L'avis d'un psychologue

Forum viol, abus sexuel
Bonsai70
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Inscription : 21 juil. 2017, 03:51

L'avis d'un psychologue

Message par Bonsai70 »

Bonsoir,

Alors tout d'abord merci a ceux qui lirons entierement car c'est tres long je l'avoue. Mais en 10 ans il s'en passe des choses. Merci a ceux qui repondrons et j'espère avoir l'avis d'un professionnel surtout.

Il y a 10 ans j'ai subit un viol l'homme à été reconnu coupable de viol aggravé sur mineur de moins de 15 ans. Quant à la tentive de meurtre elle à été évoquée mais pas retenue. Il à été condamné à 10 ans de prison, dont 8 années de sûreté c'est à dire 8 ans sans avoir d'amenagement de peine. Et il est fiché au fichier des délinquants sexuels.

Il est sorti en 2016 mais il est retourné en prison 6 mois plus tard toujours pour des raisons de violences. Sexuels ? Ca je ne sais pas.

Il a tout avoué devant la justice, les preuves etaient la il ne pouvait pas nier et il voulait prendre le moins possible. En dehors de la justice il a toujours nié, il me fait passer pour la salope qui a envoyé un innocent en prison. Sa famille n'a pas non plus assumer ce qu'il a fait, je suppose par honte.

Au tribunal il parlait comme ci il était victime de ses actes. Il a sali ses parents, en racontant les débauches de sa mère et l'alcoolisme de son père. Il se cherchait des excuses, il a pleuré soit disant parce-qu'il regrettait, il a demandé pardon a mes parents et à moi. Sa mère a débarqué chez moi en pleurant toutes les larmes de son corps quelques jours après qu'il est été jugé. Elle voulait soit disant mettre un visage sur la victime de son fils, et nous demander pardon. Je ne sais pas si c'était sincère ou pas.

J'ai fait une sorte de déni, j'ai refusé d'en parler en dehors des demandes du juge d'instruction. Je voulais pas voir la réalité. Je voulais oublier et que les autres oublient aussi. J'ai même regretté d'en avoir parlé à mes parents, car cest eux qui ont déposé plainte. C'était trop dur pour l'enfant que j'étais. La honte surtout ... Le jugement et le regard des autres, a leur yeux j'étais soit une pauvre fille violée soit une salope. J'étais une bête de foire, le spectacle du village, ils voulaient tous savoir qui j'étais.

Je me sentai en sécurité nul part et avec personne. Je n'avais plus de père, plus d'oncle, plus de frères, plus de grands pères, plus de professeurs, plus de cousins, plus d'ami j'avais que des potentiels violeurs et assasins qui m'entouraient. Les hommes de ma famille en ont beaucoup souffert, surtout mon père. Avant de m'endormir je regardais partout dans ma chambre, et si je descendai au milieu de la nuit chercher quelque chose au salon ou a la cuisine j'allumais toutes les lumières et je courrai. Je pouvais pas fermer l'oeil si la porte de ma chambre n'était pas verrouillée. Dehors je changeais de trottoirs à la vue d'un inconnu. A chaque voiture qui ralentissait mon coeur accelerait et j'imaginais le pire. 
Quand j'étais seule dehors, je me mettais à courrir jusqu'à l'épuisement pour rentrer le plus vite possible chez moi, pourtant il n'y avait pas de danger mais dans ma tête le danger était constent. Je sortais uniquement pour aller a l'école. A 18 ans j'ai arrêté l'école et je suis restée enfermée chez moi, je ne sortai même pas pour aller chercher le courrier. Il m'est arrivé de rester enfermée pendant des mois sans mettre une fois un pied dehors. J'étais en prison chez moi et surtout dans ma tête. Je parlais avec mes parents et mes frères uniquement pour m'engueuler. Je n'avais plus personne mise a part les fous d'internet a qui parler.

Je n'avais rien d'autre en tete que de me venger. Je pouvais regarder des videos de daesh et ressentir ni peine pour les victimes ni colère pour les bourreaux. Je me disais que moi aussi un jour je ferai ça a mon ennemi. Je fantasmais des scenes de vengeances dignes d'être dans des films d'horreurs. J'avais aucune limite à la violence que j'imaginais un jour lui rendre. Je pensais plus qu'à ça, je survivais uniquement pour ça. Dans ma tête mon seul avenir était la vengeance et ensuite le repos éternel que m'offrirait la mort.

