Vie antérieur

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Antoinelgrn
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Inscription : 11 déc. 2017, 18:52

Vie antérieur

Message par Antoinelgrn »

Bonjour, je vais parler pour la première fois de mes souvenirs ( réel ou irréelle ).
Je m'appel antoine et j'ai 17ans, tout d'abord je vous informe que je suis précoce ( mentalement ) avec un QI de 139 (je précise ça afin de le prendre en compte dans votre réfléxion )
Depuis petit, une image me traverse l'esprit mais je n'y ai jamais prêter attention.
Description de l'image:
Je me trouve au bout d'un couloir à ciel ouvert, avec sur les cotés 4 appartement ( 4 appartement de chaques cotés sont visibles depuis mon point de vus ), j'était dans un immeuble, ( la scampia à naple est la description parfaite de l'immeuble dans lequel je me trouvais ) au bout du couloir, il y a ma grand mère qui sort et me regarde et là , plus rien.
Il y avais des bac à fleur sur les balcons, ma grand mère était sur sa terrasse tout au bout au bout du couloir.
Je précise que je dit " ma grand mère " car je suppose que c'était ma grand mère vu qu'elle me parait vieille.
Une grande émotion indescriptible est présente lorsque je ferme les yeux et que je regarde cette image.
Comme je l'ai dit plus haut, je n'y ai jamais vraiment prêter attention, enfin si mais je n'ai jamais chercher plus loins car j'ai grandis dans une famille où 1+1 = 2.
Il y à 1 ans, j'ai regarder un clip vidéo de rap du groupe PNL. Ce clip était tourné à la scampia.
Comme vous pouvez vous en doutez, mes émotions on pris le dessus et j'ai regarder avec des yeux énorme ce clip une dizaine de fois avant de me liberer l'esprit et d'arreter de la regarder.
Avant, j'avais cette image en tête, mais impossible de donner un nom de ville où mon souvenir s'est passé, jusqu'au jours où j'ai vu ce clip.
Au début du clip, il y à une image de la scampia, que je n'avais encore jamais vu ( antoine ne l'avais jamais vu) et là, j'ai eu une impression de manque mais sans plus.
Pa la suite, dans le clip, la scampia a été filmer à plusieurs endroit et là, j'ai compris que mon souvenir se passe ici.
Je me suis alors demander si mon souvenir n'est pas un souvenir vu à la télé. Je sais que je ne l'ai pas vu à la télé car les émotions sont trop fortes pour être qu'un simple souvenir d'un film ou autre, et si j'avais vu ça à la télé, je ne m'en saurais pas souvenis aussi longtemps et je n'aurais pas eu CETTE émotion étrange lorsque j'ai vu le clip vidéo de PNL tourné à la scampia.
mon souvenir est très précis.
J'aimerais savoir s'il faudrais que j'aille à la scampia afin de trouver la paix avec moi même.
Je pense que je suis mort à ce moment précis, mais sur internet, il n'y à rien qui cite les mort las bas le 7 septembre 2000.
J'aimerais savoir si c'est de la folie, de la bêtise, une souvenir vu à la tv ou une réponse à ma vie.
Depuis toujours, je vois la mort comme la naissance, pour moi la naissance aporte la mort et vice versa, je pense que notre âme intègre un corps et le quitte lorsqu'il est cassé.
J'ai toujours été persuadé de ça et étant d'un famille chrétienne, petit je savais que les dieu n'existais pas, mais j'écoutais attentivement, je n'ai jamais réussi à croire en dieu car dans ma tête c'est claire et net, la réponse est que la naissance apporte la mort et la mort apporte la naissance.
Je suis conscient de beaucoup de choses, je sais différencier un souvenir normal, à ce souvenir.
Je n'ai jamais eu d'autres image que celle ci aussi longtemps, je ne me souviens de rien avant mes 5-6 ans .. a part ça.
Lorsque je me demande si ce que je dit est vrai (la mort apporte la naissance ) je me répond oui avec une certitude déconcertante.
Lorsque je regarde ce souvenir, des frisson me parcours le corps, jusqu'a ce que j'arrete de regarder ce souvenir, ses frisson ne m'arrive pas seulement lorsque je regarde cette image mais ils me sont aussi arrivés une fois, description de la fois ou j'ai déjà eu ses frisson hors ce souvenir:
Je regardais un documentaire sur le cosmos et la vie, puis je m'était dit quelque choses ( je ne sais plus quoi mais c'était une affirmation) c'etait une reponse à une question, et là j'ai eu les mêmes frissons ( frissons qui m'appaise l'esprit et me détendent ) puis, par la suite, la réponse que j'avais trouvé à été dite dans le documentaire alors que c'était un sujet dont je n'avais jamais entendus parler et je n'avais encore jamais vu ce documentaire, je ne me souviens plus du documentaire et ni de la réponse, mais la réponse que j'avais trouvé était vrai. J'avais trouver une réponse avant qu'on me la dise (c'était par rapport à la vie mais je ne me souviens plus de quel sujet de la vie, c'était un sujet scientifique assee complexe, je sais que c'était un sujet très peut commun, c'était un détail inconnu du grand publique, un detail scientifique ), les frisson que j'ai eu en donnant ma réponse étaient les mêmes que lorsque je regarde mon souvenir.
Je pense que ses frisson m'arrive lorsque je découvre quelque chose de vrai, une affirmation inée ( oui la science infuse ) je pense que mon souvenir est réel et que j'ai vraiment habiter dans ma vie antieieur à la scampia.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Vie antérieur

