adolescent mythomane

Forum mythomanie, mythomane
kikoomoi
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Inscription : 09 avr. 2012, 02:37

adolescent mythomane

Message par kikoomoi »

Bonjour, je pense que je vais avoir beaucoup, voir même énormément de choses à raconter sur ce sujet. Je ne sais même pas par quoi commencer, cela fait des heures que je réfléchis à des tonnes de choses, que j'ai lu plusieurs choses sur des forums, lu des définitions du mot "mythomane" (je tiens également à m'excuser pour les futures fautes d'orthographe, et à remercier ceux qui auront le courage de lire. Je voudrais également préciser que les noms utilisés dans ce topique seront faux)

Comme vous avez pu le remarquer dans le titre de ce topique, je m' interroge par rapport à la mythomanie.

Je ne m'étais jamais vraiment prise comme un adolescent mythomane tout d'abord, parce qu'un jour, dans la voiture avec ma mère, mon petit frère parlait de cela. C'était un moment où j'avais arrêter toute activités au niveau des mensonges, et ma mère avait déclaré : "un mythomane est quelqu'un qui ment, mais qui crois ce qu'il dit". Justement, c'est en l'état, comme moi, que l'on se rend compte que cela est plus complexe. En réalité, nous savons que nous mentons, mais cela amène un sentiment de "fierté", le/les regard(s) étant tourné vers nous.

Je pense que cela fait à peut près 1 an et demi que je suis tombée dans la véritable mythomanie, même si depuis toujours, j'invente de petits mensonges par ci par là pour épater la galerie, tout ça n'a rien à voir avec la suite. Je vais donc vous raconter mon histoire, ainsi que mes sentiments par rapport à cela.

Je suppose que tout cela à commencer en classe de 6ème. Je n'ai jamais vraiment été très proche par rapport à mes parents ainsi que le sujet tabou de la sexualité, et à cette époque là, l'intégration au collège était difficile. Je me posais donc des tonnes de questions par rapport à la sexualité. Pour mes 12 ans, on m'offrit un ordinateur portable. Voulant me mettre à jour, je commençais à regarder des vidéos à caractères pornographiques. Cela me plaisait, et je ne comprenait pas vraiment. J'ai voulu ensuite en parler, comprendre. J'ai donc crée 2/3 "fake" de filles assez "chaudes", discutant avec de jeunes hommes d'environ 20 ans, voir plus, me faisant passer pour des jeunes filles de 16-18 ans du haut de mes 12 ans. Mes parents s'en sont rendu compte lorsque j'eû un virus sur mon ordinateur et que ma mère vérifia mes historiques pour voir d'où cela provenait. J'ai continuer ces genre de "fake" jusqu'à mes quinze ans, jusqu'à ce que je rencontre mon premier amour en réalité, sachant que je ne me faisait pas prié pour montrer mon corps en webcam à des inconnus, voir même des pervers.

Revenons-en au sujet principal, il y a un an et demi, allez savoir à quel hasard, je me trouvais dans ma ville natale en compagnie de mes parents. Se trouvant là-bas seulement mes grands parents, ainsi qu'un ancienne meilleure amie d'enfance, avec qui je n'ai plus énormément de contact. Passons. J'étais en voiture avec mes parents, lorsque, passant devant une place, que vois-je ? Une bande de skater, que je n'aperçois que rapidement. Allez savoir pourquoi, je m'empresse d'envoyer un texto à ma meilleure amie "Devine quoi, j'étais sur un banc avec mon frère, y'avais une bande de skater plus loin, et y'en a un qui est venu prendre mon numéro !" Viens donc le moment où je m'invente une petite amourette, ayant un logiciel simple pour utiliser plusieurs compte MSN en même temps, il fût très simple pour moi de faire croire à ma meilleure amie que ces jeunes garçons étaient bel et bien réels. Malgré cela, je me dis sur le coup qu'il ne fallait pas que je m'enferme dans un tourbillon infernal. J'inventais donc une soirée, prétextant que j'allais à Toulouse, et passant tout un weekend seule chez moi à ne rien faire, pour faire croire mon absence. Le lendemain, j'avouais à Lucie (ma meilleure amie), que le garçon en question, Mathieu, avait voulu avoir un rapport sexuel avec moi durant la soirée, que je l'avais gentiment refoulé, et qu'il était aller voir ailleurs. Je me pensais tranquille et cette histoire totalement finis. C'était faux.

