Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

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Dubreuil
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Dubreuil »

MissCroupette a écrit :
Ces psychiatres qui prennent leurs patients pour des cobayes, ce n'est pas un manque de psychologie, c'est un manque de réflexion, tout simplement.
*** de connaissances.


Moi je crois sincèrement qu'on peut aider les gens sans les bourrer de médicaments, mais je crois aussi sincèrement que certains d'entre eux sont absolument nécessaires.
*** en effet vous vous répétez.

D'ailleurs, au risque de me répéter, je ne suis pas sûre de devenir psychiatre clinique. Il est très probable que je m'oriente dans la recherche...
*** C'est mieux !
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Minijeune
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Minijeune »

Pour quelqu'un qui semblait hésitante au départ et qui disait ne pas trop savoir si tu étais faite pour des études en médecine et en psychiatrie, je trouve que tu émets beaucoup ton point de vue en réponse à ce qu'on t'a répondu. Ce n'est pas n'importe qui qui aurait posté un message comme ça, rempli de peurs et d'indécision, qui aurait répondu avec tant d'aplomb...

Il ne faut pas oublié que le rôle d'un psychologue est d'essayer de te faire trouver des réponses à un certain point... ce n'est pas l'avis d'une seule personne qui devrait teinter ou non une décision... peut-être que justement, Mme Dubreuil voulait provoquer une réaction chez toi... semer le doute... c'est important de se remettre en question avant de faire d'aussi grosses études.

Moi je questionnerais ta réaction... Tes propres problèmes... peu importe quel travail que tu vas faire, en relation d'aide, ou en médecine, ou en psychiatrie, tu devras commencer par faire un travail sur toi.

Connaître ses motivations avant de faire quelque chose...
Dubreuil
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Dubreuil »

Hum, Croupette, promettez-vous de ne JAMAIS être comme eux :

Document n°7
Manifeste Nice-matin
copie Nice-matin, le 18/09/U

Psychiatrie - GSC2924.2742 »
Pavillon St Martin
chambre 32
Patient ADAM NADIR
Clinicien AURELIEN BICHU
Traitement retard jusqu’au 21/06/E minuit

