DEPRESSION SEVERE A 20 ANS ET PENSEES SUICIDAIRES

Forum dépression nerveuse, thérapie dépression
kingofspartia
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DEPRESSION SEVERE A 20 ANS ET PENSEES SUICIDAIRES

Message par kingofspartia »

Bonjour à tous, pour commencer je tiens à dire que ce message sera plutôt long puisque j'ai besoin d'avis pour m'en sortir et pour cela il faut que vous connaissiez tous mes problème.
Je m'appelle Hugo et je suis un jeune homme de 20 ans en 2nd année de prépa HEC . Depuis 2 ans ( donc en gros depuis que j'ai commencé mes études après le bac) je sombre de plus en plus en dépression. Je ne parle pas de dépression passagère mais d'une dépression qui m'a poussé à me faire du mal, à m'isoler de tout que ce soit de ma famille que des relations sociales et amoureuses.
Durant mon adolescence j'étais extrêmement timide dans les relations sociales même si je le paraissais pas. Les gens me trouvaient bizarre et je n'avais pas d'amis. Mes seules relations sociales étaient en fait.. à l'école ou plus précisément en salle de classe: j'avais l'impression que les gens étaient mes amis parce qu'ils étaient assis à coté de alors qu'en fait ils étaient assis là pas par affection mais parce que bah l'école c'était obligatoire. Ma famille me traitait d'ermite et d'asocial. Mais je ne m'inquiétais pas de cette situation, je me disais qu'avec l'adolescence tout allait changer. Mais en fait pas du tout. Arrivé en 2nd puis en 1er les garçons autour de moi changeait physiquement ( ils muaient, avaient de la barbe... bref devenaient des hommes) tandis que mon visage demeurait celui d'un petit garçon, et cela a profondément affecté mes relations avec les autres. J'avais l'impression de n'être qu'un bouler pour eux, je culpabilisais et je n'arrivais pas à me sociabiliser. Je restais tous les we dans ma chambre à m'abrutir sur des jeux vidéos alors que j'aurais adoré sortir avec eux. Petit à petit j'ai développé une phobie sociale je ne sortais jamais de chez moi: pour mes anniversaires je n'avais qu'une envie c'était de passer au lendemain. Bref ma situation amoureuse et sociale était de l'ordre du zéro jusqu'à ma terminale. Psychologiquement je ne me suis donc pas formé à partir de relations amicales et sociales.
Puis après mon bac j'ai été pris en école préparatoire pour intégrer une école de commerce HEC. C'est là que le choc est survenu. Je fréquentais donc des étudiants de 18/19 ans qui eux ont profité de leur adolescence ( fête, vie amoureuse et sexuelle) et qui psychologiquement était plus stable que moi. En effet je commençais à prendre conscience que j'étais anormal. Puis une déception amoureuse est arrivé en début de 1er année de prépa ( avec la seule petite amie que j'ai eu et c'était en terminale) et j'étais dévasté. Elle était ce qui me rassurait, je me disais "Ah bah non pourquoi je psychote ? j'ai une copine tout va bien pour moi". Etant seul en France sans ma famille, je pleurais tous les jours.