Au milieu des fous du net j'ai rencontré quelqu'un de bien sur internet. Cet homme a fait preuve d'une grande patience avec moi et est rentré dans mon jeux pour pouvoir me rencontrer. On s'est rencontré dans la vie réelle. Il est resté neutre a tout moment.

Il m'ecoutait cracher ma haine contre le monde entier sans dire que c'était bien ou mal. Il m'emmenait dans des endroits magnifiques je l'aurai suivit au bout du monde. Avec lui j'étais en confiance. Il n'a jamais forcé le contact physique, même quand je pleurais il me tendait les bras pour me reconforter et j'avais le choix d'y aller ou non. Il proposait et je décidais, jamais personne ne m'avait laissé faire mes choix, il était le premier a me laisser disposer de mes choix les plus banales. C'était ma bulle d'oxygène.

Cette relation avec le temps s'est transformée en amitié amoureuse. Ce que je trouvais bizarre c'est qu'il ne tentait rien d'autre que des calins et des bisous alors que j'ai a plusieurs reprises vu ou senti qu'il voulait plus. Malgré que j'avais confiance en lui je le manipulais beaucoup, et je prenais un malin plaisir a lui faire du mal. J'étais toxique pour lui et notre relations s'est terminée. J'étais incapable d'aimer un homme et il ne pouvait rien faire pour moi. J'avais trop de haine en vers l'homme pour pouvoir en rendre un heureux. J'ai souffert de l'avoir perdu, et ca n'a fait qu'empirer ma haine en vers les hommes.

Ensuite ben j'ai continué quelques années a rester enfermer chez moi sans sortir ni parler avec des gens dans le réel, j'étais retournée dans le monde virtuel. Le monde réel lui était trop dangereux a mes yeux, partout rodaient de potentiels violeurs.

J'ai déménagé et ça a changé ma vie, je me suis assez vite senti a nouveau en sécurité. Ça a l'air de rien, mais retrouver une sécurité en tout temps à été le début d'un bonheur inesperé. La sécurité m'a ouverte plusieurs portes fermées depuis tant d'années.

J'ai d'abord pu sortir accompagnée de mes proches en me sentant en sécurité puis seule sans paniquer quand une voiture ralentissait ou qu'un homme croise mon chemin. J'ai retrouvé une complicité avec mon père et avec ma mère. J'ai retrouvé le gout de faire les magasins. J'ai commencer a cottoyer les tarasses de café. Je vivais doucement à la place de survivre sans même me rendre compte que je frôlais gentiment le bonheur.

J'ai par la suite changé physiquement. Je prenais du plaisir a me faire jolie. Je plaisais et j'aimais ça. Je les laissais me flatter autour d'un verre mais ça n'allait jamais plus loin, je refusais toujours le deuxieme rdv. J'étais seulement prête à plaire et non pas à être aimée et encore moins aimer un homme.

J'étais prêtes pour commencer a travailler, enfin prête était un grand mot. Je voulais disons avoir une occupation pour rester le moins possible enfermée et penser au passé qui me donnait des coups de carfard. La vengeance je n'y pensais plus, j'étais passée a un autre stade au quel je n'ai jamais pu donner de definission. Je pense qu'à cette periode je ne voulais pas realiser que j'avais perdu l'unique but que je m'étais donné (la vengeance). Je n'avais plus envie de mourir non plus.

C'est a 22 ans sur le lieu de mon travail, que je suis tombée malgré moi amoureuse. Ca a été un coup de foudre. Cet homme a l'attitude tellement sur de lui, avec un physique à toutes les faire tomber. Mes collegues femmes me disaient qu'il avait un coeur de pierre depuis son divorce. Je savais qu'il n'était pas insensible a mon charme, il ne le cachait pas. C'est au bout de trois longs mois qu'il m'a enfin invité à passer une journée avec lui. Il m'a dit qu'il n'était pas près a vivre quelque chose de serieux et qu'ils detestaient les femmes, je lui ai repondu que ça tombait bien car je détestais les hommes.

