Bonjour,
Je vais essayer d'aller droit au but.
Je viens souvent sur ce forum en esperant trouvé vraiment des réponse à ce qui me pose problème en exteriorisant mon mal être.
Et aujourd'hui, je sens que je suis en train de me renier.
Oui cela parait étrange, c'est vrai..., mais je sens au fond de moi comme quelque chose qui fait de plus en plus frontière entre mon moi qui semble être celui de ma conscience et le moi de mon identité.
Si je devais formuler ce besoin que je ressens tant, ca serai celui de devenir autre... Or, comment devenir autre aux yeux des autres ? Je sens que ou que j'aille, toute mon identité me suit. Mes habitudes me colle et transparaissent à travers ma volonté de les faire disparaître...
Chaque fois que je tente de m'exprimer dans un groupe, les gens ne me comprennent pas car j'ai cette difficulté d'expliquer les choses simplment : ils se contentent de garder le silence ou de dire "j'ai pas compris". Je ne suis pas drôle (humour des fois qui volent pas haut), je suis quelqu'un qui se met facilement dans un état révolté lorsqu'une situation me parait injuste et j'ai tendance à m'indigner trops souvent... J'ai tendance à prendre des fois vraiment les situations aux sérieuses, ou des fois pas assez. Je suis complètement décalé. On dirait des fois que je viens pas du même monde ...
Je rêve sans arrêt d'être un autre : quelqu'un qui soit perçu comme agréable, amical du premier regard, qui ait cette capacité d'ouverture, qui soit drôle, ...
Des fois j'arrive à m'oublier en discutant ou en passant de bon moments en compagnie d'autre (sports, travail, ....). Mais lorsque je me regarde dans un mirroir, tout s'écroule et me reviennent en flash bac tout les moments de la vie ou j'ai fait des choses qui m'ont indignées alors qu'ils étaient décisifs et que tout aurait pu être autrement...
On est tous différent je le reconnais et le dicton nous dis de faire avec... mais j'échoue sans arrêt à essayer de passé au delà de ça... parce qu'il semblerait que le problème ne viendrait pas de ma volonté. Qu'en pensez vous ?
Le reniement de soi.
Re: Le reniement de soi.
Bonsoir,
J ai compris ou tu voulais en venir, mais avant tout il faudrait savoir d où vient le fond de ton problème, qu est ce qui t as rendu comme ça ou qui t indigne autant?
As tu confiance en toi? As tu une prise de parole facile? (dans un groupe ou en face d une personne?)
L homme en soit est imparfait et ça tout le monde le sait. Nous faisons beaucoup d erreurs.
La prise de décision nous appartient certes, mais peut aussi nous dépasser, puis nous faire culpabiliser. (comme on m'a dit il est normal de culpabiliser après une décision qu on trouve injuste, si ça n etait pas le cas là il faudrait vraiment ce questionner)
J ai compris ou tu voulais en venir, mais avant tout il faudrait savoir d où vient le fond de ton problème, qu est ce qui t as rendu comme ça ou qui t indigne autant?
As tu confiance en toi? As tu une prise de parole facile? (dans un groupe ou en face d une personne?)
L homme en soit est imparfait et ça tout le monde le sait. Nous faisons beaucoup d erreurs.
La prise de décision nous appartient certes, mais peut aussi nous dépasser, puis nous faire culpabiliser. (comme on m'a dit il est normal de culpabiliser après une décision qu on trouve injuste, si ça n etait pas le cas là il faudrait vraiment ce questionner)
Re: Le reniement de soi.
Bonjour,
Tout d'abord je te remercie sincèrement de m'avoir répondu, très cher inconnu.
Pour ce qui concerne le fond du problème,... Disons que je me suis déjà questionner pas mal de fois et j'ai peur de tourner autour du pot en essayant de l'expliquer...
A vrai dire je n'ai jamais pu répondre à cette question. Mais j'ai pu savoir quand cela a commencé.
Et cela à commencer en 6ème.
J'étais quelqu'un qui, disons, avait des facilité dans les matières. De très grande facilité et ce qui m'a permis de majoré la classe... enfin bref, passons. Parce que si je savais que sur le plan du travail, je dominais tout le monde, sur le plan social, concernant le fait de s'intégrer j'étais à la ramasse !