- « Moi, Nadir Adam subrogé fou, propriétaire de la bouffée délirante réactionnelle décompensatoire majoritaire sur personnalité borderline C.I.M.9/298-80/29540/ DSM 3 révisé, chambre 32 du Pavillon 4 de St Martin, je témoigne céans de mon plus viscéral mépris pour tous les psychiatres sévissant à ce jour en institutions, cabinets ou milieux ouverts. Que ces meurtriers de l'âme soient hommes ou femmes, religieux ou athées, à obédience D.S.M.4, I0, 12, 14, 15 ou pas, je leur vomis à la gueule, me déculotte sur leur passage, je leur pisse à la raie et leur chie dans les godasses ! C'est peu je le sais, mais ça les ferait jouir si je me tuais, alors je les encule tous !
L'autre jour, je marchais dans le parc de l'hôpital, et brusquement je n’ai plus eu aucune force dans mes jambes. Quelque chose comme un vide unique occupait mon esprit, anéantissait mes énergies, d'un coup tout avait perdu sa couleur, rien ne justifiait que je vive, tout était devenu subitement vide, dénaturé. Mon corps était littéralement entravé, et mon esprit atterré par la plate manifestation de l'inutilité de la vie et des choses. Une fois dans ma cellule, j’ai interprété cette expérience comme un phénomène étranger à mon état conscient, un ratage de neurones me laissant entrevoir la décantation d'un passage à vide dans mon pauvre cerveau humain, l'outrage sidérant, ou sidéral, d'une bâche subitement levée sur la machinerie grossière de la création terrestre, ou bien le paradoxe scopique de ma recherche identitaire, où mon espoir est aussi profond que mon désespoir. Alors m’est venue l'image des lessiveuses s’entrechoquant ! Et ces heurts de lessiveuses qui vous résonnent aux tripes jusqu'à l'occlusion m'ont circonvolutionné vers ces encéphalopathes du pouvoir, ces psychiatres décervelés du cœur qui ont fait vœu d'aliénation sur leurs patients, et posent leurs fesses soi-disant pensives sur des fauteuils en cuir, parce qu'à force de péter d'orgueil et de suffisance il n'y a que le cuir qui tienne le choc. Les lessiveuses, c'est le corps qu'ils ont, avec soudé sur l'estomac un bureau protecteur plein de dossiers et d'ordonnances contre l'espoir contagieux de la rencontre. La lessiveuse par excellence, c'est le corpus-satanicus du psychiatre orthodoxisé à mort. Regardez-le ! La plupart du temps il ferme les yeux en parlant, tout juste si parler convient à la parcimonie du souffle qu'il vous accorde pour vous honorer de son caca-boudin. Et si par hasard ses yeux sont ouverts, ils se posent sur vous vides et ronds comme ceux d'une poule couvant son œuf clair. Tout pénétré de lui-même il n'a rien d'humain, pas de cœur, pas de viscères, pas de couilles. Entre sa bouche et son cul un simple tube où le vent l'enfile des deux côtés. Qu'allez-vous chercher le frisson dans un film d'horreur, regardez cet homme qui marche dans la rue, c'est un psychiatre ! Il part à sa boucherie quotidienne, comme le bourreau il est toujours très propre sur lui, l'âme ça n'éclabousse pas sous la torture, ça se saigne petit à petit !
Une fois par semaine, le mardi en général, protégé derrière son bureau, le lessiveur-psychiatre entouré de sa cour, les lessiveuses-acolytes-homogènes, dirige un groupe de parole entre saignés-saignants. Ce rituel d'excision hebdomadaire sur le moi-conscient du patient-lessivable entretient un refoulement des plus heureux. Il va sans dire, que si traînait chez un lessiveur-psychiatre-tueur le plus infime sentiment humain dans le cloaque de sa constipation affective, le patient-lessivable pourrait l'interpréter sur le mode délirant et faire un essai de dialogue, force alors serait de l'instruire sur la bienheureuse persistance des ghettos et shoahs terrestres !
Vénérables-lessiveurs-psychiatres, et vous lessiveuses-acolytes homogènes, ici se passe le procès journalier du désir, en telle urgence un jugement n'est plus à donner mais à reconduire. Ce patient-lessivable que l'on présente à votre Puanteur ne doit pas se relever de vos mauvais soins. Si par la plus terrible des malchances il avait jusqu'à ce jour échappé au sanies-broyeur de votre inquisition, prescrivez-lui diligemment une médication pour aphoner sa vigilance. Et si malgré tout, une quelconque velléité de rébellion se manifestait encore chez ce délateur, déclarez-le fou et passez-le au Traitement, qu'il ne fiche pas la pagaille dans le service !
Notre société dévoyée présente un prodrome de gourmandises en crémation, ses arrière-boutiques regorgent de clandestins psycho-meurtriers s'activant à éponger la liberté d'expression de leurs semblables sous des buvards parfumés aux neuroleptiques. Chaque groupuscule ne peut opérer s'il n'est réquisitionné par la Toute-puissante-autarcie-psychiatrique, grand vivier de psychiatres-fascistes-lessiveurs, intronisant dans la gorge du patient-lessivable n’importe quel maître ou bizut écarteleur-de-l'âme, pourvu qu’il sache magnifier l'art de s’y branler et d’y jouir sa cruauté mentale !
Etes-vous des leurs ? »
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MissCroupette
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par MissCroupette »

Dubreuil a écrit :
MissCroupette a écrit :
D'ailleurs, au risque de me répéter, je ne suis pas sûre de devenir psychiatre clinique. Il est très probable que je m'oriente dans la recherche...
*** Rassurez-vous, vous n'avez pas encore fait le bon choix.
Heu, c'est bien ceque je disais, non ?
Mais définitivement vous n'interprétez mes écrits que sur un mode interprétatif. Seriez-vous un tantinet parano ?
Je ne comprend simplement pas ce que vous entendez par là...
- Est-ce que vous me dites que la recherche en psychiatrie n'est pas non plus le "bon" choix ? Auquel cas alors j'éviterai de répondre car il s'agit d'une remarque absolument pas appropriée, et encore moins pour un psychologue
- Est-ce que vous me dites que j'ai le temps de choisir le temps de choisir le "bon" choix ? Auquel cas je continue de penser que quelque chose dans votre remarque est déplacé, probablement le "rassurez-vous"...