On s'est promis une histoire sans prise de tête qu'on vivrait au jour le jour. Nous avons eu notre premier rapport sexuel assez vite, au bout de deux semaines, je désirais cet homme plus que tout. Très vite il s'est attaché a son tour. On se disputait beaucoup car il cherchait à comprendre pourquoi j'étais aussi méfiante et aussi agressive à certains moments. Je voulais rien dire. Au bout de plusieurs mois il m'a alors avoué avec beaucoup de tristesse "sans toi je peux pas et avec toi non plus comment on fait ? T'as de la chance que je t'aime sinon je serais plus avec toi" C'est a ce moment la que j'ai réalisé que je lui faisais du mal. J'ai pensé dans un premier temps a le quitter, mais je n'y arrivais pas à chaque fois il reussissait à me rattraper. Je perdais la raison avec lui, je voulais le proteger de moi et lui ne voulait pas de cette rupture car il savait que la source de mon problème était ailleurs que dans notre couple. Il voulait simplement comprendre et je voulais vivre sans en parler. C'est comme ci je me privais inconsciemment d'être heureuse.

Un soir d'automne un homme au même regard que mon agresseur est entré dans mon lieu de travail. J'ai de suite compris que je n'échapperait plus à mon passé et que ma sécurité retrouvée ne dependait a ce jour que de moi. Mon copain à vu dans mon regard que j'avais peur de cet homme, il m'a emmené a l'écart et il m'a demandé qui il était. Je lui ai dit qu'un jour je lui dirai tout mais pas tout de suite. Je voulais déjà être sûre de ce que je pensais. Les jours passaient et je croisais cet homme partout. Dans son regard il n'y avait que de la haine. J'étais pas alaise en sa presence mais je savais que je ne risquais rien tant qu'il avait du monde autour. Je ne voulais pas non plus vivre a nouveau dans la peur, j'aurai préféré mourir plutot que de revivre dans l'insécurité. J'ai continué ma vie, j'ai changé aucune de mes habitudes, il était hors de question que je me soumette a de l'intimidation.

Un jour cet homme s'est assis a côté de moi au comptoir d'un bar, j'étais accompagnée de mon copain. Cet homme était a moins de 20 cm de moi. J'ai écouté la convesation qu'il avait avec le patron du bar, et le patron l'a appelé par son prénom et il lui a demandé si les affaires marchaient a (nom de sa ville) J'ai vu son visage se decomposer, il a perdu tout ses moyens il était tres agité et il me regardait en même temps. J'ai sourit légèrement, et nous somme sorti avec mon copain. L'homme est sorti 10 secondes apres nous, il a courru dans sa voiture et il s'est sauvé comme un lâche. Trop peur que je raconte à mon copain qui il était. Dehors j'ai ensuite fait des recherches sur internet avec son prenom et le nom de famille de celui qui m'a violé. Les résultats ont été sans appel, il était de sa famille. Nous somme rentré chez mon copain, et je lui ai tout dit. Il est resté muet un instant avec les larmes qui coulaient. Et d'un coup il s'est énervé me jurant qu'il allait tous les tuer. Je l'ai raisonné et rassuré en lui disant que j'allais aller porter plainte.

Je n'ai pas déposé plainte. Je pensais que vu qu'il savait que je savais qui il était il allait arrêter. Mais pas du tout. Le week-end qui a suivit je travaillais, et je pressentai que quelque chose de grave allait se passer. Mon copain n'était pas la il était chez sa famille a 200km. Il était hors de question que j'en parle a mon patron avec qui je m'entends très bien. Je ne voulais surtout pas de cette affiche de femme violée j'étais une femme "normale" je voulais qu'on me respecte et qu'on me considère en tant que telle.

J'ai donc pris la route a pied en direction de chez mon copain. J'etais toujours sur le parking de mon lieux de travail quand je l'ai apercu ralentir et faire demi au milieu de la route pour se garer sur le trottoir d'en face. Je savais que j'étais en danger, mais je voulais savoir de quoi il était capable. Je suis arrivé sur le trottoir au moment ou lui il se garait sur celui d'en face. A partir de la tout est allé tres vite il est descendu il a laissé sa portière ouverte, et il a ouverte une portiere arriere et puis il allait traverser, j'ai agi par instinct de survi et j'ai courru vers le lieu de mon travail arrivé au milieu du parking je me suis arrêtée et je l'ai vu partir comme une balle. J'ai appelé mes parents, ils sont venu me chercher ils étaient dans un état de colere la meme que quand je leurs ai dit qu'un homme m'avait violé. Mon père a tourné dans toutes les rues, il y avait mon frère. Il n'aurai pas fallu que l'un d'eux mettre la main sur lui sinon il etait mort.