J'ai du passer quelques mois tranquille, ne parlant plus de cette histoire à Lucie. Elle était la seule au courant, j'avais prétexté que je ne voulais pas que les autre sois au courant. Elle, étant tellement naïve, n'y avait vu que du feu. J'avais oublié également un petit détail : je lisais des fictions. Je ne sais pas si cela me stimulais, mais les histoire présentent dans les fictions fanatiques donnent un aspect joyeux, heureux, libre à la vie. C'est en lisant ce genre de choses que mon envie de "mentir" revint (peut être comme les assassins, et leurs envie de tuer, qui sait ?) C'est alors que le meilleur ami de Mathieu, qui fût Thomas, devint peu à peu "mon meilleur ami". Je pouvais passer des heures à raconter à Lucie les bêtises que je fis avec Thomas, ou plutôt, à les inventer. Malgré tout cela, j'en parlais rarement "en face", cela se produisait surtout par SMS/FACEBOOK voir même MSN. A cette époque là, je ne me trouvais pas forcément jolie, je ne faisais pas attention à mon style, je n'avais pas non plus beaucoup d'amis masculin, en tout cas, pas d'amis masculin à qui j'attachais énormément d'importance. Je ne me faisais que des amis dans ma classe et n'était pas non plus populaire. Grâce aux fictions, je découvrais petit à petit le monde "sex, drugs&vodka", je lisais les narrations de fête etc... Cela me donnait des idées, que je comptais par la suite à ma chère amie Lucie. Ce que l'ont attendait arriva, Thomas tomba soudainement amoureux de moi, et je passais plusieurs moi en sa compagnie. Vous remarquerez tout de même que seule Lucie était au courant, mais cela me suffisait amplement. Mais, les jours passaient, et plus je m'enfonçais dans tout ces mensonges. Je stoppais net tout cela, disant que le "père" de Thomas était revenu, qu'il partait vivre chez son père etc... Malgré cela, Thomas refaisait son apparition quelques fois au près de Lucie, demandant de mes nouvelles, disant qu'il m'aimait (ainsi que Mathieu)

Je n'avais jamais réellement tester l'alcool, mais au vu de mes récits auprès de Lucie, nous avions préparer une petite fête entre amis. Il y avait Lucie, Caroline (une amie), ainsi que les frères Julien et Sébastien. J'avais raté le spectacle de kermesse de mon petit frère pour récupérer de l'alcool appartenant à mes parents, le mettant dans de petites bouteilles de coca, prétextant à Lucie que "je l'avais fais des tonnes et des millions de fois". Arrivée là-bas, voulant me la "pêter" un peu, je me mis à boire comme un trou, alcool mélangés, sans même avoir ajouté de jus d'orange ou quoi que se soit. Plus tard, je réussis tout de même, complétement bourrée, à pleurer des larmes de crocodiles dans les bras de Julien que Thomas m'avait laissé, que j'étais seule, que je l'aimais, qu'il me manquait etc...