Mais si vous vouliez-dire autre chose, alors éclairez ma lanterne parce que je n'arrive visiblement pas à interpréter votre phrase de manière positive
MissCroupette
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par MissCroupette »

Minijeune a écrit :Pour quelqu'un qui semblait hésitante au départ et qui disait ne pas trop savoir si tu étais faite pour des études en médecine et en psychiatrie, je trouve que tu émets beaucoup ton point de vue en réponse à ce qu'on t'a répondu. Ce n'est pas n'importe qui qui aurait posté un message comme ça, rempli de peurs et d'indécision, qui aurait répondu avec tant d'aplomb...

Il ne faut pas oublié que le rôle d'un psychologue est d'essayer de te faire trouver des réponses à un certain point... ce n'est pas l'avis d'une seule personne qui devrait teinter ou non une décision... peut-être que justement, Mme Dubreuil voulait provoquer une réaction chez toi... semer le doute... c'est important de se remettre en question avant de faire d'aussi grosses études.

Moi je questionnerais ta réaction... Tes propres problèmes... peu importe quel travail que tu vas faire, en relation d'aide, ou en médecine, ou en psychiatrie, tu devras commencer par faire un travail sur toi.

Connaître ses motivations avant de faire quelque chose...
Je n'ai pas dit que j'avais peur que ce ne soit pas fait pour moi, j'ai dit que j'avais surtout peur qu'on me refuse ces études et aussi peur de ne pas en être capable, pas être assez calée en maths, en chimie ou en physique par exemple. Si j'ai eu le cran de demander à mon assistante sociale qu'elle fasse passer mon dossier au conseil, c'est que je le veux. Si j'ai le cran de quitter la psychologie pour tenter ça, c'est parce que je pense justement que ça colle mieux à ce que je veux faire.

Je connais très bien mes motivations, je connais aussi mes peurs... Et je connais aussi les barrières qui me sont extérieurs et mes propres barrières. Ce sont surtout les barrières extérieures qui me font peur, depuis toujours c'est ce que je ne peux contrôler, ce que je ne peux changer, dont j'ai peur. Ces barrières qui peuvent me faire obstacles sans que je ne puisse y faire grand chose.

Si le CPAS refuse mon projet, si mon assistante sociale vient me dire que le conseil a dit non à mon dossier, alors je n'aurai pas le choix, je ne pourrai pas entrer en médecine. Car si je le fais quand même alors qu'ils ont dit non, c'est mon revenu d'aide sociale que je perds, ce même revenu qui aide ma mère a ne pas être à la rue principalement, et si je ne suis même plus capable de donner l'argent dont ma mère à besoin, alors payer des études de médecine me sera inaccessible. Du coup si ils disent non, je ne pourrai même pas essayer. C'est ça qui me fait le plus peur.
MissCroupette
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par MissCroupette »

Dubreuil a écrit :Hum, Croupette, promettez-vous de ne JAMAIS être comme eux
J'ai coupé le texte pour ne pas faire trop long et noyer ma réponse, mais il est certain que là n'est pas mon but en allant en médecine. J'espère pouvoir connaître réellement les effets, tous les effets, positifs comme négatifs, de chaque médicament que je pourrais prescrire.
Moi même connaissant des problèmes psychologiques, comme vous avez tous pu le constater - cela n'étant pas du tout un mystère pour moi non plus - je sais pertinemment que je détesterais qu'on vide mon âme par facilité.

J'ai un grand pouvoir d'empathie, je me mets très (trop?) facilement à la place de certaines personnes, j'essaie toujours de les comprendre, et c'est pourquoi beaucoup de gens pensent que je ferais une très bonne psychologue. Mais je pense sincèrement que la psychiatrie me serait plus adaptée, j'avais déjà envie d'aller dans ce sens avant d'aller en psychologie. Alors évidemment, je ne ferme pas la porte de la psycho, mais c'est juste que j'ai envie d'essayer la médecine, la psychiatrie, et bien sûr, je ne peux que me promettre de ne jamais être comme ceux que de nombreux récits, dont celui-là, décrivent.

J'ai bien conscience que peu de gens apprécient les psychiatres à cause de ces cas abusifs qui, en effet, ne sont pas très rares... Mais j'ai conscience aussi qu'il existe des psychiatre qui font bien leur travail et qui le font avant tout pour le patient. C'est ce que je veux faire.