Mes relations sociales ne se sont toujours pas amélioré mais j'ai quand même réussi à me faire un ami que j'apprécie énormément, sans lui j'aurai abandonné ma 1er année de prépa. Ma solitude, ma tristesse et des milliers de questions me trottant dans la tête à propos de ma relation à moi même et aux autres m'ont alors conduit 1 mois après le commencement des cours à me faire du mal. Plus précisément je m'esquinter les incisives du bas, tous les jours je les touchais nerveusement, j'appuyais dessus je forçais. C'était le seul moyen pour moi de canaliser toute ma tristesse et mon angoisse. C'est ridicule je sais mais j'avais besoin de me faire mal. Je culpabilisais, je me disais que le problème c'était moi: que j'avais mérité de perdre ma petite amie et que je méritais de ne pas avoir d'amis. Au bout du compte mes 4 incisives se sont déchaussées et j'ai maintenant une prothèse amovible ... à 20 ans. En parallèle c'était dur d'avoir de bon résultats en prépa mais je m'accrochais grâce à cet ami que je m'étais fait et qui me soutenais. En cours les gens me prenaient pour un fou parce que j'avais des TOC: toc nerveux au niveau du cou, obsédé à toucher mes dents...
Je suis maintenant en 2nd année de prépa HEC et tout se passe très mal. Je crains pour ma vie désormais et j'ai l'impression d'être fou. Les soirs ou je me sentais seul et désespéré je pensais au suicide, je broyais du noir , il m'est même arrivé à plusieurs reprises de prendre un couteau dans les 2 mains et de le mettre à 10 cm de mes yeux: je savais que j'étais capable de l'enfoncer et de me rendre aveugle et donc j'ai résisté avec une telle peur que je ne l'ai pas fait mais après avoir reposé le couteau je me suis dit "Mais qu'est ce que j'étais sur le point de faire ?" Je me suis assis par terre et j'ai pleuré. J'ai l'impression de devenir fou, ca me fait mal de raconter ca parce que j'ai vraiment l'impression de devenir fou. Il m'arrive de parler tout seul pendant presque 15 minutes parce que j'ai personne à qui me confier, à qui parler de mes problèmes. Tant de questions trottent dans ma tête. Me faire mal physiquement est tout ce qu'il me reste. Ca m'arrive par moment j'ai des lubies. L'été dernier ma lubie c'était de me toucher les yeux avec l'index et d'appuyer jusqu'à ce que ca me fasse mal: résultat ma mère s'inquiétait pour moi. J'ai essayé de lui en parler j'ai raconté aussi pour le coup du couteau, et elle m'a lancé un regard que je n'avais jamais vu auparavant: elle savait que psychologiquement j'étais atteint et avait peur que je me fasse du mal. Malheureusement on en a pas reparlé, c'est difficile car ils vivent à l'autre bout du monde (notre situation est un peu compliqué).
Il y a 1 mois j'ai pris rendez vous avec un endocrinologue pour savoir si je n'avais pas un problème hormonale. En effet ma timidité et mon incapacité à tisser des relations venaient de mon impression d'être différent des autres hommes et de ressembler à un garçon ( j'ai une voix qui n'a pas mué), donc je m'isolais car je pensais être un fardeau pour tout le monde). Les résultats sont tombés: problème de testostérone et l'endocrinologue va me mettre sous traitement hormonale de substitution dans quelques semaines. Mes problèmes seraient ils dus à ca ? Irai-je mieux socialement après ce traitement ? tant de questions qui me viennent à l'esprit.
Donc au finale les concours HEC débutent dans une semaine et le bilan de mes 2 années de préparations , c'est que comme au lycée et au collège j'ai toujours autant de difficultés a avoir des relations sociales, sauf que désormais j'en prends conscience. Je suis persuadé de ne pas avoir d'école car mes résultats ne sont pas bons. J'ai eu mon bac ES avec 17,89 de moyenne et je suis le dernier de ma classe désormais, je pense avoir raté mes études et cela me pèse énormément sur la conscience en plus de tous mes autres problèmes.

