Urgent, c'est le tournant de ma vie

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Dubreuil
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L'ART-THERAPIE

L'art-thérapie est une forme de psychothérapie qui utilise la création artistique (dessin, peinture, collage, sculpture... ) pour prendre contact avec sa vie intérieure ( sentiments, rêves, inconscient ), l'exprimer et le transformer.
Sans se préoccuper de la qualité ou de l'apparence de l'oeuvre finale, la démarche thérapeutique consiste à laisser progressivement surgir ses images intérieures, qui peuvent être autant le reflet d'expériences du passé que de rêves auxquels on aspire.
Le geste créateur fait appel au corps qui se met en mouvement pour créer une oeuvre concrète. Dans le même élan, il sollicite l'imagination, l'intuition, la pensée et les émotions.
Les images ou les formes ainsi créées, en plus de dévoiler certains aspects de soi, peuvent générer une vision et des comportements nouveaux qui contribueront à des guérisons physiques, émotives ou spirituelles.
L’originalité de cette technique permet également à l’enfant, l’adolescent, ou l’adulte présentant un handicap mental ( psychiatrie ) ou cérébro-moteur ( infirmes moteurs cérébraux ) d’appréhender à son rythme ses limites et ses possibilités créatives, son adaptation au temps et à l’espace, sa place au sein du milieu familial et de la société.
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LA METHODE SIMONTON CONTRE LE CANCER ET LA MALADIE GRAVE

Cette thérapie individuelle ou groupale aborde le cancer et la maladie grave en se fondant sur de nombreux points intimes de la vie du patient, lui proposant une méthode de soins psychologiques fondés sur la détermination d’un scénario de santé personnalisé.
Le Dr Simonton est connu pour avoir utilisé des techniques de relaxation associées à une visualisation active et positive. Fin des années 1980, il a intégré dans son travail d'auto-création d'images mentales ( visualisation ) la thérapie cognito-comportementale afin de repérer, puis de changer les croyances qui, pour le patient, sont nuisibles pour sa santé.
Un principe de base de la Méthode du Dr Simonton, est que chacun joue un rôle significatif dans sa santé, " et que ce qui influence la santé influence également le cancer ".
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Message par Dubreuil »

ETAT DE STRESS POST TRAUMATIQUE APRES VIOLENCES, ABUS SEXUELS

Etat de stress post traumatique
http://www.sosfemmes.com/violences/viol ... exuels.htm
https://www.youtube.com/watch?v=dYAlWw8YnCU

Les troubles psychiques spécifiques liés aux traumatismes sont liés à des mécanismes de sauvegarde exceptionnels, psychologiques et neurobiologiques, déclenchés lors d'un stress extrême et du risque vital que génère le traumatisme. Ces mécanismes sont responsables d'une déconnection du circuit de réponse au stress entraînant une mémoire traumatique, une dissociation avec anesthésie affective et physique.
Par ex - Pour qu'une victime puisse vivre malgré cette insurmontable horreur, son inconscient va faire en sorte qu'elle ne se rappelle plus des deux ans de sa vie avant le drame, et deux ans après, afin qu'elle ne puisse faire aucun lien entre un souvenir anodin durant cette période, et la scène traumatique.

Angoisse réactionnelle
Difficulté d’anticipation se traduisant par la nécessité de ne plus réfléchir, cela risquant de lui rappeler l’impact émotionnel.
Troubles dissociatifs post traumatiques ( LHT )
Troubles de la mémoire et de la concentration
Sentiment d’être spectatrice de sa vie
Banalisation de son état de victime
Sentiment de vide
Troubles d’hyperactivation neurovégétative

Déni de reconnaissance
C'est la position de l'entourage, d'un médecin, de la famille, du tribunal, qui loin de prendre en compte le premier impact traumatique ( les photos en ligne ) l’entérine aujourd'hui coupable de se plaindre à nouveau de son agression ( camarades de classe, ancien petit ami ).

La répétition des chocs émotionnels ont comme « anesthésié » ses relations à autrui.
Distanciation des affects, froideur pathogène
Le fait que l’on ait pu une fois encore sans son accord se servir d’elle comme objet de jouissance sexuelle la distancie dramatiquement de ses affects.
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Message par Dubreuil »

PROTOCOLE D'UNE EXPERTISE PSYCHOLOGIQUE AUPRES DU JUGE DES AFFAIRES SOCIALES ET FAMILIALES

Exemple :
J'effectue des xpertises privées auprès des tribunaux dans le cadre de traumatismes psychomoteurs et psychotraumatiques.
On me contacte également pour établir une expertise ou contre-expertise psychologique privée, dans le but d'obtenir des dispositions profitables à la restauration du lien familial.