Message par Dubreuil »

]La nuit les accueille légère et nomade, le vent ivre titube sur les toits, les étoilent festoient.
- Jusqu'à sept ans l’enfance m'apparaît comme une période très importante dans la vie d'un être, quelque chose de fondamentalement différent du reste de son évolution. L’enfance est clairvoyante, enfant halluciné vient le jour où nous cessons de nier. Sept ans, c’est comme une fin, le retour à l'absence après la connaissance, en quelque sorte une perte de connaissance sur soi-même et l'univers.
- Voulez-vous dire que la gestation du bébé dans le ventre de sa mère, sa naissance, puis ses quelques années de petite enfance, sont la fin irrémédiable d'un cycle ? La mort du conscient d'un être qui aurait déjà vécu auparavant, et reviendrait sur terre oublier un enseignement ?
- Continuer cet enseignement.
- Vous avez dit, « une fin, le retour à l’absence après la connaissance ».
- Je me suis mal exprimé. Celui qui meurt renaît peu à peu à quelque chose qui continue, celui qui naît meurt peu à peu à quelque chose qui s'accomplit. Nos premières années de vie seraient une régression, la fin d'une vie antérieure où la mort a déjà été vécue. Régression liée uniquement à notre sens humain de l'oubli, car rien ne s'arrête, tout évolue, la mort dans la vie d'un homme est une initiation, le passage d'un état de perception à un autre, je l’avançais dans « Menkalinan ».
Il récite :
- « Pourquoi douter de la fidélité cosmique ou s’attacher à la magnitude d’un dieu suprême ? Rien ne se dit, rien ne se fait qui ne soit jamais inscrit dans l’ordre munificent des choses, le tout déraisonnable n’est-il pas tenant-prenant mêlé aux éléments formant la matière ? De l’infiniment grand à l’infiniment petit, rien de ce qui le construit ne lui échappe, qu’un être meure et c’est un autre qui crie, que l’animal souffre et la plante réagit. La mort de l’un, quand l’autre veut avancer fait partie de cette vérité. L’amour sans l’éternité reste un pari, sans la mort de l’homme, la femme ne donnerait pas la vie. L’univers lui-même se trouve désuni quand un manquement, une errance, le trahit ». 
- Sur quoi basez-vous ces réflexions ?
Il met du temps pour répondre.
- Le rêve, l’intuition. Sans eux toute science perdrait ses alibis, qu’irait-elle explorer que l’homme n’ait déjà pressenti, imaginé ?
- Et qu’arrive-t-il à l’enfant, perdant conscience à sept ans de ce qu’il connaissait auparavant ?
- Les coursiers de l’âme sont en panne, il ne voit et n'entend plus mais croit que l'adulte sait, se souvient, il lui donne toute son importance. Mais quand il est déçu, puisque nécessairement il l'est, l'enfant nourrit encore à l'égard de l'adulte un aveugle pardon, une fatale indulgence.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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