Voilà, je suis désolé du pavé mais au moins vous avez toutes les cartes en mains pour me donner votre avis sur ma situation. Je ne recherche pas l'empathie ni la commisération mais un regard extérieur. J'aimerais vivre comme un jeune normale de 20 ans: avoir une vie sociale , amoureuse et sexuelle. Moi je n'ai rien de tout cela, je reste enfermé chez moi et ma sœur est désespérée de me voir comme ca mais je ne sais pas comment changer et surtout par quoi commencer. Ma situation m'a conduit à délaisser ma famille, sur Skype ou même à table je.. ne sais pas quoi dire, c'est comme si c'étaient devenu des étrangers. Je leur fais du mal mais c'est pas mon intention. C'est comme si ces 2 années d'études secondaires m'avaient changés et j'ai peur d'être devenu qu'elqun de psychologiquement instable. En tout cas pour l'instant mon seul espoir c'est que le traitement hormonale puisse être un exutoire à mes problèmes.

Merci énormément de m'avoir lu.
Je vous remercie énormément de m'avoir lu.
der

Re: DEPRESSION SEVERE A 20 ANS ET PENSEES SUICIDAIRES

Message par der »

Bonsoir je te conseil de prendre rdv chez un psychiatre pour moi tu est malade rien que le suicide ca suffit pour consulter un psychiatre après c'est pas une fobie sociale que t'a tu est scolariser arrive a avoir des bonne note felicitation pour ton bac moi j'ai pas de diplome et juis deg après pense a t'es proche il doivent trop inquité de ta santé mentale pour moi t'es angaisser, anxieu pour te canaliser tu peut demander a un psy des anti depresseur ca détent quand on trop stresser et tu dort bien allez bon courage pour la suite ,cordialement
Dubreuil
Psychologue clinicien
Messages : 19311
Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: DEPRESSION SEVERE A 20 ANS ET PENSEES SUICIDAIRES

Message par Dubreuil »

[quote="kingofspartia"
obligatoire. Ma famille me traitait d'ermite et d'asocial.
paradoxalement, c'est " la famille " qui rend l'enfant " associal "

Petit à petit j'ai développé une phobie sociale je ne sortais jamais de chez moi: pour mes anniversaires je n'avais qu'une envie c'était de passer au lendemain. Bref ma situation amoureuse et sociale était de l'ordre du zéro jusqu'à ma terminale. Psychologiquement je ne me suis donc pas formé à partir de relations amicales et sociales.
Le début étant de votre part la honte de votre physique.
Qu'en est-il maintenant ?

. En effet je commençais à prendre conscience que j'étais anormal.
" anormal " de quoi ?

Puis une déception amoureuse est arrivé en début de 1er année de prépa ( avec la seule petite amie que j'ai eu et c'était en terminale) et j'étais dévasté. Elle était ce qui me rassurait, je me disais "Ah bah non pourquoi je psychote ? j'ai une copine tout va bien pour moi". Etant seul en France sans ma famille, je pleurais tous les jours.
Cela arrive à chacun d'entre nous. C'est ainsi que l'on évolue, et c'est malheureusement... normal.

Mes relations sociales ne se sont toujours pas amélioré mais j'ai quand même réussi à me faire un ami que j'apprécie énormément, sans lui j'aurai abandonné ma 1er année de prépa. Ma solitude, ma tristesse et des milliers de questions me trottant dans la tête à propos de ma relation à moi même et aux autres m'ont alors conduit 1 mois après le commencement des cours à me faire du mal. Plus précisément je m'esquinter les incisives du bas, tous les jours je les touchais nerveusement, j'appuyais dessus je forçais. C'était le seul moyen pour moi de canaliser toute ma tristesse et mon angoisse. C'est ridicule je sais mais j'avais besoin de me faire mal. Je culpabilisais, je me disais que le problème c'était moi: que j'avais mérité de perdre ma petite amie et que je méritais de ne pas avoir d'amis. Au bout du compte mes 4 incisives se sont déchaussées et j'ai maintenant une prothèse amovible ... à 20 ans. En parallèle c'était dur d'avoir de bon résultats en prépa mais je m'accrochais grâce à cet ami que je m'étais fait et qui me soutenais. En cours les gens me prenaient pour un fou parce que j'avais des TOC: toc nerveux au niveau du cou, obsédé à toucher mes dents...
Tout ceci est à relier à votre éducation , l'amour et l'écoute que vous avez eu enfant.

Je crains pour ma vie désormais et j'ai l'impression d'être fou. Les soirs ou je me sentais seul et désespéré je pensais au suicide, je broyais du noir , il m'est même arrivé à plusieurs reprises de prendre un couteau dans les 2 mains et de le mettre à 10 cm de mes yeux: je savais que j'étais capable de l'enfoncer et de me rendre aveugle et donc j'ai résisté avec une telle peur que je ne l'ai pas fait mais après avoir reposé le couteau je me suis dit "Mais qu'est ce que j'étais sur le point de faire ?" Je me suis assis par terre et j'ai pleuré. J'ai l'impression de devenir fou, ca me fait mal de raconter ca parce que j'ai vraiment l'impression de devenir fou. Il m'arrive de parler tout seul pendant presque 15 minutes parce que j'ai personne à qui me confier, à qui parler de mes problèmes.
N'est pas fou qui veut ! Le fou ne sait pas qu'il est fou. il se porte bien, est rarement malade et est sûr que ce sont les autres qui déraillent.
Vous n'êtes pas fou, vous avez des traumatismes affectifs à comprendre pour ensuite les résoudre.
Vous êtes solitaire et desespéré de l'être.