Ex : Au nom du père...
( extrait conférence )
Pour pouvoir se structurer, être identique à soi-même, il faut tout d'abord avoir été identique à quelqu'un, s'être quelque part mis fantasmatiquement à sa place, mis dans son corps, l'avoir imité. Et pour que ce mouvement psychique se produise, il faut avoir obscurément reconnu un élément fondateur chez cet autre.
Alors que l'identité du fils est ancrée dans le corps du père, à sa naissance le petit garçon sort d'un corps féminin. Il ne connait tout d'abord que les odeurs du corps féminin, ce qui constituera par la suite cet intérêt de l'homme pour les odeurs de la femme, cette façon qu'il aura de s'en sentir submergé, impressionné émotionnellement et sexuellement.
L'absence fréquente du père, ou de modèle masculin sécurisant auprès du jeune garçon, explique souvent certaines difficultés de comportement reliés à l'affirmation de l'identité sexuelle chez l'homme.

Ex : La pathologie du lien
( extrait conférence )
Certaines femmes ont eu des pères qui les ont plus ou moins niées, traumatisées, voire violées. Et des mères qui les ont laissé faire et sont complices.
La vengeance contre la mémoire du père prend alors effet quand le compagnon est père à son tour. L’enfant devient l’objet de discorde, puisque c’est quelque chose qui vient encore du Père, d’un père.
Il y a peu de siècles derrière nous les chirurgiens ouvraient le corps des nouveaux nés sans les endormir, on disait qu’ils ne sentaient rien. Aujourd’hui, psychiquement on coupe les enfants en deux et on écarte les pères, eux non plus ne sentiraient rien...
Pour l’instant, est considéré pathologique tout ce qui dans les pères crie et supplie, pleure ou tempête, démontre ou s’avance, se tait, ou se suicide... car ce père qui fait grand bruit, et parle de rapt alors qu'on lui tolère tout de même huit heures par mois auprès de son bébé, celui la qui prouve si haut l'amour de son enfant que c'en devient indécent, cet autre qui veut accompagner son fils dans une éducation chaleureuse, ou ce dernier qui se donne la mort parce qu'il ne peut plus respirer l'odeur de sa petite fille, avoir ses sourires dans sa tête et la serrer tendrement contre lui, ( quelle horreur ! ) tout cela prouve combien on a eu raison de ne pas lui confier son enfant !
L'homme qui devient père dès que l'ovule est fécondé, n'a pour l'instant rien à revendiquer. C'est si peu de chose un peu de sperme, alors que c'est si personnel ce qui se passe dans le ventre de la femme, on ne va tout de même pas comparer ! Pourquoi se sentirait-il concerné, humilié, désespéré, voire violé dans son intimité quand la femme ne lui concède pas, ou plus, sa place auprès de son propre enfant ? Qu'il la laisse donc se sacrifier en paix pour ce pauvre petit qui n'aura jamais de père ! Car mieux vaut pas de père du tout que cet homme qui par l'effet de la séparation va perdre toute prérogative éducative et affective, et qui de surcroît, n'aurait jamais été un bon père comme elle le veut, comme elle l'entend.
Depuis des millénaires, la femme a été considérée comme inférieure à l'homme, la place qui lui était dévolue était près des enfants. La conscience collective a bonne mémoire, que vient-il prétendre celui-la, quelle part ose-t-il exiger qu'il a jusqu'à ce jour si durement méprisée ? On ne va pas tout de même pas lui donner l'enfant comme ça, à ce rustre, cet intrus !
Un homme, c'est bien connu, reste d'abord un homme quand il devient père, il ne sait pas comment ça marche la paternité. Alors que la femme elle, elle sait, elle devient tout de suite mère ! Elle va donc lui apprendre à lui, à l'homme, ce qu'il doit dire ou ne pas dire, faire ou ne pas faire, avec la chair de sa chair à elle d'abord, avec son bien. Avec sa proie.
Et bien naïf est celui qui croira qu'il s'agit juste là de la température du bain ou de l'achat des couches-culotte.
Pourtant, si nul enfant n’est tenu d’aimer ses deux parents, et nul parent d’aimer son enfant, qu’il est seulement attendu de respecter son père et sa mère et les droits de l’enfant, c’est bien pourtant au nom de cet amour induit, codifié, perverti, entériné par la société, que les tribunaux donnent aux mères, de façon trop souvent inconséquente et réductrice, cette idée de responsabilité unique sur les toutes premières années de vie de l'enfant.
Et c’est encore au nom de cette perversion, de cette version-du-père dans les médias, qu’on stigmatise, qu’on infantilise l’homme en lui niant le droit à ses propres émotions, à sa propre sensibilité, à l'amour sincère qu'il porte à son propre enfant.
Pourtant, quand un nourrisson ou un enfant est aimé par son père, sa maison est dans le cœur de son père et où qu’il aille, s’il est avec son père il est chez lui.
Et il en est de même pour la mère, si cet enfant est aimé de sa mère, sa maison est dans le cœur de sa mère, et où qu’il aille, s’il est avec sa mère il est chez lui.
Et si ces deux adultes sont en capacité d’aimer si tendrement leur enfant, ils sont bien évidemment en mesure de se respecter eux-mêmes, de se rencontrer en égalité pour échanger sur ses besoins physiques et psychologiques.
Tout le reste n’est que haine, littérature et business.