Je n'étais pas le genre de personne qui étais discret, mais plus celle qui insupportait tout le monde. J'avais une manière de parler un peu soutenu qui me venait de mon père. Ca me donnait un côté un peu bourge selon les autres, et le fait de montrer que j'en était fier n'a attirer sur moi opprobre. Au final, chaque fois que je parlais les gens riait.
Par ailleurs, le fait d'être en surpoids ne m'a pas aider ; cela à susciter des moqueries de toutes parts. Et les rumeurs se sont ainsi répandu dans tout le collège.
D'abord, j'ai voulu me montrer indifférent à tout cela et surpasser ces moqueries, pour me montrer plus forts qu'eux... La seule manière que j'avais trouver pour me défendre était de me montrer hautain, parce que dès que j'essayais de me montrer gentil et docil, la plupart du temps, les gens en profitait pour salement m'humilier : à cette age la maturité n'est pas encore très présente...
Je ne dis pas avoir avoir été seul au monde : j'ai eu des amis qui m'ont apprécié tel quel. Toutefois, pour ce qui étais des ennemis, je n'en ai pas manqué.
Par excellence, les enfants "Beau gosse de la classe" qui avaient beaucoup d'affinité avec les filles, étaient très souvent ceux qui aimaient le plus à m'utiliser comme un tête de turc. Et les filles, bien entendu ont naturellement emboîté le pas...
J'ai donc été "coupé" de tout contact féminin, je n'ai pour te dire il me semble pas eu une seule amie (ne parlons même pas de petite amie) durant le collège à cause de cette étiquette...
J'ai trimé à faire l'effort de muté mes manières, de m'adapter à eux comme je le pouvais, pour m'intégrer aux mieux. J'en avais marre ! je voulais mettre de côté tous ce passé, ne plus jamais en entendre parler...
Mais l'autre n'a jamais voulu me concidérer autrement !
La troisième se passa un peu mieux, parce que c'était la dernière année du collège et que nous allions tous nous quitter. A ce moment là on a toujours plus d'estime pour ceux qui sont sur le point de d'en aller...
Mais je suis ressorti de ce collège, déchiqueté de regrets. Parce que je pensais que je n'avais pas adopté la bonne attitude, que j'avais raté des occasions de me taire, de penser au fait quel tel individu aurait pu être mon ami et qu'il est devenu hostile à mon égard... Tout cela c'est tellement joué à un rien : l'attitude de l'enfant est si booléenne. Parce que en plus des fois, je voulais être ami avec certain, mais ils se contentaient de m'ignorer ou de m'humilier avec des remarques, du genre "T'as pas d'amis ?". Et toute ma vie je me suis demandé "Mon dieu, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter cela ? Où et à quel instant ai-je commis une erreur ?"
Et j'ai eu cette impression d'avoir vécu à côté de ce paradis toute ma vie, sans jamais y avoir posé le pied : le paradis de l'enfance.
Mais bon je dirverge un peu là...
Quand je suis rentré au lycée, j'ai pensé que j'allais entré dans un nouveau monde, que ça allait être enfin une vrai boule d'oxygène, un renouveau complet... Moralité, il y avait des gens de mon collège qui j'ai retrouvé, ... et qui n'ont pas manqué de faire leur bouleau !
Et Hop !
3 ans de gaché ! (le lycée quoi !)
Seulment le questionnment est allé un peu plus loin cette fois là ! Je me suis tout d'abord redemandé si cela avait une réelle importance ? Si au milieu de tout ces gens sensiblement plus mature que les 6ème, je pouvais me contenter d'ignorer les critiques et pouvoir vivre paisiblement.
Contre toute attente, cela semblait avoir marché !
C'était même agréble dans un premier temps... mais le tout à commencer à se dégrader rapidement, carje me suis rendu compte au final que la seule forme de respect que m'avait apporté l'autre par rapport à la 6ème, c'était tout simplement de m'ignorer !
