Réflexion

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Rageric24
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Réflexion

Message par Rageric24 »

Suite à un problème de sexualité, j'ai envisagé le suicide. Cela étant il y presque 2 ans. Il y a 1 semaine, j'ai écris un texte sur le suicide. J'aimerais vous en faire part et j'attends vos critiques, dites moi si ce texte vous a choqué ou si vous croyez que je ne connais pas la sensation vous avez raison et je vous prie de m'excuser si ce texte n'est pas assez bien rédigé.

Pourquoi quand quelqu’un se suicide on est forcément triste alors que logiquement, elle est dans un monde meilleur où elle n’a plus de problème et où on lui fout enfin la paix. Certains diront que ces personnes sont égoïstes, je dirais que ce sont ceux qui pleurent leur décès qui le sont. On est triste car on ne pourra plus le/la voir mais avez-vous pensez à elle, avez-vous pensez que maintenant elle va beaucoup mieux ? Evidemment que non, quand une personne est morte, on ne pense pas à elle mais à son fantôme, on pense à la personne qu’elle était et non à la personne qu’elle est et qu’elle sera toujours. Car même morte, cette personne continue de vivre à travers son histoire, son vécu, elle influence les décisions des gens, leur manière d’agir, de penser.

Pourquoi est ce que j’écris un mot qui parle de suicide à 00h30 alors que je devrais dormir, parce que je pense qu’on n’en parle pas assez, on parle de l’acte mais en aucun cas on ne parle de la personne. On dit : « C’est triste ce qu’elle a fait … » ou « Pourquoi a-t-elle fait ça ? » mais cela sonne comme un reproche, ce serait le même résultat si la personne avait prononcé mais pourquoi nous a-t-elle abandonné ? Or elle ne vous a pas abandonné, elle a abandonné sa vie, tout ce qu’il lui faisait du mal et que vous y contribuiez ou non, son mal est plus fort que vous ou que votre amour, c’est comme ça.

Si je suis suicidaire ? J’y ai déjà pensé effectivement mais je ne pense pas que j’en serais capable, je n’ai pas le courage. Vous vous dites OUF, je me dis stupide ! Je souffre fort et c’est dur. Je vis avec un secret depuis 1 et 8 mois désormais et je pense que je vais encore le garder longtemps car les gens ne sont pas assez matures pour accepter ce secret. Je sais que grâce à cette phrase plus d’un auront compris mon secret ou alors peut-être est elle encore trop vaste pour bien en saisir le sens ? Je ne sais pas. Enfin de toute manière, cela ne me dérange pas car quand vous serez en train lire cette lettre, je vous l’aurais dit et donc vous serez juste amusé. Ou pas… De toute façon, je m’en fous. Je veux dire que vous ayez peur pour moi ou pas. Comme je le dis plus, votre amour ne change rien à notre souffrance, on souffre en silence, compassion ou pas. Vous pouvez tout tenter, il y a toujours une voix au fond de nous qui nous répète en boucle nos erreurs et nos secrets les plus sombres et les plus gardés. Vos « je t’aime » et « je veux pas te perdre » nous réconforte vous avez raison, mais la petite voix est plus forte et a plus d’ampleur. Petite métaphore, quand vous ramenez 1 bon point et 1 mauvais, lequel vos parents vont le plus retenir ? Si vous avez répondu le mauvais vous avez tout compris. On retient plus ce qui est mauvais que ce qui est bon. C’est comme ça, l’être humain retient le négatif et le positif ne lui apporte qu’une légère satisfaction. Enfin, pour la plupart.

Avez-vous des raisons de vous inquiétez pour ma vie ? Comme je l’ai dis plutôt, je n’ai aucun courage pour ce genre de choses donc non. Je ne me suiciderais jamais parce que c’est comme ça et que je suis une froussarde. On n’y peut rien, je suis née comme ça. Vous ça vous arrange. Moi ? Beaucoup moins. Attention, ne vous méprenez pas, cela n’est pas un message d’appel au secours.
Dubreuil
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Re: Réflexion

Message par Dubreuil »

Bon, maintenant il faut monter à la vitesse supérieure.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: Réflexion

Message par Dubreuil »

[quote="Rageric

Pourquoi quand quelqu’un se suicide on est forcément triste alors que logiquement, elle est dans un monde meilleur où elle n’a plus de problème et où on lui fout enfin la paix. Certains diront que ces personnes sont égoïstes, je dirais que ce sont ceux qui pleurent leur décès qui le sont.
*** Ce n'est pas égoiste, c'est un élément du deuil indispensable, pour justement s'en remettre
Le deuil est fait de plusieurs étapes qui passe par l'anéantissement, la colère, etc...
Il faut lire, vous documenter.

