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Spasme joue

Publié : 09 oct. 2012, 14:53
par EMMA17
Bonjour,
Voilà je vous explique un peu mon cas. Pas que ce soit bien grave mais très embêtant.
En situation de stress total, mon corps réagit mal...j'ai de grosses plaques rouges sur le haut du corps, sur le torse plus exactement.
J'ai aussi des spasmes sur les joues, autour sur le visage, mes lèvres tremblent et j'ai des rictus des joues ! (que d'un côté)...impossible de contrôler tout cela.
J'ai beau respirer, rien n'y fait.. j'ai développé tout ceci petit à petit.
Je vous laisse imaginer la galère des entretiens d'embauches, et les situations délicates de la vie de tous les jours.
Je me demande si je ne dois pas aller voir un spécialiste, et j'ai vu sur le net une thérapie cognitive, mais je suis pas vraiment sure que ce soit cela qu'il me faut.
Quelqu'un serait-il dans mon cas ? où y-a-t-il déjà suivi ce genre de thérapie ?

Merci de vos réponses.
Emma

Re: Spasme joue

Publié : 09 oct. 2012, 14:58
par Jeannette
Plus qu'une thérapie cognitive (encore que je ne sois pas "pro"), je pense qu'il serait plus intéressant que tu suives une thérapie "tout court", destinée à mieux comprendre (et donc réduire) l'origine de ce stress malgré tout important.
Tu as également des techniques (yoga, reiki, méditation, sophrologie, etc.) qui enseignent à mieux gérer le stress, à y être moins sensible.

Re: Spasme joue

Publié : 09 oct. 2012, 16:17
par EMMA17
Oui c'est vrai j'avais penser me diriger vers ces techniques de relaxation. Le reiki peut être !

Re: Spasme joue

Publié : 09 oct. 2012, 16:24
par Jeannette
l'important est que tu trouves la technique qui te convient.
Il n'y a pas "la" bonne technique. Il y a celle qui te correspond. D'autant qu'il y a des formateurs plus ou moins sérieux...
Le mieux est que tu parles avec les formateurs, que tu ailles voir, et que tu te fasses ta propre idée en fonction de ce que l'on te propose du côté de chez toi.

Mais ne néglige pas pour autant la psychologie. Tu dis que tu as développé "tout cela" petit à petit. La psychologie t'aiderait à éviter que cela ne se développe encore plus, voire, comme je le disais, à en comprendre l'origine et à en diminuer l'importance.