Je pensais au début que cela pouvais continuer comme ça, que j'allais pouvoir vivre avec pour une fois la possibilité d'être ignorer par mes ennemi.
En fin de compte, c'est juste encore pire ! Je vois des gens que j'apprécie beaucoup, mais qui eux ne m'apprécie pas : pour la simple et bonne raison que la première impression que je dois donné n'est pas la bonne. Et je me suis dit que j'aurais pu avoir accès à cette amitié, si je n'avais fais ces erreurs durant le collège : j'aurais pu être construit autrement et à pouvoir forgé des liens avec d'autres si je l'aurais voulu !
Résulat : même aujourd'hui encore, cela me pose problème ! Je parle de temsp à autres à des gens beaucoup beaucoup plus jeune que moi. Et même avec eux j'ai du mal à discuter ...
Le problème, je le sens, est dans ma manière de m'être construit : mais après, précisément quoi... je n'en sais rien ! Et si seulement je le savais, je pourrais peut être avoir la chance de me corriger avnt de continuer à multiplier les erreurs et les regrets qui me pèsent !
J'attends ta réponse ave impatience
Tout d'abord je te remercie sincèrement de m'avoir répondu, très cher inconnu.
Pour ce qui concerne le fond du problème,... Disons que je me suis déjà questionner pas mal de fois et j'ai peur de tourner autour du pot en essayant de l'expliquer...
A vrai dire je n'ai jamais pu répondre à cette question. Mais j'ai pu savoir quand cela a commencé.
Et cela à commencer en 6ème.
J'étais quelqu'un qui, disons, avait des facilité dans les matières. De très grande facilité et ce qui m'a permis de majoré la classe... enfin bref, passons. Parce que si je savais que sur le plan du travail, je dominais tout le monde, sur le plan social, concernant le fait de s'intégrer j'étais à la ramasse !
Je n'étais pas le genre de personne qui étais discret, mais plus celle qui insupportait tout le monde. J'avais une manière de parler un peu soutenu qui me venait de mon père. Ca me donnait un côté un peu bourge selon les autres, et le fait de montrer que j'en était fier n'a attirer sur moi opprobre. Au final, chaque fois que je parlais les gens riait.
Par ailleurs, le fait d'être en surpoids ne m'a pas aider ; cela à susciter des moqueries de toutes parts. Et les rumeurs se sont ainsi répandu dans tout le collège.
D'abord, j'ai voulu me montrer indifférent à tout cela et surpasser ces moqueries, pour me montrer plus forts qu'eux... La seule manière que j'avais trouver pour me défendre était de me montrer hautain, parce que dès que j'essayais de me montrer gentil et docil, la plupart du temps, les gens en profitait pour salement m'humilier : à cette age la maturité n'est pas encore très présente...
Je ne dis pas avoir avoir été seul au monde : j'ai eu des amis qui m'ont apprécié tel quel. Toutefois, pour ce qui étais des ennemis, je n'en ai pas manqué.
Par excellence, les enfants "Beau gosse de la classe" qui avaient beaucoup d'affinité avec les filles, étaient très souvent ceux qui aimaient le plus à m'utiliser comme un tête de turc. Et les filles, bien entendu ont naturellement emboîté le pas...
J'ai donc été "coupé" de tout contact féminin, je n'ai pour te dire il me semble pas eu une seule amie (ne parlons même pas de petite amie) durant le collège à cause de cette étiquette...
J'ai trimé à faire l'effort de muté mes manières, de m'adapter à eux comme je le pouvais, pour m'intégrer aux mieux. J'en avais marre ! je voulais mettre de côté tous ce passé, ne plus jamais en entendre parler...
Mais l'autre n'a jamais voulu me concidérer autrement !
La troisième se passa un peu mieux, parce que c'était la dernière année du collège et que nous allions tous nous quitter. A ce moment là on a toujours plus d'estime pour ceux qui sont sur le point de d'en aller...