Dérives dans certaines expertises psychiatriques

Certains psychiatres, mandatés par un Juge aux Affaires Familiales pour une expertise statuant sur la santé mentale d'un père, ou d'une mère, établissent leurs rapports au vu des pièces du dossier sans avoir jamais reçu la personne concernée.
Parfois bafoués par la somme des propos ou rapports résolument diffamants de la partie adverse, ou pour des dossiers d'assistance éducative, les personnes me sollicitent pour obtenir une analyse objective des écrits produits à leur encontre, ainsi qu’un avis neutre de professionnelle sur leur place et fonction de parent auprès de leur(s) enfant(s).

Mon objectif consiste à rencontrer le ou les parent(s) concerné(s) accompagné(s) de l’enfant, ou s’il y a lieu de la fratrie, et d’établir en premier lieu et pour chacun, un compte-rendu psychologique.
Par l'intermédiaire de l'avocat, mes écrits peuvent utilement apporter un éclairage au juge amené à prendre des mesures sur la situation.
Alors que l’essentiel de ce qui est utile à la prise de décision des magistrats réside dans l’analyse stricte et neutre de la personnalité des parents et l'intérêt de l'enfant, je m’appuie sur l’étude du dossier et des éventuelles attestations ou expertises psychiatriques produites à l’encontre du parent dénigré, non pour prêter intérêt aux provocations souvent fantaisistes à son encontre, mais pour relever les propos inutilement prolixes et erronés dans les rapports professionnels qui me sont présentés.
Je commente les dommages psychologiques prévisibles quand ils discréditent un parent dans sa qualité d’homme et de père, ou de femme et de mère, pour l’humilier en toute impunité.
Je souligne les descriptions psychologiques compassionnelles de l’autre parent en opposition au portrait du papa ou de la maman mis au rebut éducatif et affectif.
J’explique et analyse l’inadéquation d’un terme ou diagnostic psychiatrique lourd de conséquence, pouvant précipiter un père ou une mère déshumanisés, en prison ou en internement abusif.
Je décris les traumatismes et préjudices psychiques infligés à l’enfant et recherche les solutions qui paraissent les plus conformes à son intérêt supérieur.
Je démontre la dramatisation du conflit parental par la famille, les proches, l’école, les psy(s), et autres personnes ou professionnels s’animant autour de l’enfant sur de successifs thèmes « d’agressions verbales ou décisionnaires », constituant ainsi un nouveau préjudice s’ajoutant à la séparation des parents que l’enfant vit déjà comme une déception intense perturbant l’image qu’il a de lui-même et de sa relation à l’autre.
Par ce travail analytique je contribue à étoffer un dossier démontrant l’utilité d’une résidence alternée, ou au contraire le maintien de garde chez le père ou la mère, ceci avec des dispositions concernant la restauration du lien familial, profitable à l'enfant et aux deux parents.
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Message par Dubreuil »

LE LIEU OU SE PASSE LA THERAPIE

C’est souvent la première rencontre qui inaugure l’adhésion ou non à une thérapie. On ne livre pas son âme n’importe où, et à n’importe qui.
Chaque personne est suffisamment « abîmée » pour qu’au moins réparation lui soit faite dans un endroit « respectueux », uniquement destiné à sa venue.
Une pièce feutrée, meublée sobrement, pour que sa parole y prenne toute la place.
Et que quand elle revienne, elle soit assurée de retrouver tout à la même place. Rien en moins, et rien en plus.
Un fauteuil pour le thérapeute, assis à côté ou derrière le patient, ou près du bureau.
Le bureau, car il est parfois utile que quelque chose " de réel " sépare le patient de son thérapeute. Fasse barrière. Aide à l’indépendance. Coupe symboliquement la symbiose. Permette au patient de ne pas se sentir agressé. Intime le fait qu’il est différent de l’autre...
Tout le mobilier réel symbolise le matériel psychique. Une pièce que l’on range, et c’est dans notre tête que l’on cherche aussi à mettre nos idées en place.
Chaque objet est investi par le patient dans une charge émotionnelle qui ne doit pas le détourner de ses propres associations d’idées, ses propres fantasmes.
Les repères matériels sont des repères symboliques.
Un vêtement oublié par quelqu'un, un objet qui rappelle une autre présence, un mouchoir qui traîne, une odeur, et le patient peut ne pas se sentir attendu.
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Message par Dubreuil »

