Incendies gigantesques à l'horizon
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Maintenant comprenez-vous??
*** A mon tour, là n'était pas mon sujet.
Et désolée, j'aime beaucoup, beaucoup, beaucoup, les chiens ! Donc aucune chance de les mêler avec des histoires d'hommes.
PS. Incendies gigantesques à l'horizon
*** A mon tour, là n'était pas mon sujet.
Et désolée, j'aime beaucoup, beaucoup, beaucoup, les chiens ! Donc aucune chance de les mêler avec des histoires d'hommes.
PS. Incendies gigantesques à l'horizon
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Le Ps en question avec l'analogie chien/homme
Grand bien vous fasse. Là n'est ni le propos, ni une proposition vous concernant. Vous pouvez donc vous détendre, aucun chien n'a été maltraité durant la rédaction de ce commentaire.
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Je ne peux pas répondre à tout, bien que tout soit intéressant. Dans un premier temps:
Ils meurent. Et là ils nous renvoient à ce sentiment d'abandon.
Le lien que je ressens avec lui c'est comme une connivence d'enfant "vilain petit canard" blessé par les adultes. Peut être mes projections de mon vécu sur son vécu, mais aussi des souvenirs de moment partagés où je nous ressentais comme deux enfants, qui sont encore vivant émotionnellement en nous parfois dans la douleur, mais surtout dans l'authenticité. Au fait, dans le rêve le chien n'est pas mort. Oui, à l'heure d'aujourd'hui je ne me méfie pas des hommes mais de moi-même et de ce fameux lien. Car tout mon vécu m'indique que ça ne fonctionne pas à la longue.
Si; comme tout être vivant ici bas, quand nous sommes "attachés", en lien.
Ils meurent. Et là ils nous renvoient à ce sentiment d'abandon.
Ce lien indéfinissable, je l'ai ressenti encore hier en visionnant le film bouleversant "Les chatouilles".Nomatone a écrit : ↑01 oct. 2023, 10:38 Comme s’il existait un « lien indéfinissable »? Presque malgré vous? Le reliquat d’un lien fusionnel (réel ou fantasmé)?
Ces derniers fils non tranchés, que cet homme peut flairer chez vous, grâce auquel il peut suggérer que vous reveniez vivre avec lui alors que l’idée même réveille en vous des alertes importantes.
C’est du lien « à tout prix » dont vous devez vous méfier. Dont peut-être votre inconscient vous met en garde avec ce chien (fidèle compagnon de l’homme) qui finit dévoré par les flammes (la passion, au sens de « l’amour intense »).
Le lien que je ressens avec lui c'est comme une connivence d'enfant "vilain petit canard" blessé par les adultes. Peut être mes projections de mon vécu sur son vécu, mais aussi des souvenirs de moment partagés où je nous ressentais comme deux enfants, qui sont encore vivant émotionnellement en nous parfois dans la douleur, mais surtout dans l'authenticité. Au fait, dans le rêve le chien n'est pas mort. Oui, à l'heure d'aujourd'hui je ne me méfie pas des hommes mais de moi-même et de ce fameux lien. Car tout mon vécu m'indique que ça ne fonctionne pas à la longue.
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Et si tout ce que nous fuyons et évitons était pour nous des occasions perdues de travailler sur quelque chose d’essentiel?
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
NB. pour Nomatone.
Vous m'écrivez :
- Grand bien vous fasse. Là n'est ni le propos, ni une proposition vous concernant. Vous pouvez donc vous détendre, aucun chien n'a été maltraité durant la rédaction de ce commentaire.
*** Pourquoi cette réponse m'apparaît-elle quelque peu agressive à mon endroit ?
Intéressant.
Vous m'écrivez :
- Grand bien vous fasse. Là n'est ni le propos, ni une proposition vous concernant. Vous pouvez donc vous détendre, aucun chien n'a été maltraité durant la rédaction de ce commentaire.
*** Pourquoi cette réponse m'apparaît-elle quelque peu agressive à mon endroit ?
Intéressant.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Réponse à Nomatone :
C'est à votre analogie et interprétation du rêve que je répondais, à ceci :
" C’est du lien « à tout prix » dont vous devez vous méfier. Dont peut-être votre inconscient vous met en garde avec ce chien (fidèle compagnon de l’homme) qui finit dévoré par les flammes (la passion, au sens de « l’amour intense »).
