Comment atteindre l'orgasme

[vaarden]

[Enza]

Bonjour Vaarden,

Je suis comme vous, obligée de me caresser pour arriver a l'orgasme au début je ne le faisais pas puis petit a petit je l'ai fais a chaque rapports, on en a discuté au début ça l'excitait, maintenant je crois que ça ne lui fais plus ni chaud ni froid, des fois je ne le fais pas car pas toujours la position la plus adéquate pour le faire, même si ça frustre un peu je suis plus vite d'aplomb pour recommencer a avoir un rapport, du fait de rester un peu sur la béquille version au féminin.
Je suis étonnée que votre mari ne comprenne pas que l'orgasme doit être partagé et que cela ne remet en rien en cause sa façon de vous faire l'amour. On peut ressentir beaucoup de plaisir par pénétration mais on reste sur "le bord" de l'orgasme car il manque ce petit plus, expliquez lui que grâce a la pénétration et au fait de vous masturber vous êtes satisfaite sexuellement, peut-être se sentira t-il moins rejeté.
Il y a énormément d'articles expliquant la femme vaginale et la femme clitoridienne peut-être pourriez vous lui en soumettre un si votre communication ne suffit pas?

[Khyrian]

Oui Jeannette, c'était général.

Comme vous le dites si bien : Cela arrive parfois à mon homme, en particulier lorsque nous avons déjà fait l'amour plusieurs fois dans la journée.

Mais, ce dire, je n'arrive pas a le faire jouir, même aux premiers échanges, quelle tristesse.

J'ai bien compris cette différence entre les hommes et les femmes. C'est a dire, cette sensibilité que seule la femme elle même peut ressentir en se masturbant.

Le problème est certainement dans ma tête. Ce sentir "inutile" au moment ou nos deux corps ne forment qu'un. Pouvoir donner cette pleine dose d'amour en ressentant les moindres parties de son corps comme si c'était elle qui les stimulait. Toutes ces petites choses m’empêchent moi même d'être au summum de ma jouissance.

Pas facile d'expliquer ça comme ça.

J'ai tellement envie de tout lui donner à ce moment là...

Ce n'est qu'une infime "frustration" mais elle est là quand même.

J'arrive très très bien à vivre avec, mais si on me pose la question, alors, je réponds simplement sans aucune mauvaise pensée.