LES TARIFS EN PSYCHOMOTRICITE ET EN ENTRETIEN PSYCHOLOGIQUE

La liberté d’être ce que l’on est, et celle de dire ce que l’on pense n’a pas de prix, donc pas de valeur marchande.
Certains thérapeutes prennent en considération la situation financière du patient.
Ils décident avec lui du prix qu'il peut donner, « assez » pour ressentir son engagement, mais « pas trop » pour ne pas mettre son quotidien en péril.

En psychomotricité, selon votre situation personnelle, ou le montant de vos revenus, vous pouvez constituer un dossier pour obtenir une prise en charge financière.
Prestations exceptionnelles de la Sécurité sociale
Prise en charge du handicap par la MDPH
Remboursements des Mutuelles complémentaires de santé

Pour la prise en charge de Séances de psychomotricité, ainsi que de Séances de psychologue EN EMDR suite à un traumatisme vous pouvez obtenir une allocation personnalisée accordée par le Conseil général
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Message par Dubreuil »

LA THERAPIE EMDR

La thérapie EMDR est une nouvelle approche de psychothérapie qui utilise la stimulation sensorielle des deux côtés du corps, soit par le mouvement des yeux soit par des stimulis auditifs ou cutanés, pour induire une résolution rapide des symptômes liés à des événements du passé.
Cette thérapie poursuit le mouvement de recherche clinique et de soins inaugurés par la psychanalyse, la thérapie cognitive comportementale, les traitements par exposition, la médecine humaniste, les thérapies systémiques et les psychothérapies brèves centrées sur la personne.
Quand un traumatisme survient, il peut se retrouver bloqué dans le système nerveux avec le souvenir d'origine, les sons, les pensées, les émotions du passé, et les sensations physiques.
Il semble que la thérapie EMDR entraîne le déblocage du système nerveux, et permette au cerveau de retraiter l'expérience traumatique.
Ce processus peut être assimilé à ce qui se produit pendant le rêve, où les mouvements oculaires rapides favorisent le retraitement du matériel inconscient.
A la différence de l'hypnose, dans la thérapie EMDR, c'est le patient qui active le processus de guérison, et qui en garde le contrôle exclusif.
La thérapie EMDR a été créée à la fin des années 80 dans la Baie de San Francisco. En moins de 10 ans, elle est devenue un des modes de traitement psychothérapeutique du PTSD (ou ESPT : État de Stress Post-Traumatique) ayant donné lieu au plus grand nombre d’études cliniques.

Le protocole de la thérapie EMDR repose sur un ensemble de principes qui sont essentiels à une approche humaniste et intégrative de la médecine et de la santé
La confiance dans la capacité d’auto-guérison propre à chacun
L’importance de l’histoire personnelle
L'approche centrée sur la personne
Un pouvoir restauré
L’importance du lien corps-esprit
Un bien-être
Une amélioration des performances.

Plusieurs études contrôlées ont démontré la remarquable efficacité de la thérapie EMDR pour la résolution des états de stress post-traumatiques (ESPT en français, PTSD dans la littérature anglo-saxonne)
Le même résultat a été constaté chez les victimes de traumatismes civils (viols, accidents, deuils) que chez les vétérans de la guerre du Vietnam ou les victimes de conflits dans les pays en voie de développement.

De fait, à ce jour, la thérapie EMDR est une des méthodes de traitement des états de stress post-traumatiques (ESPT ou « PTSD ») les mieux documentées par la littérature scientifique.
Francine Shapiro est fondatrice de la thérapie EMDR (« L’École de Palo Alto »), et présidente de l’EMDR Institute, Californie.
En juillet 2002, Francine Shapiro a reçu le prix Sigmund Freud décerné conjointement par le Congrès Mondial de Psychothérapie et la ville de Vienne.
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Message par Dubreuil »