S'en est suivit d'une dispute de famille, mes parents m'ont ordonnés d'arrêter de travailler. J'ai refusé et je leur ai hurlé que jamais plus je ne serai victime de mon passé. Que je preferai mourir plutot que de ceder a mon droit le plus fondamental qu'est de vivre en toute sécurité. J'ai ensuite appelé mon copain lui disant de venir me chercher et je suis partit. Je lui ai raconté, il s'est fâché aussi. Il m'a dit qu'il allait parler a notre patron (qui est son ami), pour qu'il nous mette le même planing. Je lui ai dit que je ne voulais pas car j'avais le droit d'être en sécurité sans sa présence et que personne ne choisira plus comment je dois vivre même si cela est pour mon bien. C'était la premiere fois que je m'affirmais pour mon passé.

Le lendemain j'ai appelé mon avocat. Et j'ai été déposer une main courante a la gendarmerie. Et puis j'ai ecri un courrier a celui qui m'a violé. Cela m'a pris des semaines. J'écrivais tout ce qu'il me passait par la tête, tout ce que je ressentais j'ai pleuré toutes les nuits pendant plusieurs semaines, je ne dormais plus que 3h par nuit. J'étais obsédée a finir mon courrier. Jusqu'au jour ou plus rien ne sortait. Plus aucune larme ne coulait. J'étais vidée de toutes mes émotions, j'étais soulagée. En relisant mes lettres, je me suis dit que je ne lui ferai pas le plaisir de lui envoyer mes mouchoirs. Il aurait pris du plaisir a savoir que j'allais aussi mal que ça.

Après ça je ne pouvais plus nier qu'il était un être humain. J'ai essayé de comprendre pourquoi il en était arrivé a de telles violences. Je sais que sa vie n'a pas été facile, mais même comme ça je ne suis pas arrivée a lui trouver d'excuse. Il savait faire la difference entre le bien et le mal, il est donc responsable de ses choix. Et donc l'unique coupable du viol qu'il a commis sur l'enfant que j'étais.

Maintenant j'en tire une certaine satisfaction qu'il est essayé de rentrer dans ma vie par l'intermédiaire d'un de ses proche car cela prouve a quel point il souffre du courage que j'ai eu face à lui alors que j'avais tout juste 14 ans. Il doit ressentir une profonde injustice, vu que cet homme est incapable de voir la douleur des autres car les autres ne sont plus considérés comme tel à ses yeux quand ils lui disent non et qu'ils ne se laissent pas faire. Sur le courrier que je lui ai envoyé, je lui ai dit que quoi qu'il essaiera de me faire je ne me laisserai jamais faire, qu'aujourd'hui la seule victime du viol était lui même et que la justice je m'en servirai aussi souvent que j'en aurai besoin face a lui. Que si je croisais encore une fois l'homme de sa famille je déposerai non pas une main courante mais une plainte et que j'irai au bout comme je l'ai fait lorsque j'étais gamine. Après que j'ai envoyé cette lettre je n'ai jamais plus croiser l'homme qui tentait de me nuire.

Aujourd'hui je me sent libre. Je vis pleinement ma vie, je me sent en sécurité. Je fais mes choix seule. Je profite du soleil comme de la pluie. Il n'y a pas un jour sans que j'ai l'impression d'être une enfant qui découvre la beauté et la grandeur du monde. Avec mon copain ça va beaucoup mieux, on s'entend bien et on s'aime. Nous allons habiter ensemble d'ici 5 jours. On parle de bébé, d'ici deux ans si notre cohabitation se passe bien. J'ai des rêves plein la tete et j'ose me projeter et faire des projets avec l'homme que jaime.

Quand je me retourne face a mon passé je suis tellement fiere du chemin que j'ai parcouru. Je suis fiere de mes parents qui n'ont rien lâché et qui m'ont donné des forces quand moi j'étais sur le point de tout lâcher. J'ai regretté pendant des années d'avoir parlé a cause des mauvaises langues. Et aujourdhui c'est ma plus grande fierté, je marche la tête haute. J'ai retrouvé confiance en moi, en les gens et puis en la vie. Je sais que je n'oublierai jamais ce qu'il m'a fait, et je ne veux plus oublier.