Mon dossier passe le 15 mai au conseil. Il y a des chances pour que j'y sois présente pour me défendre, et j'avoue que je suis assez angoissée à cette idée. Je ne doute pas de ma motivation. Mais il y a toujours un revers à la médaille. A la motivation, il y a la peur de l'autre côté. Toujours. Et ma plus grande peur, là, c'est de dire quelque chose qui irait contre moi, et d'être responsable de leur refus. J'ai vraiment envie de pouvoir essayer, j'ai envie de me prouver que je peux y arriver, alors ça me frustrerait vraiment beaucoup d'être arrêtée dès le début, j'avoue...
Dubreuil
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Dubreuil »

Ce texte est UN MANIFESTE écrit par une personne injustement internée en hôpital psychiatrique.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Dubreuil »

" J'ai un grand pouvoir d'empathie, je me mets très (trop?) facilement à la place de certaines personnes, j'essaie toujours de les comprendre, et c'est pourquoi beaucoup de gens pensent que je ferais une très bonne psychologue".
C'est une erreur, la première chose à faire pour aider son patient, c'est surtout de ne pas se mettre à sa place. C'est la neutralité qui lui permettra de " se " trouver.

J'ai bien conscience que peu de gens apprécient les psychiatres à cause de ces cas abusifs qui, en effet, ne sont pas très rares... Mais j'ai conscience aussi qu'il existe des psychiatre qui font bien leur travail et qui le font avant tout pour le patient. C'est ce que je veux faire.
Alors c'est excellent !

Mon dossier passe le 15 mai au conseil. Il y a des chances pour que j'y sois présente pour me défendre, et j'avoue que je suis assez angoissée à cette idée. Je ne doute pas de ma motivation.
Si vous le souhaitez vous pouvez m'envoyer ce que vous comptez dire comme motivations, et très simplement je vous dirai ce qui risque de vous porter préjudice. ( Je suis formatrice, et j'établis, entre autre des expertises psychiatriques auprès des tribunaux )
Vous êtes seule juge !!
mail : psy.dubreuil@gmail.com
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Dubreuil »

Etre psy

Il ne suffit pas d'obtenir son diplôme de psy en sortant de la fac pour mettre sa plaque et commencer à recevoir des patients.
Tout ne fait que commencer, et cela tout au long de sa vie. Le psy est en constante recherche sur lui-même et l'éclairage que peut lui donner à la fois les paroles du patient et la SUPERVISION qu'il effectue une fois par mois, ou selon son désir, avec un autre analyste-superviseur à qui il va continuer à évoluer et approfondir sa pratique.
Etre psy ce n'est pas un métier qui se peaufine avec l'expérience des autres, en les écoutant et en faisant ses propres déductions pour mieux répondre au suivant.
Ce n'est pas non plus considérer que l'on est doué(e) pour l'écoute et l'empathie, pour la compassion, la pitié, ou l'amour de son prochain.
Non plus être sûr(e) d'être investi(e) d'un bon sens à toute épreuve ou encore savoir toujours quoi répondre à l'autre, parce qu'on " sait " comme par magie, ou encore parce que l'on a " vécu " pire que cela, ou que l'on a dépassé cela.
Etre psy, c'est d'abord être passé(e) par le cabinet d'un autre psy. Avoir ressenti ce que nos patients ressentent dans les émotions liées au déliement de la parole.
C'est avoir fait SA PROPRE THERAPIE analytique.
C'est avoir réglé ses propres conflits affectifs.
Avoir appris à faire à chaque entretien la part des choses, entre ce que dit le patient, et ce que l'on en pense.
Avoir totalement intégré que l'on ne peut JAMAIS ( et qu'on ne doit pas ) se mettre à la place de l'autre.( Ce que me reproche par ex certaines personnes, me disant que je n'ai aucune empathie )
Que personne n'est en mesure de venir en aide à l'autre en lui proposant sa propre expérience.
Que le patient est UN, entier et indivisible et ne nous ressemble pas.
Que ses silences, ou sa trop facile parole, ses erreurs ou ses tâtonnements lui sont nécessaires pour SE trouver, pour qu'il puisse SEUL dire et nommer qui il est, et CE QU''il veut. C'est à dire qu'il soit en mesure de dire enfin où est son propre désir.
J'ai déjà écrit quelque chose de similaire sur ce forum, en réponse à une jeune femme qui avait commencé des études de psy, mais disait que la psychanalyse ne lui semblait pas utile, qu'elle n'avait pas apprécié ( ! )
H
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: Stress/Dépression - Etudes/Argent... Je n'en peux plus

Message par Dubreuil »

NB.
Message de COMMENT très intéressant dans ses références, effacé par mauvaise manipulation. Mille excuses.
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