A QUOI CA SERT LE DIVAN CHEZ LE PSY

Le patient allongé ne voit pas le thérapeute derrière lui et peut ainsi parler sans retenue, se laisser aller sans le regard de l’autre, ou ne rien dire. Oublier même qu’il y a quelqu'un, oser se laisser à dire des choses qu’il n’oserait pas exposer en face à face.
De son côté le thérapeute peut ainsi avoir « une attention flottante » où loin des regards inquiets de son patient qui guette son intérêt ou son approbation, il écoute en silence le mot qui le conduira à faire " lien " entre la réalité et l’inconscient de son patient. Cela pour lui faire remarquer que ce qu’il dit n’est pas forcément ce qu’il croit. Par ex :
- Un patient déteste son père qui s’appelle Charles, mais n’en parle jamais.
- Il cherche un prénom pour son futur enfant.
- Un jour il dit qu’il a trouvé le prénom : Charlène…
Le thérapeute lui propose : « Charles-haine ».
Seule la psychanalyse use de ce privilège. Vous trouverez donc sans peine une thérapie répondant au mieux à vos souhaits.

MAIS C'EST QUOI LA PSYCHANALYSE ?

La psychanalyse est un moyen de permettre au patient d'aider à la compréhension de ses comportements non accessibles au raisonnement, parce qu'inconscients, provoquant chez lui des symptômes de mal-être de plus ou moins grande gravité.
C'est le patient qui alimente sa propre thérapie en parlant de tout ce qui lui vient à l'esprit, sans s'occuper des non-sens ou de la morale. Le travail de l'analyste est de " faire le lien " pour l'aider à comprendre le pourquoi de son mal-être. Il intervient s'il juge nécessaire de pointer au patient un lapsus qui peut le faire avancer dans sa quête de sens.
Par ex : - Un patient qui a perdu sa mère à l'âge de 3 ans et dit n'en avoir eu aucun chagrin, avancera plusieurs séances plus tard à son analyste - Arrêtez de me dire des trucs que je ne comprends pas, vous allez trop vite, j'ai besoin d'ailes ! -
Et l'analyste avancera : - Vous avez besoin d'elle ( d'ailes ).

COMMENT CA MARCHE LA THERAPIE ?

Au-delà de sa thérapie, le patient découvre une trame, un travail, une " connaissance " de la part de son analyste. Il perçoit peu à peu ses règles, ses impératifs, ses aspirations, ses buts. Qui sont ensuite dissociés de lui et deviennent structures de " sa " propre cure analytique.
C'est à cela, à ses connaissances psychologiques passant tout autant par la théorie que la pratique, au vécu de sa propre analyse, de ses propres " résistances ", de ses propres victoires, qu'un être peut prétendre en aider en autre dans sa mesure, sa dimension, dans son originalité, son unicité.
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Message par Dubreuil »

MON HOMME ATTEND QUE JE JOUISSE ALORS JE FAIS SEMBLANT POUR QU'IL SOIT CONTENT ET AVOIR LA PAIX !

L'homme, dans sa sexualité, ne se définirait donc que comme une machine à faire jouir une femme ?
Mais alors, quelle lourde responsabilité pour la femme de ne pas jouir ! De ne pas " lui " faire ce plaisir !
Caricaturons :
- Allez, ton homme attend, dépêche-toi ! Ce serait si triste pour lui si tu le faisais trop attendre.. et puis s'il ne trouve pas la bonne position, ou le bon " bouton ", tu ne vas pas réagir et il va se bloquer ! Non, non, cela fait un moment qu'il " rame ", tu ne peux pas prendre ton temps, ni t'arrêter là pile où quelque chose semblait advenir... non, non, tu vas le fatiguer... et il serait tellement déçu ! Allez, ne prends pas ton temps, pas la peine, fais-lui plaisir, fais semblent de jouir, lui au moins il sera content !
Mission accomplie.
Comme c'est infantile et pitoyable comme raisonnement. Non ?
Pauvre " petit bout " ( pardon messieurs ) tout au service du plaisir de l'autre ! Ah comme c'est super un homme qui a fini sa besogne et s'endort avec la satisfaction du devoir accompli : Ouf, elle a jouit !
Mais qu'est-ce que l'homme a donc à se faire pardonner pour absolument vouloir envoyez la femme au " 7ème ciel " ?
Il parait que les hommes disent qu'il sont amoureux et qu'ils aiment quand ils ne " se permettent " de jouir qu'une fois que leur partenaire à jouit ?
Et on s'étonne qu'il y ait tant de femmes frigides ou qui n'ont plus envie de " faire l'amour " ! Ou qui ont la fameuse migraine...
On l'aurait à moins !
Se coltiner un super-bosseur dans le lit qui travaille comme un malade à vous faire crier pour jouir à son tour, il y a de quoi dégoûter les femmes de l'amour. « Il m'aime parce qu'il veut que je jouisse avant lui », quelle preuve d'amour en sens unique, où finalement la femme se retrouve encore manipulée, " à la merci " du désir de l'autre.
Alors c'est tout ? Les hommes ne penseraient vraiment à eux et à leur plaisir que devant un porno ? Les sites spécialisés ou de " chaudes minettes " qui ont tout compris les rassurent ? Ou en allant voir une prostituée qui sera payée pour faire semblant de jouir ? Ou pas. Puisque là au moins on peut espérer qu'ils ne sentent plus en compétition, ni en surenchère, qu'ils n'ont plus besoin de mettre leur " barre trop haut " !
Si certains hommes s'occupaient un peu plus de leur propre plaisir en arrêtant de jouer au " bon samaritain " jusque dans le sexe des femmes, s'ils apprenaient à accepter leurs propres sensations avec abandon et volupté, sans être à l'affût du " pouvoir " de leur pénis sur leurs partenaires, s'ils ne se prenaient pas la tête qui leur prend le sexe, il y aurait peut-être moins d'hommes frustrés, malheureux et errants dans une pauvreté sexuelle et/ou affective.
Quant à faire semblant, c'est vous qui savez si le feu en vaut la chandelle ( ! )
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Message par Dubreuil »

