Ahh
Si je ne m'abuse, je pense qu'on a en commun une éducation marquée par les violences intrafamiliales.
Ça marque à vie...?
Mais c'est lié? On ne nous a pas appris à avoir des limites, car elles étaient constamment bafouées dans l'enfance. Et par la suite, pour palier le manque d'amour et de valorisation qui sont des besoins essentiels, on donne énormément, parce qu'inconsciemment, on a besoin que l'autre nous donne autant?Amelie A a écrit : ↑19 févr. 2021, 22:15 Ahhh je ne pensais pas qu’à cela !
En fait c’était surtout pour moi la nécessité de savoir imposer mes limites aux autres et de pouvoir nouer un fort lien amical...
J’ai toujours donné beaucoup plus que reçu en amitié. De ce fait, j’ai été déçue. Peut-être parce qu’une histoire d’amitié ne peut pas se substituer à une histoire d’amour, relation de trop grande proximité que je suis incapable de gérer.
Je crois qu'on est tous plus ou moins "perturbés" sur cette Terre.
Point de vue intéressant, je ne l'avais pas vu comme ça.dire.pour.oublier a écrit : ↑20 févr. 2021, 09:56Je crois qu'on est tous plus ou moins "perturbés" sur cette Terre.
Mais il y a effectivement différents degrés qui feront que ces "perturbations" nous apparaîtront comme attendrissantes, complémentaires, incompatibles ou néfastes.
Même s'il est possible que les hommes-prédateurs perçoivent vos fragilités, les femmes "fusionnelles" attirent aussi les hommes tendres.
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