J'aime les gens au point ou je me pose des questions. Suis-je désaxé..
Voila, je n'ai aucun préjugé. Jusque là, ça va Que la personne soit blanche, brune, rouge, verte, grande, petite, mince, grosse, boutonneuse, timide, intelligente, homo, bi, hétéro, travestis, transsexuelle, intellectuelle, fou, ou bizarre... n'importe comment. Je m'en fou. Je n'ai aucun critère pour aimer ou détester quelqu'un. Je les aimes tous ! Si je pouvais, je les prendrais tous dans mes bras. Certain me dirons Oh wow quelle richesse ! Quelle ouverture ! Quel grand coeur ! Ok... Merci. Mais il m'arrive souvent de me sentir mal de cela. Je n'arrive pas à trouver une barrière la dedans... Je déteste les débats. Je détestes les pour ou les contres. Dans ma tête, tout se peut et tout le monde a une bonne raison pour agit de n'importe comment, que je sois d'accord ou non. C'est là que ça devient problématique. Enfin.. je ne sais trop... J'ai tellement d'ouverture d'esprit, que je serait prête a comprendre un tueur. Un violeur. Un psychopathe. Un n'importe quoi. NON je ne suis pas d'accord avec eux.. mais je me dit que s'ils agissent de la sorte, c'est qu'ils sont malades Que c'est hors de leur contrôle... Je trouve cela tellement triste !!! Personne ne peut me comprendre... je ne parle plus de cela a personne, avant qu'on me traite de folle ou de désaxée. J'ai tellement d'empathie, que ça devient peut-être malsain...
C'est malsain si tu ne sais pas mettre des limites, imposer le respect. De l'autre, mais aussi de toi-même.
On peut aimer la personne, comprendre le "pourquoi" de ses actes, les faits n'en restent pas moins potentiellement condamnables.
Ce n'est pas pour rien que, dans le système pénal, on fait la distinction entre l'acte et l'intention, pour ne pas dire la préméditation.
Si quelque chose s’oppose à toi et te déchire, laisse croître, c’est que tu prends racine et que tu mues. A. de St Exupery - Citadelle Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
[quote="Annabelleeee"]
Mais il m'arrive souvent de me sentir mal de cela.
- Parce que vous ne vous aimez pas. Etre narcissique n'ai jamais voulu dire que c'était un bienfait.
Je déteste les débats. Je détestes les pour ou les contres.
Dans ma tête, tout se peut et tout le monde a une bonne raison pour agit de n'importe comment, que je sois d'accord ou non. C'est là que ça devient problématique. Enfin.. je ne sais trop
- C'est parce que vous êtes encore très immature.
... J'ai tellement d'ouverture d'esprit, que je serait prête a comprendre un tueur.
- Je souhaite que vous n'en croisiez pas un.
mais je me dit que s'ils agissent de la sorte, c'est qu'ils sont malades :( Que c'est hors de leur contrôle... Je trouve cela tellement triste !!! Personne ne peut me comprendre... je ne parle plus de cela a personne, avant qu'on me traite de folle ou de désaxée.
- Ils sont malades, certes, mais en attendant ils sont gravement malades et psychopathes. Comprendre ne sert à rien.
Devenir adulte et vouloir interesser l'autre ne passe pas obligatoirement dans des propos qui nous dépassent.
Et aimer trop.. c'est qu'il y a un quelque chose en " trop ". Quand on aime on aime totalement, mais pas " trop ".
C'est dans ce " trop " que pourrait bien commencer une pathologie.
Réponse totalement inutile. Mais je suis EXACTEMENT pareil que toi. Je te comprends tout à fait. Je ne vais pas m'expliquer moi-même puisque tu as mis des mots parfaits dessus.
Et je suis d'accord, c'est pas COOL, parce que ça en devient vite handicapant : parler de politique (ce qui est quand même de plus en plus courant avec l'âge), c'est même pas la peine. On passe pour quelqu'un sans avis (ce qui au final est assez vrai, puisqu'on peut adopter tous les avis possibles et inimaginables en fonction de tous les points de vus possibles et inimaginables) et limite sans personnalité. Du coup personnellement, je trouve souvent les gens horribles et trop méchants (bah ouais, on vit dans un monde de bisounours nous du coup).
Petits points positifs : on est perméable à toutes les situations, quand des potos s'embrouillent, on trouvera du bon à dire de chacun (et faut l'avouer, on est souvent aimé de presque tous le monde). Enfin bref.
Que ce message ait une petite utilité, je peux te faire part du petit travail que j'ai déjà fait sur ça.
Déjà, je pense tout simplement qu'on a un gros problème de confiance en nous. Parce que ce n'est pas possible de ne pas avoir d'avis concrètement. On a forcément, lorsque l'on sait un minimum de quoi l'on parle, quelque chose vers quoi l'on tend davantage. Ce qui par contre, ne veut pas dire qu'on crache sur les autres possibilités et les autres avis (parce que avoir son avis et renier tous les autres, c'est quand même aussi un problème).