Mais je suis ressorti de ce collège, déchiqueté de regrets. Parce que je pensais que je n'avais pas adopté la bonne attitude, que j'avais raté des occasions de me taire, de penser au fait quel tel individu aurait pu être mon ami et qu'il est devenu hostile à mon égard... Tout cela c'est tellement joué à un rien : l'attitude de l'enfant est si booléenne. Parce que en plus des fois, je voulais être ami avec certain, mais ils se contentaient de m'ignorer ou de m'humilier avec des remarques, du genre "T'as pas d'amis ?". Et toute ma vie je me suis demandé "Mon dieu, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter cela ? Où et à quel instant ai-je commis une erreur ?"
Et j'ai eu cette impression d'avoir vécu à côté de ce paradis toute ma vie, sans jamais y avoir posé le pied : le paradis de l'enfance.
Mais bon je dirverge un peu là...
Quand je suis rentré au lycée, j'ai pensé que j'allais entré dans un nouveau monde, que ça allait être enfin une vrai boule d'oxygène, un renouveau complet... Moralité, il y avait des gens de mon collège qui j'ai retrouvé, ... et qui n'ont pas manqué de faire leur bouleau !
Et Hop !
3 ans de gaché ! (le lycée quoi !)
Seulment le questionnment est allé un peu plus loin cette fois là ! Je me suis tout d'abord redemandé si cela avait une réelle importance ? Si au milieu de tout ces gens sensiblement plus mature que les 6ème, je pouvais me contenter d'ignorer les critiques et pouvoir vivre paisiblement.
Contre toute attente, cela semblait avoir marché !
C'était même agréble dans un premier temps... mais le tout à commencer à se dégrader rapidement, carje me suis rendu compte au final que la seule forme de respect que m'avait apporté l'autre par rapport à la 6ème, c'était tout simplement de m'ignorer !
Je pensais au début que cela pouvais continuer comme ça, que j'allais pouvoir vivre avec pour une fois la possibilité d'être ignorer par mes ennemi.
En fin de compte, c'est juste encore pire ! Je vois des gens que j'apprécie beaucoup, mais qui eux ne m'apprécie pas : pour la simple et bonne raison que la première impression que je dois donné n'est pas la bonne. Et je me suis dit que j'aurais pu avoir accès à cette amitié, si je n'avais fais ces erreurs durant le collège : j'aurais pu être construit autrement et à pouvoir forgé des liens avec d'autres si je l'aurais voulu !
Résulat : même aujourd'hui encore, cela me pose problème ! Je parle de temsp à autres à des gens beaucoup beaucoup plus jeune que moi. Et même avec eux j'ai du mal à discuter ...
Le problème, je le sens, est dans ma manière de m'être construit : mais après, précisément quoi... je n'en sais rien ! Et si seulement je le savais, je pourrais peut être avoir la chance de me corriger avnt de continuer à multiplier les erreurs et les regrets qui me pèsent !
J'attends ta réponse ave impatience
Re: Le reniement de soi.
les autres, les autres, les autres, ... On s'en fou, des autres !
Tant que tu ne fais de mal à personne, fais et dis ce qui te correspond et ce que tu as envie.
Et tu verras que tu te retrouveras entouré d'amis. Peut être pas les personnes qui t'entourent actuellement. Mais mieux : des personnes qui apprécient ce que tu es réellement.
Tant que tu ne fais de mal à personne, fais et dis ce qui te correspond et ce que tu as envie.
Et tu verras que tu te retrouveras entouré d'amis. Peut être pas les personnes qui t'entourent actuellement. Mais mieux : des personnes qui apprécient ce que tu es réellement.
Si quelque chose s’oppose à toi et te déchire, laisse croître, c’est que tu prends racine et que tu mues. A. de St Exupery - Citadelle
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Re: Le reniement de soi.
Bonjour Peter-Pan,
Jeannette à tout à fait raison tu ne devrais pas t auto juger comme ça.. Tu ne dois pas faire ta vie par rapport aux autres (c est destructeur).
Je n ai pas eu beaucoup d amis non plus et même aujourd'hui j en ai réellement que 2. Et comme on dit vaut mieux être "seul" que mal accompagné.
Tu ne devrais pas te renier comme ça. L homme a beaucoup changé et la plupart s aveuglent à suivre la "société". Je penses que le réel problème sont eux, tu n as tout simplement pas trouvé ceux qui seront là pour toi, pour ceux que tu es ne change jamais pour qui que soit reste Toi.