L'année au lycée arriva. Je changeais totalement d'environnement, laissant place à de nouvelles têtes, de nouvelles personnes. Les petits va et vient de Thomas et Mathieu se faisait rare, ou bien fréquent, tout dépendait de mes humeurs, je suppose. Puis, au milieu du 1er trimestre, Lucie commença à fortement m'insupporter. De une par son comportement, mais également car le lycée dans lequel j'étais aller m'exorbitais. Je n'aimais pas les gens de ma classe, même les gens du lycée, la quintessence même de la bourgeoisie à l'état pure (sachant que j'habite à la montagne, et que je mettait à peut près 1h30 pour aller au lycée le matin, ainsi que 1h30-2h pour remonter chez moi en transport en commun.) Il faut également prendre en compte que durant les vacances d'été, j'avais assez changer. J'étais devenue beaucoup plus sociable, j'avais trouvé mon style vestimentaire, un style bien à moi, mélangeant un style cool et classe. Sans avoir un égo totalement surdimentionné ou bien un narcissisme pure, je dirais que comparer à quelques mois plutôt, j'étais devenue "jolie" voir même "mignonne", certains garçons allant jusqu'à me dire que j'étais "belle" ou même "magnifique". Bref, je me socialisais énormément avec les gens extérieur à mon lycée, que nous allons appeler le lycée X. Passons. Je possédais à cette époque une seconde meilleure amie, nommée Maé. Maé n'était pas aussi naïve que Lucie, je ne lui avais donc aucunement parler de toute mon "histoire", j'avais l'impression que c'était la part de raison qu'il restait encore en moi, une forme de pureté, surtout quand elle me disait "je connais toute ta vie, tu connais toute la mienne". Revenons au : "pourquoi je ne m'entendais plus avec Lucie."

Tout d'abord, en fin de 3ème, deux choix s'offrait à moi : Aller dans le même lycée que Lucie, en ayant 3h de route par jours, ou bien aller dans le lycée où Maé comptait aller, le lycée Y (sachant que c'était moi même qui avait donné cette idée à Maé) et être en internat. Malheureusement, Lucie me fit un crise, et je pris comme décision le lycée X. Ce fût le drame total. En dépit de ne pas m'entendre avec mon environnement social, je m'endormais en cours (étant obligée de me lever à 5h le matin, et rentrant à 20h le soir) je ne tenais plus et ne faisait plus mes devoirs, ma moyenne générale passa de 12 à 7,5. J'en voulais à Lucie, je lui avouais tout, que je n'en pouvais plus d'elle, cherchant n'importe quelle excuse minable pour m'en sortir, car je savais que c'était tout de même de ma faute, d'avoir accepter. La seule chose que j'avais trouvé pour me faire plaindre ? Avouer le décès d'une amie de Toulon, enfin, avouer... plutôt inventer. (Je tiens également à préciser que malgré cela, je me prend beaucoup la tête sur de vielles choses qui m'ont traumatisé étant enfant, et qui ne devrait plus le faire, j'arrive à faire "semblant de bader" sur des choses réelles, comme je peux le faire sur des chose irréelles. Le suicide de mon oncle ainsi que la mort de ma grand-mère -choses réelles- m'ont beaucoup fait réfléchir. En parlant beaucoup aux gens, inventant de futiles détails avec eux. Racontant des choses merveilleuses sur mon oncles alors que je ne m'en rappel même pas...) C'est à ce moment là, en fin décembre, que je rencontrais Maël. J'avais passer une soirée chez Maé pour Halloween, et nous avions un peu bu. J'avais récupérer le téléphone de celle ci et avait envoyer des messages étrange à tout ses contacts. Maël m'avait retenu, à ce moment, je ne le connaissais pas, j'avais juste entendu son nom par ci, par là, mais sans plus. Sachant qu'il commençait à tomber amoureux de Maé, et qu'il commençait d'ailleurs à en souffrir. Elle fût toujours prise d'un don pour avoir un cœur de pierre par rapport aux garçons qui lui couraient après, Maé étant tout simplement sublime et ne l'avouant pas.