REVES ET CAUCHEMARS

Chaque rêve nous appartient et aucune explication profonde ne peut en être donnée rapidement. C'est le rêveur qui a la réponse de son rêve, en lui, ( puisque c'est lui qui le produit à partir de sa personnalité, de ses affects et de son inconscient ) et non le psy. Le psy qui ne peut être là qu'en toute neutralité, pour ouvrir la parole du patient et l'accompagner respectueusement dans le dévoilement de son imaginaire. Freud disait que le rêve est la réalisation du désir inconscient. Non du désir que nous avons dans la réalité et que nous pouvons appréhender en le changeant à notre guise, mais celui qui sous-tend nos instincts, ce qui se meut dans notre inconscient et que nous igonorons, qui ne s'embarasse pas de la censure, de la cohérence, et passe outre sur la morale. La signification du rêve arrive masquée, c'est à dire qu'une image de ce rêve que nous interprétons avec la logique de notre conscient cache en réalité une autre signification liée la plupart du temps ( surtout dans les cauchemars récidivants ) à UN TRAUMATISME ( atteinte à l'intégrité physique, spectacle insoutenable, situations critiques, mais aussi de petits faits qui pour l'un sont anodins et pour d'autres insurmontables..etc.. ) traumatisme(s) que nous avons subi auparavant et dont nous ne nous rappellons plus que vaguement, que nous avons souvent relativiser, mais qui veut resurgir pour notre bien afin que dans votre cas vous le compreniez et le dépassiez. Ou bien, traumatisme que votre consient s'est empressé d'oublier totalement, tellement l'impact était violent, et dont vous ne vous rappellez plus du tout, et dont votre inconscient, en ami zélé, vous en a interdit l'accés, pour finalement vous le renvoyer dilué dans des images cauchemardesques ( que symboliquement vous pouvez comprendre ) afin que vous y réflechissiez et le retrouviez pour aller mieux.
Il se peut que conjointement à ces cauchemars vous présentiez des troubles psychosomatiques, ( angoisse, dépression, tics, fatigue nerveuse ) qui ne sont que le traumatisme mis EN CORPS traduisant toujours le même impact traumatique, la même détresse, et le besoin urgent de prendre soin de vous en allant au coeur de vous-même pour retrouver le fil conducteur menant à la propre compréhension de vos cauchemars.
Ne vous inquiétez pas, le cauchemar signe toujours, autant pour les adultes que pour les enfants, un travail de bonne hygiène mentale destiné à vous rendre libre et serein. Et parfois, des rêves bien anodins sont mille fois plus révélateurs du " noir " de votre inconsient où ici vous êtes invité à entrer !