Les personnes trouvant qui que se soit "bizarre" se sont souvent des personnes qui ont peur du changement ou de l inconnu préférant être une copie conforme.
Ne doute pas de toi.
Jeannette à tout à fait raison tu ne devrais pas t auto juger comme ça.. Tu ne dois pas faire ta vie par rapport aux autres (c est destructeur).
Je n ai pas eu beaucoup d amis non plus et même aujourd'hui j en ai réellement que 2. Et comme on dit vaut mieux être "seul" que mal accompagné.
Tu ne devrais pas te renier comme ça. L homme a beaucoup changé et la plupart s aveuglent à suivre la "société". Je penses que le réel problème sont eux, tu n as tout simplement pas trouvé ceux qui seront là pour toi, pour ceux que tu es ne change jamais pour qui que soit reste Toi.
Les personnes trouvant qui que se soit "bizarre" se sont souvent des personnes qui ont peur du changement ou de l inconnu préférant être une copie conforme.
Ne doute pas de toi.
Re: Le reniement de soi.
Merci pour ces réponses j'aimerais encore retenir votre attention sur certains point qui me paraisse flou...
Le problème, c'est que du coup après je deviens étranger à la majorité, aussi bien dans la vie sociale que dans le professionnel (je suis en école prépa ne vous étonnez pas si j'en parle déjà) ! Les portes de ce monde me sont fermé et c'est dans ce monde a pourtant que je dois vivre...
Et ce fait de mal m'exprimer, fait que je comprends mal l'autre. Et du coup, j'ai de plus en plus de mal à crer de vrai lien. Je m'isole et ça me détruit. Je veux bien m'assumer, avec mes défauts et tout... mais les défauts ne devrait pas nous empêcher à vivre... et moi ça me fait obstacle
Le problème, c'est que du coup après je deviens étranger à la majorité, aussi bien dans la vie sociale que dans le professionnel (je suis en école prépa ne vous étonnez pas si j'en parle déjà) ! Les portes de ce monde me sont fermé et c'est dans ce monde a pourtant que je dois vivre...
Et ce fait de mal m'exprimer, fait que je comprends mal l'autre. Et du coup, j'ai de plus en plus de mal à crer de vrai lien. Je m'isole et ça me détruit. Je veux bien m'assumer, avec mes défauts et tout... mais les défauts ne devrait pas nous empêcher à vivre... et moi ça me fait obstacle
Re: Le reniement de soi.
Merci pour ces réponses j'aimerais encore retenir votre attention sur certains point qui me paraisse flou...
Le problème, c'est que du coup après je deviens étranger à la majorité, aussi bien dans la vie sociale que dans le professionnel
- Tu te transforme pas en un animal ou hurle d un coup d une voie hystérique alors je ne comprends pas pourquoi on t écarte comme ça.. (désolé mais ça me dépasse dès qu il y a un petit changement chez une personne tout le monde la met en quarantaine)
(je suis en école prépa ne vous étonnez pas si j'en parle déjà) ! Les portes de ce monde me sont fermé et c'est dans ce monde a pourtant que je dois vivre...
-Les portes sont fermées par rapport à quoi?
Et ce fait de mal m'exprimer, fait que je comprends mal l'autre. Et du coup, j'ai de plus en plus de mal à crer de vrai lien. Je m'isole et ça me détruit. Je veux bien m'assumer, avec mes défauts et tout... mais les défauts ne devrait pas nous empêcher à vivre... et moi ça me fait obstacle
-Ce ne sont pas plutôt les autres qui te comprennent mal? Leur as-tu déjà fait par de tes doutes? Ou leur demander simplement si ils arrivent à te comprendre? Après sans doute à cause de ces anecdotes tu perds confiance en toi et tu te renferme à chaque barrière..
Le problème, c'est que du coup après je deviens étranger à la majorité, aussi bien dans la vie sociale que dans le professionnel
- Tu te transforme pas en un animal ou hurle d un coup d une voie hystérique alors je ne comprends pas pourquoi on t écarte comme ça.. (désolé mais ça me dépasse dès qu il y a un petit changement chez une personne tout le monde la met en quarantaine)
(je suis en école prépa ne vous étonnez pas si j'en parle déjà) ! Les portes de ce monde me sont fermé et c'est dans ce monde a pourtant que je dois vivre...
