Psychose schizophrénique Hébéphrénique telle est ma maladie.
Psychotherapie telle est mon travail aujourd'hui.
Vivre avec sa maladie au quotidien.
Plus j avance dans le travail psychothérapeutique,et mieux je me sens chaque jour.
psychose et therapie
Re: psychose et therapie
Pas tant que cela puisque vous nous demandez où vous en êtes..
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: psychose et therapie
Oui, bonjour, c'est bien de répondre. Mais comment répondre, de quelle manière. Je ne pense pas que ce soit une façon aidante de répondre là en ces termes. Cette phrase décourageante donne un peu le ton de briser l'espoir voir même l'individu. Car c'est brutal.Dubreuil a écrit :Pas tant que cela puisque vous nous demandez où vous en êtes..
Se demander où on en est est légitime, nous vivons il est clair dans un monde où il est très facile de se retrouver isolé face à ses questions et à ses doutes. Un monde où on ne s'occupe que de soi et pas des autres. Pourquoi Kazey ne se sentirait-elle pas mieux après tout? Même si cela ne va pas tant que ça puisqu'il y a psychose que je sache, donc de toute façon personne ne va si bien que ça.
Dans notre société nous manquons de communication, il n'est pas facile de trouver un endroit où parler de soi avec quelqu'un de confiance qui nous écoute. Je veux dire sans sortir son porte monnaie, le recours aux psychologues devient une nécessité pour parler de soi alors qu'on aurait pu le faire gratuitement au sein d'un cercle privé avec des amis, tout le monde n'a pas cette chance. Et moi non plus.
En manque de réponses nous sommes confronté à notre manque de nous poser les bonnes questions, et nous cherchons sans le savoir à nous poser les bonnes questions qui appelleront les bonnes réponses qui à leur tour apaiseront nos doutes. Et qui appelleront à vivre en nous posant moins de question à nous même aussi par la suite. Normal. Alors peut-être que Kazey est à la recherche des ses bonnes question afin qu'elle puisse avoir une voie, un chemin qui la guide vers moins de doutes.
Re: psychose et therapie
Oui, bonjour, c'est bien de répondre. Mais comment répondre, de quelle manière. Je ne pense pas que ce soit une façon aidante de répondre là en ces termes. Cette phrase décourageante donne un peu le ton de briser l'espoir voir même l'individu. Car c'est brutal.xentyal a écrit :Dubreuil a écrit :Pas tant que cela puisque vous nous demandez où vous en êtes..
Vous avez raison. cependant cela faisait écho à d'autres messages suivis ( Kasey comprendra ! )
Je veux dire sans sortir son porte monnaie, le recours aux psychologues devient une nécessité pour parler de soi alors qu'on aurait pu le faire gratuitement au sein d'un cercle privé avec des amis, tout le monde n'a pas cette chance.
Ce que L'ON SE DIT avec un psy qui se tait pour que nous nous écoutions parler, et qui relève de temps à autre un mot destiné à être un mien dans notre histoire, ne peut pas se comparer à ce que l'on dit à ses ami(e)s qui écoutent avec empathie et donnent leur avis.
En manque de réponses nous sommes confronté à notre manque de nous poser les bonnes questions, et nous cherchons sans le savoir à nous poser les bonnes questions qui appelleront les bonnes réponses qui à leur tour apaiseront nos doutes.
Nous connaissons nos réponses, ce sont les symptômes.
Alors peut-être que Kazey est à la recherche des ses bonnes question afin qu'elle puisse avoir une voie, un chemin qui la guide vers moins de doutes.
Exactement.
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