Tout d'abord, sachez que rien, dans un rêve ou un cauchemar, ne peut être analysé comme dans la réalité.
Les images que vous voyez en rêve ne sont là que pour en masquer d'autres. Ceci pour que vous ne compreniez pas d'emblée la signification, puisque ce qui vous a fait souffrir a été enfoui immédiatement dans l'inconscient parce que trop insupportable. Votre inconscient veut vous restituer ce qui vous est arrivé pour s'en débarasser , mais " la censure " psychique veille à ce que ce ne soit pas la même scène traumatique et met des " caches " pour que vous soyez obligée de tout décortiquer et ne pas atteindre cette compréhension radicale qui a nouveau vous re-traumatiserait !
D'autre part, petite mise en garde :
Chaque élément du rêve est une partie de votre propre ressenti, une partie de vous exclusivement. Ce qui explique que personne ne peut interpréter le rêve à votre place.
Ceux qui l'affirment sont DES CHARLATANS.
Votre inconscient, vos pensées, vos désirs intimes, secrets, votre vie n'appartiennent qu'à vous ! Et c'est de vous dont vous rêvez, parce que c'est vous qui le produisez. c'est donc vous seule qui pouvez retrouver la signification du message.
C'est à partir des relations, des liens, des sensations, des souvenirs que chaque personnage, chaque scène ou chaque dénouement vous inspirent que vous allez pouvoir comprendre ce qui vous appartient et que vous aviez perdu.
Si personne ne peut analyser le rêve à votre place, il existe cependant des images symboliques appartenant à la conscience universelle, c'est à dire : des images symbolique connues par tous les hommes de n'importe quelle ethnie soient-ils. Avant la venue de Freud ( le père de la psychanalyse ) dans de nombreux pays les rêves déjà étaient interprétés dans cette dimension.
Freud a eu le mérite de nous faire accéder à la compréhension de notre inconscient, qui a son propre langage, sa propre façon de fonctionner, totalement différent de la façon que nous avons de parler et d'être dans la réalité.
En nous il y a 2 mondes : le conscient que nous pouvons " manier " et l'inconscient qui " nous manie " pour que nous allions bien malgré tout ce que nous subissons.
Nous sommes TOUS issus du début des temps, nous portons tous en nous, dans nos gênes l'imprégnation, LA CONNAISSANCE de tout ce qui s'est passé il y a des millions d'années. Nous nous sommes divisés, séparés mais nous pouvons toujours rêver d'avant, faire de grands rêves initiatiques, prémonitoires, etc. Et puis des rêves qui se transmettent de pays en pays, de famille en famille, etc, etc..
Dans les rêves nous rejoignons nos aïeux, nos morts, mais aussi l'universalité.
Un psy, dans sa propre psychanalyse, avant de s'occuper des autres, commence d'abord à comprendre ce qui se passe en lui. Et les rêves sont la porte royale vers la connaissance de son inconscient.
Dans votre rêve, votre maman, Vincent, vos deux amies, ect.. et puis le lieu où vous allez, la mort que vous évoquez et qui vous terrorise, tout cela, tous ceux-là ne sont pas les véritables acteurs de votre cauchemar. Ce qui alimente justement votre cauchemar, CE SONT LES LIENS INCONSCIENTS QUE VOUS ENTRETENEZ AVEC CES PERSONNES.

1) Le rêve est toujours la réalisation du désir inconscient.
C'est à dire que si dans la réalité un obstacle s'interpose pour interdire une pulsion ou un désir, dans le rêve, le désir est résolu dramatiquement parfois, mais la réponse est donnée. ( d'où certains cauchemars ).
Par ex : Je suis amoureuse et j'ai un hamster. Je veux vivre avec mon copain, mais il ne veut pas du hamster. Dans le réel je suis totalement affolée et désemparée. C'est le hamster qui fait barrage à ma relation, mais je veux le garder.
La nuit, je rêve que mon hamster meurt et je me réveille culpabilisée et épouvantée.
Pourtant, mon inconscient a tranché : il ne faut pas quitter le copain, mais impérativement trouver un moyen de l'amadouer pour le hamster.
( et s'il vous aime,vous garderez votre hamster dans un lieu bien défini de l'appart. )

2) Le rêve arrive masqué.
Les images du rêve racontent une histoire. Mais l'interprétation des reves se trouve dans LE LIEN entre l'image et ce à quoi elle vous " rappelle ". Une CENSURE est intervenue pour ne pas vous déstabiliser à votre réveil.
Par ex : En réalité j'ai assisté à un accident mortel. Sur le coup je suis très choqué(e), cependant, deux jour après je ris, je mange, je vis comme si de rien n'était...
C'est qu'au moment du drame mon inconscient a pris en charge l'impact dramatique. Il ne me reste que le supportable.
Hors, mon inconscient maintenant qu'il a fait son travail de protecteur ponctuel doit à tout prix se débarrasser du " souvenir " enfoui, car celui-ci est tapi en moi, n'a pas sa place, et va ressurgir dans ma mémoire un jour ou l'autre avec la même violence, et me " sidérer ", me rendre malade.
Mon inconscient va alors solliciter des images, des histoires, un ou des " cauchemars " via les rêves, pour distiller et évacuer le traumatisme : je rêverai de toute autre chose : j'ai cassé le train électrique du voisin ( quelque chose de détruit qui bougeait, allait vers.. ), ou une pierre tombe lourdement devant moi et a failli écrasé mon pied, ou celui du voisin ( qui sera là encore employé pour représenté le mort.. surtout si je ne le supporte pas !) etc.. etc..
Et bien sûr, le rêve ce n'est pas que cela. En une seule image d'un rêve on peut avoir plein de massages pour plusieurs problèmes dans notre réalité )
Les rêves qui racontent la vraie vie, sans recul sont faits souvent lors d'une fatigue nerveuse où le psychisme est saturé et ne peut pas " s'imprégner " du climat sensoriel du rêveur.
Et les cauchemars ne sont pas souvent inquiétants, ils parlent surtout de nos peurs " archaïques ", de nos pulsions masquées qui ont très peu de chance de venir au réel, tandis que souvent, un bon vieux rêve anodin, inoffensif, peut s'avérer être la clef d'une situation inextricable, ou l'annonce d'une mise en garde pour l'équilibre psychologique du rêveur.