Tant de questions trottent dans ma tête. Me faire mal physiquement est tout ce qu'il me reste. Ca m'arrive par moment j'ai des lubies. L'été dernier ma lubie c'était de me toucher les yeux avec l'index et d'appuyer jusqu'à ce que ca me fasse mal: résultat ma mère s'inquiétait pour moi. J'ai essayé de lui en parler j'ai raconté aussi pour le coup du couteau, et elle m'a lancé un regard que je n'avais jamais vu auparavant: elle savait que psychologiquement j'étais atteint et avait peur que je me fasse du mal. Malheureusement on en a pas reparlé, c'est difficile car ils vivent à l'autre bout du monde (notre situation est un peu compliqué).
Vous pouvez aller tout seul consulter un psy dans un CMP de votre ville, c'est gratuit.

Il y a 1 mois j'ai pris rendez vous avec un endocrinologue pour savoir si je n'avais pas un problème hormonale. En effet ma timidité et mon incapacité à tisser des relations venaient de mon impression d'être différent des autres hommes et de ressembler à un garçon ( j'ai une voix qui n'a pas mué), donc je m'isolais car je pensais être un fardeau pour tout le monde). Les résultats sont tombés: problème de testostérone et l'endocrinologue va me mettre sous traitement hormonale de substitution dans quelques semaines. Mes problèmes seraient ils dus à ca ? Irai-je mieux socialement après ce traitement ? tant de questions qui me viennent à l'esprit.
Votre vie pourrait être en effet radicalement transformée. Mais n'oubliez pas que le côté psychologique est toujours à réfléchir

ne sais pas quoi dire, c'est comme si c'étaient devenu des étrangers. Je leur fais du mal mais c'est pas mon intention.
Il est rare d'avoir des choses passionnantes à raconter à ses parents, et que leurs histoires soient passionnantes pour notre propre évolution !

Voici maintenant 2 réponses données sur ce forum sur le fait de se faire du mal, de se mutiler, de vouloir en finir...

Pourquoi je me fais des coups de rasoir sur la peau ?
Se mutiler c'est se punir.
Se mutiler c'est se sentir coupable de ne pas être celle ou celui que l'on pense que les autres voudraient que l'on soit.
C'est se dire que l'on déçoit. Que si on est violenté(e), grondé(e), humilié(e) c'est qu'on le mérite et que c'est bien fait pour nous. Et on en rajoute parce que l'on s'en veut de supporter cela et d'être à la fois aussi méprisable.
Se mutiler c'est faire un temps que la douleur physique soit plus forte que la douleur morale.
Se mutiler c'est au moins faire ce que l'on veut sur soi et de soi, " on a pas décidé de notre naissance, on peut au moins décider de notre souffrance."
Se mutiler c'est jouir. D'une certaine façon, se donner du plaisir.
Se mutiler c'est se punir d'avoir l'impression de n'être rien pour l'autre, de ne pas être aimé(e), ni apprécié(e), ni entendu(e).
C'est ne pas trouver les bons mots à dire aux bonnes personnes, et de les faire sortir avec le sang. Comme faire sortir sa colère sans faire de mal à l'autre.
C'est aussi avoir des idées de meurtre, de " mauvaises " pensées sur celui ou celle qui nous empêche de vivre, de parler, d'évoluer, et d'avoir trouvé ce seul moyen pour ne pas aller encore plus mal.
Enfant, adolescent, c'est savoir que nous sommes dépendant de l'adulte, de l'autre, des autres, et qu'il faut ravaler la colère et sa haine, attendre, toujours attendre pour être libre.
C'est avoir envie de secouer l'autre en lui disant tout le mal qu'il nous fait, tout le mépris que l'on a pour lui, et tout l'amour qu'on lui voue.
Chaque fois que vous vous mutilez vous appelez à l'aide. Ce sont des tentatives de suicide pour résoudre à tout jamais ce que l'on ne sait pas exprimer, mais qui, quand on se fait du mal physiquement, cesse un temps de nous faire du mal moralement.