On est triste car on ne pourra plus le/la voir mais avez-vous pensez à elle, avez-vous pensez que maintenant elle va beaucoup mieux ?
*** raison de plus pour vivre sa peine comme on l'entend.

Evidemment que non, quand une personne est morte, on ne pense pas à elle mais à son fantôme, on pense à la personne qu’elle était et non à la personne qu’elle est et qu’elle sera toujours. Car même morte, cette personne continue de vivre à travers son histoire, son vécu, elle influence les décisions des gens, leur manière d’agir, de penser.
*** Donc on pense à elle. On fait comme on peut.

Pourquoi est ce que j’écris un mot qui parle de suicide à 00h30 alors que je devrais dormir, parce que je pense qu’on n’en parle pas assez, on parle de l’acte mais en aucun cas on ne parle de la personne. On dit : « C’est triste ce qu’elle a fait … » ou « Pourquoi a-t-elle fait ça ? » mais cela sonne comme un reproche
*** C'est aussi parce que l'on est triste qu'elle en soit arrivée là. Et que cela peut aussi nous arriver. Et que nous avons en nous une empathie qui fait que l'on se sent parfois " coupable ". L'humanité est un tout, l'autre, c'est aussi nous.
Il faudrait surtout que vous vous documentiez, que vous lisiez. Il y a des foultitude de livres qui parlent du suicide, de la mort, du deuil, etc...il y a des stages aussi sur les accompagnements, les prises de conscience.

Or elle ne vous a pas abandonné, elle a abandonné sa vie, tout ce qu’il lui faisait du mal et que vous y contribuiez ou non, son mal est plus fort que vous ou que votre amour, c’est comme ça.
*** En effet, se suicider c'est perdre la raison. Ses raisons de vivre.
Pour d'autres, c'est le dénouement d'une maladie mentale.

Enfin de toute manière, cela ne me dérange pas car quand vous serez en train lire cette lettre, je vous l’aurais dit et donc vous serez juste amusé. Ou pas… De toute façon, je m’en fous. Je veux dire que vous ayez peur pour moi ou pas.
*** Nous ne sommes pas voyeurs et on ne nous manipule pas. Vous dites ce que vous voulez, votre vie vous appartient. Votre mort aussi.

Comme je le dis plus, votre amour ne change rien à notre souffrance, on souffre en silence, compassion ou pas. Vous pouvez tout tenter, il y a toujours une voix au fond de nous qui nous répète en boucle nos erreurs et nos secrets les plus sombres et les plus gardés. Vos « je t’aime » et « je veux pas te perdre » nous réconforte vous avez raison, mais la petite voix est plus forte et a plus d’ampleur. Petite métaphore, quand vous ramenez 1 bon point et 1 mauvais, lequel vos parents vont le plus retenir ? Si vous avez répondu le mauvais vous avez tout compris.
*** Je pense que ceci ne s'adresse pas aux internautes.

On retient plus ce qui est mauvais que ce qui est bon. C’est comme ça, l’être humain retient le négatif et le positif ne lui apporte qu’une légère satisfaction. Enfin, pour la plupart.
*** On fait comme on peut. Vous ne parlez qu'en votre nom

Avez-vous des raisons de vous inquiétez pour ma vie ? Comme je l’ai dis plutôt, je n’ai aucun courage pour ce genre de choses donc non. Je ne me suiciderais jamais parce que c’est comme ça et que je suis une froussarde. On n’y peut rien, je suis née comme ça. Vous ça vous arrange. Moi ? Beaucoup moins. Attention, ne vous méprenez pas, cela n’est pas un message d’appel au secours.
*** Verser dans le mélo n'est pas nécessaire.
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Dubreuil
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Re: Réflexion

Message par Dubreuil »

Les 7 étapes du deuil…
D'abord il faut savoir que la perte d'un être cher est un traumatisme psychique. D'autre part qu'il faut en moyenne 18 mois pour se détacher d'une façon sereine des pensées récurrentes morbides. Ensuite, il y a un processus de deuil qui passe par différentes étapes.
Le deuil n’est pas une maladie mais il peut entraîner les symptômes d'une maladie, voir en créer une : Maux d’estomac, insomnies, stress et des maux de tête graves sont quelques-uns des effets secondaires ressentis par une personne qui vit un deuil.
Certaines personnes peuvent pleurer, se murer dans le mutisme ou, au contraire, la logorrhée ou la perdre d’appétit.
En raison de ce stress, le rythme du sommeil est perturbé et cela conduit à un affaiblissement du système immunitaire.
Le temps du deuil dépend de la nature de la perte, et du mental de la personne qui vit se drame. Il n’y a pas vraiment de temps fixé pour gérer, digérer un deuil.
Elizabeth Kubler-Ross a modélisé les 7 étapes du deuil et nous les a présentées dans son livre « On Death and Dying ». A vous de vous faire votre propre opinion.

