Re: Violences conjugales et justice, un leurre...
Publié : 22 mai 2016, 14:33
"CHAPITRE 3" En ce dimanche pluvieux, nous dirons
Ce qui va suivre n'est pas forcément dans un ordre chronologique, enfin un peu... mais pas toujours... Ce seront des "tranches de vie" par thématiques peut-être...
En fait, ce que je cherche, c'est "témoigner". Pour qui ? pour quoi ? pour les générations à venir peut-être... pour moi aussi, pour tourner la page, fermer ce livre, et en ouvrir un autre...
Que se passa-t-il donc ensuite ? Ben, il y eu ce que je baptiserais les "violences routières". Alors, ça consiste en quoi ? Hé bien, c'est très simple. D'abord, il y eut cette fois, où nous n'étions pas encore mariés. Nous étions dans le sud de la France, en vacances. Il n'aimait pas conduire. C'était moi qui devait conduire le plus souvent. Il acceptait rarement de me relayer au volant. Lui, il tenait la carte "routière".
Il s'insurgeait contre les autoroutes beaucoup trop chères, contre les stationnements payants des lieux touristiques. Moi, je trouvais, qu'il n'avait tout à fait tord, et cela m'amusait de contourner le problème, en prenant les petites routes et en cherchant à stationner loin de la "foule", ce qui n'occasionnait d'ailleurs souvent guère plus de 5 mn de marche à pieds.
J'étais chargée d'élaborer les itinéraires routiers plaisants, qui nous permettraient d'éviter "l'escroquerie" des autoroutes. Et un jour, alors que nous cherchions notre route dans des paysages sublimes, sur des petites routes magnifiques, mais un peu mal indiquées, furieux, il déchira la carte routière, et la jeta par la fenêtre de la voiture, alors que nous roulions.
Tout cela était ma faute, bien entendu, je faisais chier avec ces petites routes. Il hurlait et me disait de continuer à rouler. Il se calma néanmoins assez rapidement, lorsque je suggérais qu'il était peut-être encore temps, de faire demi-tour pour aller chercher les morceaux de la carte, avant que le vent ne les emporte.
On fit demi-tour et on retrouva la carte. Trop bonne pâte, je pris cela avec humour, défroissant la carte, rassemblant les morceaux : "Bon, ben maintenant, on va essayer se savoir où on est..." La beauté des paysages, le soleil, etc me faisaient vite oublier.
(Je vais manger un morceau, et je reviens pour la suites des "violences routières")
Ce qui va suivre n'est pas forcément dans un ordre chronologique, enfin un peu... mais pas toujours... Ce seront des "tranches de vie" par thématiques peut-être...
En fait, ce que je cherche, c'est "témoigner". Pour qui ? pour quoi ? pour les générations à venir peut-être... pour moi aussi, pour tourner la page, fermer ce livre, et en ouvrir un autre...
Que se passa-t-il donc ensuite ? Ben, il y eu ce que je baptiserais les "violences routières". Alors, ça consiste en quoi ? Hé bien, c'est très simple. D'abord, il y eut cette fois, où nous n'étions pas encore mariés. Nous étions dans le sud de la France, en vacances. Il n'aimait pas conduire. C'était moi qui devait conduire le plus souvent. Il acceptait rarement de me relayer au volant. Lui, il tenait la carte "routière".
Il s'insurgeait contre les autoroutes beaucoup trop chères, contre les stationnements payants des lieux touristiques. Moi, je trouvais, qu'il n'avait tout à fait tord, et cela m'amusait de contourner le problème, en prenant les petites routes et en cherchant à stationner loin de la "foule", ce qui n'occasionnait d'ailleurs souvent guère plus de 5 mn de marche à pieds.
J'étais chargée d'élaborer les itinéraires routiers plaisants, qui nous permettraient d'éviter "l'escroquerie" des autoroutes. Et un jour, alors que nous cherchions notre route dans des paysages sublimes, sur des petites routes magnifiques, mais un peu mal indiquées, furieux, il déchira la carte routière, et la jeta par la fenêtre de la voiture, alors que nous roulions.
Tout cela était ma faute, bien entendu, je faisais chier avec ces petites routes. Il hurlait et me disait de continuer à rouler. Il se calma néanmoins assez rapidement, lorsque je suggérais qu'il était peut-être encore temps, de faire demi-tour pour aller chercher les morceaux de la carte, avant que le vent ne les emporte.
On fit demi-tour et on retrouva la carte. Trop bonne pâte, je pris cela avec humour, défroissant la carte, rassemblant les morceaux : "Bon, ben maintenant, on va essayer se savoir où on est..." La beauté des paysages, le soleil, etc me faisaient vite oublier.
(Je vais manger un morceau, et je reviens pour la suites des "violences routières")