Je crois qu'on nous a certainement pas appris à avoir notre avis et à le donner (à croire en la légitimité de nos avis quoi). Après, je crois aussi que donner sa chance à chaque avis, à chaque personne, et de pas avoir de jugement réducteur, c'est quand même une chance et quelque chose de bon (quand même!). Faut juste pas tomber dans la niaiserie, ça c'est péjoratif, et surtout, ça va pas avec le monde et la plupart des gens qui nous entourent (ça invite à se faire bouffer quoi) [d'ailleurs, je me suis dis pareil que toi pour excuser les gens violents, les tueurs jusqu'à ce qu'un soir, mon groupe de pote et moi nous faisions tabasser par un groupe de mec juste désireux de voir du sang ; depuis je peux trouver des excuses, mais je me suis quand même un peu soignée.]
Personnellement, avec mes études, je me suis retrouvée avec des gens mais bornés comme c'est pas possible, et pour ne pas me faire écraser comme une vieille crêpe, j'ai commencé à m'affirmer un minimum et un m'imposer face à ces gens, rien que pour leur montrer qu'il n'y a pas qu'un avis possible et qu'être fermé comme une huitre, c'est débile.
Alors laaance toi ! Mais en attendant, je suis sûre qu'on est des gens biens à ne pas juger les autres et à tous les "aimer" (parce que quand même, les Césars, les Augustes (pour ne pas prendre d'exemple de géopolitique contemporaine) et tout, ils avaient peut-être grave la classe, mais y a des milliers et des milliers de personnes qui sont mortes juste parce qu'ils se croyaient supérieurs aux autres, et qu'ils voulaient imposer leur mode de vie et tout et tout)! Faut juste rester clairvoyant et ne pas se leurrer non plus : faut être intelligent quoi, et je suis sur que tu l'es!
Voilà, ce message était juste pas mal prétentieux, mais ça m'a fait du bien haha.
Et sinon, je vais en parler à ma psy, et je te dirais plus sérieusement ce qu'en dit un professionnel.
Et je ne pense pas qu'il soit question d'amour. Tu n'aimes pas TROP l'être humain ; tu l'acceptes juste tel qu'il est.
Ce qui n'exclu pas de pouvoir se rendre compte de la valeur de ses actes.
Voilà, ce message était juste pas mal prétentieux, mais ça m'a fait du bien haha.
- C'est vous qui le dites.
Et sinon, je vais en parler à ma psy, et je te dirais plus sérieusement ce qu'en dit un professionnel.
- Ma réponse était professionnelle. C'est bien pour cela qu'elle vous semble inadéquate..
liztomania a écrit :Et je ne pense pas qu'il soit question d'amour. Tu n'aimes pas TROP l'être humain ; tu l'acceptes juste tel qu'il est.
Ce qui n'exclu pas de pouvoir se rendre compte de la valeur de ses actes.
A vrai dire je n'avais pas lu votre réponse avant de publier la mienne. Et en effet, s'il est bien question de trop aimer, cela doit être pathologique.. Elle ne me semble donc pas inadéquate du tout !
Aimer TROP, c'était mon questionnement. Si j'aimais TROP les gens... Mais je constate aujourd'hui que non. Je m'attache aux gens oui, j'aime les écouter et me mettre à leur place... et de la mon questionnement du fait que d'essayer de comprendre un «tueur» pour mieux comprnedre son geste... car justement, c'est insensé de faire un tel geste... mais je me dis que d'aller jusque là... soit que son cerveau est vraiment capoute ou bien que dut a un passé lourd, il est devenu fou... C'est comme si je suis curieuse de comprendre comment un humain est capable de se rendre la... Ca me fascine, mais pas au point d'être daccord ou bien de l'encourager. Burk.. mais jai comme une curiosité du pkoi du comment... C'était plus ca mon questionnement. Je me demandais c'est quoi qui m'amenait a vouloir comprendre les criminelles... Je suis peut etre folle. et oui, c'est peut-être un cas de pathologie.
Que la personne soit blanche, brune, rouge, verte, grande, petite, mince, grosse, boutonneuse, timide, intelligente, homo, bi, hétéro, travestis, transsexuelle, intellectuelle, fou, ou bizarre... n'importe comment. Je m'en fou. Je n'ai aucun critère pour aimer ou détester quelqu'un. Je les aimes tous ! Si je pouvais, je les prendrais tous dans mes bras. Certain me dirons Oh wow quelle richesse ! Quelle ouverture ! Quel grand coeur ! Ok... Merci. Mais il m'arrive souvent de me sentir mal de cela. Je n'arrive pas à trouver une barrière la dedans... Je déteste les débats. Je détestes les pour ou les contres. Dans ma tête, tout se peut et tout le monde a une bonne raison pour agit de n'importe comment, que je sois d'accord ou non. C'est là que ça devient problématique. Enfin.. je ne sais trop... J'ai tellement d'ouverture d'esprit, que je serait prête a comprendre un tueur. Un violeur. Un psychopathe. Un n'importe quoi. NON je ne suis pas d'accord avec eux.. mais je me dit que s'ils agissent de la sorte, c'est qu'ils sont malades 
Que c'est hors de leur contrôle... Je trouve cela tellement triste !!! Personne ne peut me comprendre... je ne parle plus de cela a personne, avant qu'on me traite de folle ou de désaxée. J'ai tellement d'empathie, que ça devient peut-être malsain...