Les sept étapes du deuil
1 – Choc et déni
A ce stade, la personne souffre d’un choc à l’annonce de la perte.
Le choc est une étape légitime de défense de l’esprit pour une situation qu’elle pense ne pas pouvoir gérer. La réaction est souvent la négation des faits qui se sont réellement produits.
La personne en deuil pense qu’elle rêve et refuse d’accepter la situation causant cette insupportable douleur.
La durée de temps de cette étape ne peut pas être déterminée.
Même des tâches simples et les décisions de bases ne peuvent plus être effectuées par une personne en état de choc.

2 – Douleur et culpabilité
A ce stade, la personne endeuillée se rend compte que la perte est bien réelle.
C’est l’étape la plus chaotique et effrayante de douleur. Beaucoup de gens compensent avec de l’alcool et des médications.
D’intenses sentiments de culpabilité et de remords sont expérimentés en raison des mauvaises choses qui ont pu être faites ou pas faites. La douleur pousse parfois la personne endeuillée à se sentir coupables et se considère comme responsable de la perte.

3 – Colère
A ce stade du deuil, la personne peut se mettre en colère à cause de l’injustice ressentie de ce qui lui est arrivé. Elle peut aussi choisir inconsciemment de dévier cette colère sur une personne désignée comme responsable de la perte.
Une bonne gestion de la colère est indispensable à ce stade du deuil.

4 – Marchandage
A ce stade, la personne en deuil se sent frustrée et peut même commencer à blâmer les autres pour la perte subie.
Bien que cette responsabilité ne soit pas juste, la personne en souffrance n’est pas en état de le comprendre et d’accepter cette réalité.
Commence alors une sorte de négociation de la perte et une tentative pour trouver les moyens par lesquels inverser cette situation et la compenser.
Cette étape est appelée la négociation.

5 – Dépression et douleur
Ici, la personne accepte la perte, mais n’est pas en mesure d’y faire face.
Dépression, perte de moral, la personne en deuil est au désespoir et se comporte passivement.
Elle ne voit pas comment atténuer cette immense souffrance et n’arrive plus à vivre normalement le quotidien.

6 – Reconstruction
Il s’agit de la phase de test dans lequel la personne déprimée commence à s’ouvrir à nouveau aux autres et accueille des activités afin d’échapper à la douleur.
En fait, c’est l’amorce de la prochaine étape et la dernière, à savoir l’acceptation de se réconcilier avec la réalité.
C’est aussi une phase dans laquelle commence le processus de reconstruction et la personne en deuil cherche des solutions et des moyens pour sortir de sa peine.

7 – Acceptation
Stade où la personne endeuillée accepte la réalité.
Dans l’acceptation de ce qui ne peut être changé la personne projette une lueur d’espoir et commence à croire en elle-même.
La réalité et les faits de la vie sont enfin acceptés et la personne reprend le cours de sa vie.
Cette étape n’est visible que lorsque la personne commence à se comporter normalement et que son travail professionnel est amélioré.
La personne qui sort de ce deuil commence à nouveau à se mêler aux autres.

Comment faire face à la souffrance ?
Perdre quelqu’un de cher à votre existence peut être une situation écrasante et il en résulte naturellement une grande souffrance.
Même si le processus de deuil est très subjectif, tout le monde tente de faire face au deuil à sa manière.
La compréhension de ces étapes peut vous aidera à élaborer votre chemin au travers de cette douleur émotionnelle tout en gardant à l’esprit qu’on peut en ressortir !
Il n’y a pas de bons ou mauvais moyens pour se réconcilier avec la perte, il n’y a que votre propre façon de surmonter les sentiments de tristesse extrême.
Peut-être en allant en parler à une personne en qui vous avez entièrement confiance dans son empathie et objectivité, et/ou à un professionnel.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Rageric24
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Re: Réflexion

Message par Rageric24 »

Lorsque vous me répondez, on dirait que vous m'en voulez d'avoir posté ce message or c'est ma manière de penser et je vous ais dit de la critiquer pas de dire qu'elle était inutile. Certaines de vos paroles, m'ont blessé et me blesse encore.
Dubreuil
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Re: Réflexion

Message par Dubreuil »

QUAND ON EST PAS D'ACCORD AVEC CE QU'A ECRIT LE PSY ?