​J'ai 13 ans, et je ne sais pas pourquoi je me scarifie
Si on se punit sans savoir pourquoi, c'est que dans son enfance on a cru être méchant et mériter que l'on ne soit pas aimé comme on voulait. Et comme on ne peut pas exprimer sa colère de ne pas être aimé, comme on ne peut pas en vouloir à ses parents ou autre, comme ils sont plus forts que nous, qu'ils sont tout-puissants, et que ce serait encore pire si ils savaient qu'on leur veut du mal parce qu'ils ne nous aiment pas, alors on se fait du mal à soi.
On se punit de ne pas savoir se rendre " aimable ".
Un peu comme si l'on se disait :
- C'est bien fait pour toi si on ne t'aime pas, tu ne mérites pas qu'on t'aime, allez prends ça, et encore ça !
Et bien sûr que ce n'est pas de la faute de l'enfant.
Bien sûr que ce sont les adultes qui sont violents et imposent à l'enfant leur bêtise, leur injustice, des coups ou mauvais traitements psychologiques !
Mais l'enfant croit que c'est normal, que c'est de sa faute, qu'il le mérite.
Alors il se punit d'être puni.

L'automutilation est due à beaucoup d'éléments propres à chaque personne, mais il en ressort toujours qu'elle se pratique sous le coup d'une grande souffrance morale, d'une intense culpabilité ou d'une croyance erronée basée sur des sévices psychiques ou corporels infligés par autrui et qui ont fait croire au sujet qu'il n'était pas digne d'être aimé, parfois même de vivre.
L'automutilation est également associée au masochisme extrême ou la jouissance de se faire mal, pour se punir d'une faute jugée impardonnable, est à un moment donné plus forte que la douleur physique et morale. Le sujet en éprouve alors une paix intérieure de quelque durée, jusqu'à ce qu'il se sente obligé de recommencer.
( Vous pouvez rencontrer ces symptômes psychiatriques, par exemple dans la religion catholique où des " saints " sont décrits comme se flagellant afin de se punir d'avoir eu des gestes ou des pensées impures. )
Le masochisme est très difficile à " guérir ", car il a souvent son écho avec une jouissance sadique provoquée par une autre personne, ou retournée contre le sujet lui-même, par lui-même.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
Messages : 19311
Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: DEPRESSION SEVERE A 20 ANS ET PENSEES SUICIDAIRES

Message par Dubreuil »

der a écrit :Bonsoir je te conseil de prendre rdv chez un psychiatre pour moi tu est malade rien que le suicide ca suffit pour consulter un psychiatre après c'est pas une fobie sociale que t'a tu est scolariser arrive a avoir des bonne note felicitation pour ton bac moi j'ai pas de diplome et juis deg après pense a t'es proche il doivent trop inquité de ta santé mentale pour moi t'es angaisser, anxieu pour te canaliser tu peut demander a un psy des anti depresseur ca détent quand on trop stresser et tu dort bien allez bon courage pour la suite ,cordialement
Le psychiatre est un médecin, pas un psy. Il donne des médicaments pour " écraser " la douleur, mais elle est toujours là. De plus le plus anodin des médicaments psychiatriques ont des effets secondaires qui AGGRAVENT les symptômes et rendent justement dépendants et dépressifs.
Commencez toujours par des entretiens chez un PSYCHOLOGUE CLINICIEN
Ou un psy COMPORTEMENTALISTE
ou une THERAPIE DE GROUPE avec d'autres personnes qui ont aussi des problèmes à régler.( PNL, jeux de rôles, etc... )
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
kingofspartia
Messages : 2
Inscription : 08 avr. 2018, 22:29

Re: DEPRESSION SEVERE A 20 ANS ET PENSEES SUICIDAIRES

Message par kingofspartia »

Merci pour vos réponses, pour répondre au dernier message je suis allé voir le psychologue de la prépa en février et après une longue séance ou je me suis confié elle m'a clairement dit ( du peu qu'elle a pu analysé) que je souffrais de dépression et de phobie sociale, elle m'avait alors donné le numéro d'un psychiatre d'un hôpital. J'ai tenté de prendre rendez-vous en appelant des dizaines de fois mais personne décrochait, donc vu que le concours approchait à grand pas je me suis dit que j'en verrai un cet été.
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