bizarre

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licornemagique
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Re: bizarre

Message par licornemagique »

j'ai profondément regretter d'être en mesure de comprendre . J'avais envie de rester bête et heureuse , plutôt que l'inverse.
Je préfère ne pas comprendre une chose, je garde pour moi celle qui reste l'image de mes désirs, celle que j'idéalise, celle qui n'est pas la réalité ou celle qui est ma réalité. Je préfère continué de réver mon monde pour ne pas avoir à subir celui qui m'aggresse, tendre les bras vers celui qui me rassure, celui qui dans sa douceur édénique ma berce de sa chaleur, celui que j'aime et qui m'appartient, mon intime à moi, secret et privé, celui que personne ne me prendra, laisser moi mes rêves, le repos de mon âme. Pour être heureuse à jamais, dans le flot de l'imaginaire, j'ai construit ma paix.

L'économie de la connaissance
Je l'avais déjà vus. J'essaie de le replacer dans le contexte de mon message initiale.

A travers l'idée de l'échec, celle qui s'ancre dans la penser commune d'une société. Notre industrialisation dans la rapidité de sont évolution contribue en influer certain regard, ce désir de faire vite, de réussir, de ne pas laisser place à l'échec par crainte d'être concidérer comme un mauvais élément, d'être rejeté. On à ces images de grandeur ou l'on met en avant les meilleurs.
C'est l'intérêt que l'on accorde aux produits plus qu'a l'humain, c'est dans notre société consommatrice l'attente de résultat.
Cette attitude est celle du consumérisme, de l'individualisme plutôt que celle de l'entraide, du partage ou de la compréhention de l'autre, que du rejet à cause de ces capacité. On à une facilité à se centrer sur les "défauts" et à juger la personne à traver celle-ci, se qui amène aussi à la discrimination. (On aura donc ces sensation d'être nul, on se démotive par cette peur de ne pas réussir, d'atteindre les niveaux, les moyennes, les "normes").
On le sait déjà, l'éducation national prône insidieusement la méritocratie, celle ou les résultats vous définissent et définissent votre scolarité. L'école considère que chaque élève à la capacitté d'apprendre et de réussir autant qu'il le peut et qu'il le mérite.
Cette méritocratie va quelque part à l'encontre des notions d'égaliter ou l'on souhaite la réussite de tous, ou en tout cas que chacun est la capacité de continuer dans les études et le droit d'apprendre. Mais l'on voit donc que dans la réalité ce sont les notes qui vous acquièrent le droit à la connaissance, et non l'égalité.

L'on se déconcidère, on peut avoir l'impression d'être bête, on perd confiance en soit car l'on atteint pas certaines notes, ou les attentes des parents, qui plus est diffère suivant chacun, si l'un concidère comme une bonne note un 12/20, l'autre la considèrera à partir de 17/20.
On en vient donc à ne plus développer vraiment nos capacité mais celle que l'on attend de nous. La motivation de la note ou de la réputation devient extrinsèque, l'on ne fait plus pour soit mais pour les autres dans l'attente constante de reconnaissance.
On entre alors dans ces jalousies, dans ces concours à qui sera le plus apprécier, à qui aura la meilleurs notes oubliant le vrais sens de l'apprentissage, de la connaissance.
On rentre la aussi dans le débat des notes et de l'organisation des apprentissages scolaire ou celle du milieu professionnel.
Car tout se que l'on demande et attends des gens conditionnent les comportements, on s'habitue et acquièrent des réflexes que l'on reproduit de façon plus ou moin direct dans notre quotidien.
Lorsque l'on attend de la connaissance que des résultats déjà préétablies, on enferme les esprits à ne faire qu'une seule choses, on empêche la création et la différence. Comment voulez vous que l'on créer et que l'on partage des choses nouvelles si l'on se doit tous de faire pareil ? Le partage n'a d'intérêt que si l'on donne aux gens la capacité de faire différement, libre à l'imagination. Quelque part on sait tous ce dont on à besoin, ce qui nous convient à nous et pas à des modèles préétablies.
Alors oui j'apprends pour avoir des notes et des diplômes car c'est la se qui influence, ce qui me permet d'être considéré et de ne pas être rejetter, c'est se qui permet aujourd'hui d'avoir de l'influence et de ne pas être considéré stupide.

Mise à part,
Si, plus l'on monte dans les classes plus les élèves rencontre de difficulté, c'est peut être aussi car l'enseignement s'oppose au fonctionnement d'apprentissage du cerveaux. Pourquoi pensez qu'à partir d'un certain âge l'on doit subitement devenir "sérieux" et que l'on apprend plus par le jeux.
L'on sait pourtant que lorsque l'on tombe sur un professeur porté sur une pédagogie plus ludique, l'on à plaisir à venir en cour, à apprendre et cela même si c'est une matière que l'on aimait pas.
C'est surement la les désirs de l'école qui sont de construire l'adulte travailleur et sérieux, celui qui obéit et fait se qu'on lui demande et c'est tout.
Ne pas oublier que l'école, sont rôle et c'est programmes sont établie par le ministère de l'éducation national et qu'avant tout de chose elle à été rendus obligatoire pour instruire les élèves pour qu'il acquièrent des valeurs patriotique, et qu'à l'époque elle signifiait d'être fière de sont pays et de mourir avec honneur pour lui lors de la guerre.
C'est pour cela que bon nombre de professeur se sont sentis coupable d'avoir enseigner ces valeurs à des enfants qui sont partis mourir.
j'arrête parce que je fait hors sujet...
:!: Je ne suis pas psychologue :!:
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licornemagique
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Re: bizarre

Message par licornemagique »

J'ai confondus un mot, ce n'est pas insidieusement mais officieusement.
:!: Je ne suis pas psychologue :!:
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