Quant à ma proposition :
- " NON ! Nous nous abandonnons à eux. (les hommes) Il faudrait peut-être arrêter ce rôle de victimes, larmoyantes et fatalistes !" -, concernant toutes les femmes amoureuses, vous répondez :-- "Ce n'est pas mon avis personnel!"- donc :
Quel est votre avis personnel ?
C'est à votre analogie et interprétation du rêve que je répondais, à ceci :
" C’est du lien « à tout prix » dont vous devez vous méfier. Dont peut-être votre inconscient vous met en garde avec ce chien (fidèle compagnon de l’homme) qui finit dévoré par les flammes (la passion, au sens de « l’amour intense »).
Quant à ma proposition :
- " NON ! Nous nous abandonnons à eux. (les hommes) Il faudrait peut-être arrêter ce rôle de victimes, larmoyantes et fatalistes !" -, concernant toutes les femmes amoureuses, vous répondez :-- "Ce n'est pas mon avis personnel!"- donc :
Quel est votre avis personnel ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Et si il était non pas question de sortir du rôle de victime, mais plutôt de le reconnaitre? Mais surtout aussi reconnaitre que nous nous trompons de coupable? Et si c'était "juste" une répétition d'une scène de l'enfance? du premier abandon déchirant qui continue de se rejouer parce que l'enfant en nous pleure encore de ne pas être entendue? Qui, abandonnée par un homme ne s'est pas sentie comme une petite fille orpheline/oubliée/abandonnée avec cette peine immense qui caractérise les pires chagrins d'enfant (revoir la scène du film Bambi dans la quelle sa maman est tuée).
Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Et si il était non pas question de sortir du rôle de victime, mais plutôt de le reconnaitre?
*** En analyse, c'est le début de la délivrance.
Mais surtout aussi reconnaitre que nous nous trompons de coupable? Et si c'était "juste" une répétition d'une scène de l'enfance? du premier abandon déchirant qui continue de se rejouer parce que l'enfant en nous pleure encore de ne pas être entendue?
*** Bien sûr. Mais ce sont des "constatations", pas des solutions.
Et après ?
Qui, abandonnée par un homme ne s'est pas sentie comme une petite fille orpheline/oubliée/abandonnée avec cette peine immense qui caractérise les pires chagrins d'enfant (revoir la scène du film Bambi dans la quelle sa maman est tuée).
*** C'est VOTRE perception, la petite fille orpheline...
Et puis, bien plus souvent qu'on ne le pense, pour l'enfant il y a la résilience quand un parent meurt.
Mais cela ouvrirait un sujet très vaste
*** En analyse, c'est le début de la délivrance.
Mais surtout aussi reconnaitre que nous nous trompons de coupable? Et si c'était "juste" une répétition d'une scène de l'enfance? du premier abandon déchirant qui continue de se rejouer parce que l'enfant en nous pleure encore de ne pas être entendue?
*** Bien sûr. Mais ce sont des "constatations", pas des solutions.
Et après ?
Qui, abandonnée par un homme ne s'est pas sentie comme une petite fille orpheline/oubliée/abandonnée avec cette peine immense qui caractérise les pires chagrins d'enfant (revoir la scène du film Bambi dans la quelle sa maman est tuée).
*** C'est VOTRE perception, la petite fille orpheline...
Et puis, bien plus souvent qu'on ne le pense, pour l'enfant il y a la résilience quand un parent meurt.
Mais cela ouvrirait un sujet très vaste
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Re: Incendies gigantesques à l'horizon
En me relisant ce matin, je ne dis pas, bien sûr, que la résilience efface le traumatisme. Mais elle permet de vivre à côté.
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Re: Incendies gigantesques à l'horizon
Et après? Consoler l'enfant en nous? Se dédoubler et s'adresser à lui comme imaginé dans le film "Les chatouilles"? Ou comme le dit le moine vietnamien Thích Nhất Hạnh: Amener la souffrance à la conscience; bercer cette graine de souffrance jusqu'à apaiser ses pleurs jusqu'au prochain réveil. Nourrir les graines de bonheur ensuite, disait il. Je site "Pour transformer notre souffrance, nous ne luttons pas contre elle et nous n’essayons pas de nous en débarrasser. Nous lui faisons simplement prendre un bain de pleine conscience."Dubreuil a écrit : ↑02 oct. 2023, 21:32
Mais surtout aussi reconnaitre que nous nous trompons de coupable? Et si c'était "juste" une répétition d'une scène de l'enfance? du premier abandon déchirant qui continue de se rejouer parce que l'enfant en nous pleure encore de ne pas être entendue?
*** Bien sûr. Mais ce sont des "constatations", pas des solutions.
Et après ?
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