Chaque " image " du rêve est un élément " parlant " envoyé par notre propre inconscient, qui veut nous " dire " quelque chose QUI N'APPARTIENT QU'A NOUS.
Et cet élément se cache derrière l'image.
Donc, la signification du rêve arrive MASQUEE la plupart du temps.
D'où sa grande difficulté à être interprétée. D'une part parce qu'il faut " décoder " chaque message de l'image par nos propres interprétations et ressentis, d'autre part parce que nous ignorons également OU chercher, si nous ne sommes pas attentifs à ce qui se passe dans notre vie et nos propres sentiments.

L'un des meilleurs livres ( à mon sens ! ) portant sur une interprétation des rêves la moins " fantaisiste " serait celui-ci, se présentant en deux tomes :
La symbolique des rêves de Jacques de la Rocheterie : le corps humain.
La symbolique des rêves de Jacques de la Rocheterie : la nature
( éditions IMAGO diffusion P.U.F )

Mais n'oubliez pas de prendre en compte votre propre personnalité.
Et qui que vous soyez, si vous voulez interpréter le rêve d'un autre, dites-vous toujours que malgré toute votre bonne volonté et l'éthique que vous voudrez y mettre, ce sera quand même une interprétation sauvage !
Faites d'abord une thérapie analytique. Ce sera au moins plus SAIN, plus sérieux, et moins projectif.
L'interprétation d'un rêve commence par le questionnement de son propre imaginaire. A quoi nous renvoie-t-il dans ce que " l'autre " a vécu et ressenti. Mais il faut pour cela bien comprendre que c'est le rêveur qui possède sa réponse, et que vous ne pouvez que proposer une interprétation.
Certains patients s'en contentent et c'est déjà beaucoup. Ce n'est finalement pas ce que vous leur avez dit qui est important, c'est le fait qu'ils assimilent qu'ils sont acteurs de leur vie et partie intégrante de leur imaginaire.
Vous avez également des stages qui vous sensibilisent à la symbolique.
Votre propre psychothérapie ou analyse vous apprend ( ou vous apprendra ) la " façon " de procéder et de faire " le lien " entre votre réel, votre imaginaire, et le symbolique. Cette démarche unique dans la vie d'un être ouvre des horizons que l'on était loin d'imaginer !
Cela dit, vous avez le dictionnaire des symboles qui peut vous servir de base. Puis d'autres livres sérieux quand ils sont écrits par des psychologues et/ou des psychanalystes.
C'est à vous de trouver celui qui vous " parlera " le plus dans ses interprétations. Vous pourrez alors vous y appuyer si un jour vous avez un doute dans vos...... " projections ".
En effet, les " pièces " de votre rêve sont des éléments d'une parole de votre inconscient ( car sans aucune analogie avec le réel, notre inconscient est pourtant lui aussi structuré comme un langage ) qu'il vous appartient de relier patiemment en faisant des associations d'idées pour y trouver le message vous concernant.
Tant que le message d'un rêve n'a pas été compris par le rêveur, il revient sous d'autres images.

Lors du réveil brutal dans la phase paradoxale, ( du à un état cauchemardesque ou pas ), l'image reste un temps dans la rétine et se trouve alors projetée dans le réel quelques secondes.
C'est ainsi qu'un enfant voit le loup contre la porte et est douloureusement blessé quand les parents s'évertuent à lui dire que ce n'est pas possible. C'est possible, puisque effectivement IL LE VOIT. C'est ce qui s'appelle une image hypnagogique.
Chacun de nos rêves parle de nous. Que de nous.
Et cela, par des images masquant le véritable message que notre inconscient nous envoie.[/quote]
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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