Maël demanda mon numéro de téléphone à Maé (ils étaient dans la même classe), et m'envoya des messages. Il n'était pas contant car je n'enregistrais jamais son numéro. Au fur et à mesure, nous nous rapprochâmes petit à petit, nous étions de plus en plus proche, parlions tout le temps, passant nos journées ensemble dès que nous avions du temps libre. Thomas et toute la clic avait disparu, effacé, abandonné. J'étais tout simplement heureuse, ce garçon me redonnait le sourire. Pendant les vacances de décembre, Maé partit en Amérique. A chaque fois que je voyais Maël, Maé était présente, c'était un "pilier" entre nous deux, pour moi, Maël voulait sortir avec Maé et personne d'autre. Au départ, il me parlait d'elle, mais il se calma petit à petit, ne m'en parla plus, puis commença à me sortir des petites phrases de dragueur par ci par là, à me sortir de magnifiques textes que je pouvais lire le matin en me réveillant à 5h00. Je planais avec ce garçon, il devenait mon tout, mais je ne m'en rendait même pas compte. On se tournait systématiquement autour. Je l'avais rencontré le 7 décembre, et le 24 décembre au soir, il m'avoua en clair qu'il m'aimait. Enfin, en clair... il m'avouait que je lui plaisait, mais je n'avais rien voulu savoir, et le lendemain, je m'étais mise en couple avec un jeune garçon du nom de Karim. C'était un garçon adorable, fin, fou, un peu grande gueule, très gentil. Mais malgré tout cela, ma relation avec Maël continuait d'avancer, nous étions tout simplement fusionnel, les même idées au même moment, les petits bisous sur la joue tout en s'interdisant la bouche. J'étais amoureuse et ne m'en rendais même pas compte. Pour le 31 décembre, mes parents m'avaient interdit de sortir, j'avais du passer la journée avec eux. Maël était prêt à venir avec moi voir ma famille, juste pour passer ce jour avec moi, laissant tomber son meilleur ami, toute sa bande etc... Je ne me rendais pas compte de la chance que j'avais. Au final, ma mère m'avait dit : "Tu peux inviter quelqu'un à la maison la journée", j'avais choisis Maël. Il avait eu la foie de monter jusqu'à "ma montagne", se tapant 2h de transport en commun. Il avait fait exprès de monter le plus tôt possible, et se trouvait déjà à 9h du matin dans mon village. Malheureusement, je ne m'étais pas réveillée, et il avait attendu plus de 2 heures dehors, à patienter. Quelques jours plus tard, je me séparais de Karim car j'étais trop proche de Maël, et un mardi soir, je séchais les cours pour le voir, puis nous nous mîmes ensemble. Cela va bientôt faire 3 mois, et malheureusement, nous avons eu des problèmes comme dans chaque couple. Maël est en réalité très lunatique, quand il ne va pas bien, il ne va pas me montrer qu'il m'aime, il va même jusqu'à dire des choses blessantes, vexante... C'est là que Thomas a réapparut. Disant qu'il me voulait etc. J'ai raconté à Maël, étant prise au dépourvu, que Thomas m'aurait frapper à plusieurs reprises, cela avait déclancher une crise d'appartenance par rapport à moi, si je puis dire ça, ainsi que de la douceur. Malgrès cela, je ne sais pourquoi, il a exactement 3 heures, je lui ai dis que Thomas m'avait "abuser sexuellement", depuis, il me répond plus. J'ai très peur, je ne sais plus quoi faire.

C'est à ce moment là que je me suis rendue compte à quel point ceci est une spirale dont il est très dur de s'en sortir. J'ai toujours voulu être psy. Et on dit que les psy sont les plus en souffrance. En réalité, je pense que je me sent seule, incomprise, que je n'accepte pas la vérité, les pensées des gens, que je manipule à ma façon, voulant obtenir ce que je cherche ? Cela me fait tellement mal de mener en bateau l'homme que j'aime, je ne sais pas quoi faire pour que cela s'arrête... De plus, je le fais souffrir, peut être pour une question d'égo, qui sait.. Je n'en sais rien. Je veux seulement des réponses qui ne m'enfonceront pas, je cherche à me dégager de la merde dans laquelle je me suis mise. Rien que d'écrire tout cela m'a mener à une réflexion par rapport à moi même. (D'ailleurs, je rajoute que j'ai fais croire que j'étais aller voir un psy à l'âge de 7 ans lors du suicide de mon oncle, que j'étais tombée dans l'anorexie etc)... Voilà, vous connaissez tout désormais, chaque mensonge. Bonne lecture, ahah... Et j'espère avoir de l'aide...
Astrid
Messages : 1
Inscription : 17 avr. 2012, 20:34