- Savoir que si ce qu'a écrit le psy vous interpelle c'est que vous l'avez pris pour vous, sur un point ou un autre.Il vous a nécessairement touché là où vous aviez quelque chose à régler avec vous-même ou quelqu'un d'autre. Sinon cela serait resté dans l'état.
- Savoir que les mots d'un professionnel sont ceux d'une expérience clinique, et s'ils vous paraissent insupportables pour l'autre, c'est vous qui devez alors vous demander où cela vous fait mal. Vous ne pouvez parler que de vous, qu'en votre nom, puisque c'est de vous dont viennent vos émotions.
- Savoir que les propos et termes choisis par le psy sont issus d'une expérience clinique, et que si le " raccourci " est trop abrupte, il vous appartient de demander la signification d'un mot, ou le sens général de la phrase en question.
- Savoir que la plupart du temps, les psys ont poursuivi d'autres études après leur diplôme basique de fac. Ils ont souvent des spécialisations, des qualifications autres. Quand ils parlent de techniques, c'est qu'ils les ont la plupart du temps expérimentées sur eux-mêmes.
- Savoir que vous avez tout à fait le droit de ne pas être d'accord avec ce qui se dit, mais que la langue française possède des milliers de mots pour rester poli et courtois.
- Savoir que parce que vous pensez que l'autre a tort, vous n'avez pas nécessairement raison.
- Savoir que les mots " psys " écrits par un psy ne correspondent pas toujours à ce que l'on a l'habitude de lire, ou d'interpréter. D'où la nécessité de ne pas hésiter à demander au professionnel ce qu'il a voulu dire.
- Savoir qu'il faut laisser à la personne à laquelle vous donnez votre point de vue, ( et surtout pas votre conseil ! ) la possibilité de réfléchir à sa propre réponse. Sinon, si vous écrivez à sa place, vous lui créez une dette symbolique, vous l'infantilisez en quelque sorte, lui faisant valoir qu'il, ou elle, n'est pas en capacité de trouver tout(e) seul(e) ses propres arguments.
- Savoir que sa façon de s'exprimer, de riposter va lui permettre d'extérioriser des émotions enfouies qu'elle seule est en capacité de connaître et ressentir. Ecrire en son nom c'est en quelque sorte lui " ôter " sa parole.
- Savoir que ce n'est pas en quelques lignes qu'un psy peut accompagner un questionnement. Vous ne pouvez non plus, lui donner en quelques phrases toutes les émotions et les explications nécessaires à son entendement. Donc soyez compréhensif. Et si sa réponse ne vous semble pas adaptée, Il suffit de mieux vous exposer, et il réorientera ses propositions.
- Savoir que quand un psy répond il ne donne pas des ordres. Il propose une, ou des solutions. Vous avez toute latitude de prendre ce qu'il vous convient dans ses réponses.
- Savoir qu'un psy est en capacité de vraiment tout lire. Rien ne le blesse venant de son patient. Il sait qu'il n'est pas concerné. Il est le " révélateur " d'une souffrance qui s'exprime parfois contre lui mais dont il n'est pas l'artisan ( cela s'appelle le transfert )
- Savoir que l'expérience de l'analyse permet à un psy de vraiment se différencier professionnellement de son interlocuteur. Il a appris à rester neutre et ne pas se sentir " entamé " par la souffrance de l'autre.
- Savoir que le psy n'est en aucun cas un sorcier ou un devin. Il ne sait de vous que ce que vous allez lui dire. C'est à partir de ce que vous lui direz que ses connaissances et son expérience clinique lui permettront de vous donner un éclairage différent sur vos problèmes. Des propositions d'interprétation différentes de celles que vous aviez jusque là l'habitude d'entendre, ou d'élaborer.
- Savoir qu'un psy reçoit autant de ses patients que ce qu'il leur donne. La façon dont réagit un patient peut lui permettre de se remettre en question, tout autant que d'aborder un autre patient d'une façon différente.
- Savoir qu'un psy a un superviseur qu'il va voir régulièrement pour parler de sa pratique, et justement ne pas " rentrer " dans l'histoire de l'autre. Ce qui ne lui permettrait plus de l'accompagner dans la prise de conscience de son propre désir d'évolution.
- Savoir que dans un forum le " psy " reste un professionnel quand il intervient dans un post, il est en son lieu et place, et doit être respecté en tant que tel.
- Savoir qu'il est évident et logique que le psy supervise les écrits des internautes, et qu'il efface tout écrit glorifiant des comportements ou des pensées contraires au respect des valeurs de la morale, et de la psychologie.
- Et le plus important, savoir qu'il n'intervient pas sur ce forum pour se faire dénigrer ou insulter,... sans être payé !
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: Réflexion

Message par Dubreuil »

Dubreuil a écrit :
Rageric24 a écrit :Lorsque vous me répondez, on dirait que vous m'en voulez d'avoir posté ce message or c'est ma manière de penser et je vous ais dit de la critiquer pas de dire qu'elle était inutile.
???? j'ai dit cela ? Je ne le crois pas, j'ai plutôt pris le temps et la politesse de vous répondre avec professionnalisme et neutralité !

Certaines de vos paroles, m'ont blessé et me blesse encore.
Je ne vois pas quelle parole vous a blessé, mais je vous prie de m'en excuser, c'était involontaire.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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