les CMPP m'invite à poursuivre avec eux en parallèle pour une meilleure prise en charge et à leur communiquer le bilan et faire une demande à la MDPH.
Elle ne la voit pas en 6eme, mais ne la voit pas non plus en SEGPA ", en début de vos posts et parlant de votre fillette vous avez écrit :
- " En parallèle elle a été inscrite au CMPP mais avec les délais d'attente, elle a été prise en charge il y a peu."
Sur quels critères a-t-elle été prise en charge exactement à ce moment là ?
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perdue78
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Re: rien ne va plus....

Message par perdue78 »

Dubreuil a écrit :Bonjour Madame, suite à cette information :
" La psy malgré son avis négatif sur les CMPP m'invite à poursuivre avec eux en parallèle pour une meilleure prise en charge et à leur communiquer le bilan et faire une demande à la MDPH.
Elle ne la voit pas en 6eme, mais ne la voit pas non plus en SEGPA ", en début de vos posts et parlant de votre fillette vous avez écrit :
- " En parallèle elle a été inscrite au CMPP mais avec les délais d'attente, elle a été prise en charge il y a peu."
Sur quels critères a-t-elle été prise en charge exactement à ce moment là ?
J'ai cherché un psy afin de l'aider à gérer ses angoisses suite au problème de harcèlement qu'elle a subit au premier trimestre et l'aider dans sa relation avec les autres. Elle a intégré cette école en mai 2016 (CE2) et tout c'est bien passé (malgré le fait qu'elle n'ai jamais réussi à créer de vraies amitiés). Le CM1 a été bon même si de grosses difficultés en maths sur certains points. Déjà j'avais constaté qu'elle ne répondait jamais aux consignes des problèmes de maths. Mais les devoirs de francais étaient ok. Le maitre était assez sévère mais tout était bien cadré et pas de débordements comme cette année où les enfants étaient livrés à eux même et sans réel apprentissage. Clairement, je pense que ma fille ne fera pas de grandes études, mais elle est capable de continuer une scolarité classique, avec soutien scolaire (parents, voir cours particuliers ou aide aux devoirs à l'école si cela se fait dans son nouvel établissement). Elle marche souvent à l'envie, donc, par exemple si je lui fais faire des opérations, ne serait ce que des additions par exemple, si elle n'a pas envie, elle fera n'importe quoi, et là on a l'impression qu'elle n'a jamais été à l'école de sa vie, et le lendemain si on recommence, elle fera tout parfaitement. J'essaie de la faire lire, mais, cela l'ennuie beaucoup, donc, souvent, je la fais lire à voix haute, et j'écoute, parfois avec sa petite soeur, et je pose des questions. Nous faisons un carnet de mots en l'incitant à chercher dans le dictionnaire. En fait, j'ai compris récemment que lorsqu'elle ne comprenait pas, elle ne demandait jamais d'explications.
Pour info je ne sais plus si je l'ai dis, mais je l'avais emmenée chez un neuropédiatre après notre séparation, car je m'inquiétais de son comportement un peu déconcertant parfois, une immaturité affective a été décelée mais rien d'alarmant ni anormal, on m'a dit de la laisser tranquille et que compte tenu de la séparation, il fallait qu'elle digère.
Dubreuil
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Re: rien ne va plus....

Message par Dubreuil »

D'accord. Je comprends mieux pourquoi la " psy " la présente comme " dys".
Elle l'est certainement.

" La psy malgré son avis négatif sur les CMPP m'invite à poursuivre avec eux en parallèle pour une meilleure prise en charge et à leur communiquer le bilan et faire une demande à la MDPH.
Elle ne la voit pas en 6eme, mais ne la voit pas non plus en SEGPA."
En effet.
Et du fait de ces informations que j'ignorais nous passons dans un autre registre, où se profile simplementune enfant en difficulté scolaire ayant besoin d'un accompagnement spécialisé, avec... le versant facilement " caractériel " du comportement, repris automatiquement en négatif ( manque d'informations ) par les encadrants scolaires.
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perdue78
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Re: rien ne va plus....

Message par perdue78 »

En fait elle a besoin d'être "stimulée" régulièrement, c'est une petite fille qui réclame beaucoup d'attention et d'amour. Donc, si sa maitresse ou son maitre s'occupe d'elle et prend le temps, elle est contente. Si elle voit qu'on se braque, elle se ferme et ça se complique.
A la maison, elle est autonome et a bien intégré la routine de la journée, par ex, s'habiller, prendre son petit déjeuner, se brosser les dents, ranger sa chambre. Elle participe avec plaisir aux taches ménagères et la cuisine, et de plus en plus prend même l'initiative de certaines tâches sans que je ne demande rien. Mais sinon, elle s'ennuie beaucoup et en dehors de sa routine, a dû mal à s'occuper et se tenir à une activité. Il faut en fait être toujours avec elle. Sa petite soeur est plus indépendante, et ça l'agace, elle essaie souvent de jouer avec elle mais ça finit systématiquement en conflit car elle finit par se lasser et faire n'importe quoi.
perdue78
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Re: rien ne va plus....

Message par perdue78 »

Dubreuil a écrit :D'accord. Je comprends mieux pourquoi la " psy " la présente comme " dys".
Elle l'est certainement.

" La psy malgré son avis négatif sur les CMPP m'invite à poursuivre avec eux en parallèle pour une meilleure prise en charge et à leur communiquer le bilan et faire une demande à la MDPH.
Elle ne la voit pas en 6eme, mais ne la voit pas non plus en SEGPA."
En effet.
Et du fait de ces informations que j'ignorais nous passons dans un autre registre, où se profile simplementune enfant en difficulté scolaire ayant besoin d'un accompagnement spécialisé, avec... le versant facilement " caractériel " du comportement, repris automatiquement en négatif ( manque d'informations ) par les encadrants scolaires.
J'avais demandé un redoublement en CM2 (afin de récupérer son retard et grandir en maturité) mais cela n'a pas été possible.
Je ne connais personnellement pas les SEGPA, mais, il me semble qu'elle ne rentre pas dans "ce moule" là non plus d'un point de vue environnemental si je peux me permettre et qu'elle s'y sente bien.

Par rapport aux services sociaux, j'ai vraiment peur de leur réaction parce que entre le CMPP et la MDPH, et la future équipe pédagogique du collège, tout va revenir à leurs oreilles..
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