Re: adolescent mythomane

Message par Astrid »

C 'est fou parce que je suis exactement dans le même cas que toi et je pense qu'on a le même age. Malheureusement je ne peux pas t'aider car si je suis venue sur ce site , c'est pour que l'on m'aide reellement. En tout cas je suis trés heureuse de voir qu'une personne est dans la même merde que moi à ce moment la.
Cléodu85
Messages : 6
Inscription : 19 avr. 2012, 11:26

Re: adolescent mythomane

Message par Cléodu85 »

Bonjour kikoomoi ,

J'ai lu en entier ta grande confession, et je pense que tu est loin d'etre la seule dans ce cas . Tu mens tellement bien que tu te mens toi même en exterieur . En ce moment ça te pourrie la vie , je peux le comprendre mais si tu joue la "stratège" tu pourrais remettre la situation à ton avantage . Tu a fais croire à ton copain que tu avait été abusé sexuellement par "thomas" , il ne te répond pas , il l'a surement mal pris de ce fait ...

A ce moment là , c'est à toi de trouver la meilleure solution , tu t'es mis dans ce pétrain à toi de t'en sortir , ça peut paraitre dur mais mentir aux gens qu'on aime n'est pas vraiment une preuve d'amour ...

Sois tu te débarasse de thomas soit de ton copain , qui aime tu le plus ? Celui qui te fait réver à des scénario qui épateront la galerie qui voudra bien l'entendre (et te sortira de situation compliquées )ou celui qui t'a prouvé son amour dans la réalité , ( Je suppose que c'est comme la cigarette : soit tu arrete d'un coup soit tu continue , le faire progressivement sera difficile )

Peut etre pourrait tu dire à ton copain que thomas n'a jamais existé ,
mais je ne pense pas que ce sera facile pour toi non ? :s
Ou dis lui qu'il ne t'a jamais abuser , que c'était "tester" ça réaction (tu devrais le rassurer car les abus sexuels sont graves et c'est un sujets douloureux pour des centaines de filles qui l'ont vécue)
ensuite tu pourrais lui dire que thomas est partie , tout simplement ( ce qui , quelque part ne serais pas totalement un mensonge )

Pour ce qui est du probleme en générale , toi et Astrid en etes touchés apparement ..
Vous avez l'air d'avoir énormément d'imagination et je trouve ça génial quelque part (beaucoup n'ont pas la moindre étincelles de crétion et j'en fais partie xp)

Si vous avez du mal à "stopper" cette spirale , je vous conseille de ne pas continué sur vos personnes les plus proches , elles pourront souffrir et vous aussi :(
c'est sur que tout le monde a deja rajouter son grain de sel a d'innombrables fait dans l'histoire , pour se donner de l'importance aux yeux des gens , c'est sur c'est humain et ce n'est pas un crime tant que ça ne touche pas les gens que vous aimez .
Le mensonge est un vilain défaut si on ne sait pas s'en servir , mais il peut avoir des coté bénéfique (attention je ne l'encourage pas dans tout les cas)
mais imaginons qu'une amie est mal dans sa peau et peut parfois vous poser des questions génante sur son physique ou sont comportement et qu'elle vous demande d'etre sincère , parfois peut etre vaut il mieux ne rien en faire et vouloir a tout pris la rassurer , et si on le fait c'est parsqu'on l'aime et qu'on la voir sourire et reprendre confiance etc ...

vos situations respectives doivent surement avoir des solutions , à vous de les trouver et de les mettre convenablement en pratique .
Bon courage à toutes les deux !
Bisoux !
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