-Les portes sont fermées par rapport à quoi?
Et ce fait de mal m'exprimer, fait que je comprends mal l'autre. Et du coup, j'ai de plus en plus de mal à crer de vrai lien. Je m'isole et ça me détruit. Je veux bien m'assumer, avec mes défauts et tout... mais les défauts ne devrait pas nous empêcher à vivre... et moi ça me fait obstacle
-Ce ne sont pas plutôt les autres qui te comprennent mal? Leur as-tu déjà fait par de tes doutes? Ou leur demander simplement si ils arrivent à te comprendre? Après sans doute à cause de ces anecdotes tu perds confiance en toi et tu te renferme à chaque barrière..
Re: Le reniement de soi.
bonsoir
Les portes du monde professionnel et social se ferment à moi parce que mon passé de la personne qui s'exprime mal où qui n'est pas apprécié parce qu'elle s'exprime de telle sorte n'arrête pas de me collé... J'essaye de prendre des précautions vois tu... mais je n'y arrive pas souvent
Oui je l'ai bien remarqué le fit que dès qu'il y a une personne un peu déviante et bien il se fait tout de suite isolé. Je suis ans doute le premier à cracher là dessus. Mais tu vois, par le fait de m'intégrer auprès de ceux moins tolérants, il devient plus facil après d'en intégrer d'autre, tu vois ?
On m'a rien demander je sais. Mais le monde ne me demandera jamais rien et moi je ne pourrais jamais en attendre quelque chose de lui... C'est pourquoi, parce que j'aurais aimé qu'un miracle de la sorte tombe du ciel, je m'efforce de le faire pour tout le monde... mais je constate que ce n'est pas toujours réciproque. Peut être certains se sentent ils trop aimé ou trop entouré de n'importe qui ?...
Au bout d'un moment lorsque tu constate que personnes ne te comprends, tu commences à te remettre en question sur ta manière d'apporter le message...
La méthode n'est pas là, je le vois bien, mais le problème je ne le vois par contre ... Je ne vois pas pourquoi tout lee monde me rejette. Et c'est ce qui me donne envie d'être autre !
Les portes du monde professionnel et social se ferment à moi parce que mon passé de la personne qui s'exprime mal où qui n'est pas apprécié parce qu'elle s'exprime de telle sorte n'arrête pas de me collé... J'essaye de prendre des précautions vois tu... mais je n'y arrive pas souvent
Oui je l'ai bien remarqué le fit que dès qu'il y a une personne un peu déviante et bien il se fait tout de suite isolé. Je suis ans doute le premier à cracher là dessus. Mais tu vois, par le fait de m'intégrer auprès de ceux moins tolérants, il devient plus facil après d'en intégrer d'autre, tu vois ?
On m'a rien demander je sais. Mais le monde ne me demandera jamais rien et moi je ne pourrais jamais en attendre quelque chose de lui... C'est pourquoi, parce que j'aurais aimé qu'un miracle de la sorte tombe du ciel, je m'efforce de le faire pour tout le monde... mais je constate que ce n'est pas toujours réciproque. Peut être certains se sentent ils trop aimé ou trop entouré de n'importe qui ?...
Au bout d'un moment lorsque tu constate que personnes ne te comprends, tu commences à te remettre en question sur ta manière d'apporter le message...
La méthode n'est pas là, je le vois bien, mais le problème je ne le vois par contre ... Je ne vois pas pourquoi tout lee monde me rejette. Et c'est ce qui me donne envie d'être autre !
Re: Le reniement de soi.
Connaissez-vous " l'histoire " de Peter pan " ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Le reniement de soi.
L'enfant qui ne voulais pas grandir ... je sais oui. Je ne l'ai pas choisi d'ailleurs même au hasard. Mais j'aimerais toutefois connaitre ce dont vous pourriez m'apprendre en plus ... Je prends tout actuellement ^^
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