Je n'ai plus aucune haine en vers celui qui m'a violé. Je suis fière du chemin que j'ai parcouru, je ne pourrai jamais oublier ce qu'il m'a fait, mais je peux en parler librement avec mes proches sans ressentir de honte ou de douleur.

Par compte j'ai toujours de la colère contre ces gens qui m'ont jugés et qui m'ont regardé comme un animal de cirque. Cette colère je la maitrise, elle ne me fait pas perdre la raison, mais elle ne passe pas. Il suffit que je pense a une seule de ces personne pour que je sois en colère contre eux mais aussi et surtout contre moi meme, car je m'en veux d'avoir baissé les yeux ou de m'être tais face a ces gens.

J'espère qu'un jour je serai en paix avec moi même, que je puisse un jour me pardonner mes faiblesses du passé.

Pensez vous que je devrais consulter un psychologue ? Ou que je suis apte a m'en sortir entierement seule ?
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: L'avis d'un psychologue

Message par Dubreuil »

[quote="Bonsai70"Pensez vous que je devrais consulter un psychologue ? Ou que je suis apte a m'en sortir entierement seule ?[/quote]


VOUS EN ETES DEJA SORTIE. VOUS ETES UNE FEMME LIBRE.
Votre témoignage est bouleversant.
Si vous me l'autorisez, je le garde très précieusement pour le présenter à la prochaine personne désespérée, qui n'aurait plus le courage de vivre après une agression sexuelle...
Et je souhaiterai le copier dans mon site internet, dans ma rubrique " psychotraumatologie ", me permettez-vous de le faire ?
http://www.psychomotricienne-analyste-nice.fr

Je vous remercie d'être sur la terre, si belle, si intelligente, et si courageuse...
Bien à vous.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Bonsai70
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Re: L'avis d'un psychologue

Message par Bonsai70 »

C'est bien ce qu'il me semblait, vous venez de confirmer ce que je n'osais pas encore affirmer merci beaucoup :)

Oui biensur, si mon témoignage peut donner de l'espoir aux personnes qui en ont besoins, alors faite en ce que vous voulez.

Merci à vous.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: L'avis d'un psychologue

Message par Dubreuil »

C'est fait.
Vous pouvez " vous relire " sur mon site, et me dire si vous souhaitez que je fasse des corrections.
Belle et bonne route.
Restez sûre de votre belle âme.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Bonsai70
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Inscription : 21 juil. 2017, 03:51

Re: L'avis d'un psychologue

Message par Bonsai70 »

Bonsoir,

Désolée de répondre aussi tardivement. Je viens de me relire, il y a bcp de fautes de frappe. Mais ne vous cassez pas la tête laissez le tel qu'il est, si cela ne vous dérange pas. Merci beaucoup, pour vos si belles paroles, c'est agréable à lire.

J'ai parfois envie d'intervenir dans des posts mais c'est tellement délicat de conseiller ou de donner un avi. On subit des actes "viol, attouchements, agression ..." mais les actes subits ne sont jamais les mêmes, et chaque personne est différente cela fait que chaque personne réagit différemment. J'ai pu le constater avec une ancienne amie qui avait vécu un viol elle aussi. Enfin malgré mon vécu je ne peux pas faire grand chose pour les autres. C'est pour cela que j'admire votre métier il est tellement subtil et honorable.

Merci pour tout. Bonne route à vous aussi.
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licornemagique
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Inscription : 08 juil. 2016, 21:36

Re: L'avis d'un psychologue

Message par licornemagique »

J'ai parfois envie d'intervenir dans des posts mais c'est tellement délicat de conseiller ou de donner un avi
N'hésitez pas à le faire tout avis est le bienvenue, et puis ci on se trompe ba c'est pas grave les modérateurs sont la pour ça.
:!: Je ne suis pas psychologue :!:
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: L'avis d'un psychologue

Message par Dubreuil »

[quote="Bonsai70"Désolée de répondre aussi tardivement. Je viens de me relire, il y a bcp de fautes de frappe.
*** j'ai corrigé.
licornemagique a écrit :
J'ai parfois envie d'intervenir dans des posts mais c'est tellement délicat de conseiller ou de donner un avi
N'hésitez pas à le faire tout avis est le bienvenue, et puis ci on se trompe ba c'est pas grave les modérateurs sont la pour ça.
*** Oui, tout à fait.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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