Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir
Publié : 02 déc. 2022, 14:03
En effet, on ne peut pas, ET SURTOUT par internet, statuer sur le sort mental d'une personne, il faudrait recevoir "la victime " pour bien comprendre ses symptômes et déterminer si ce sont ceux du harcèlement d'un PN.
Avant d'être considéré comme un PN, d'emblée il y a beaucoup de nuances et de précautions à prendre. Ce serait plutôt les "dégâts" que cause une relation insupportable chez la victime qui sont à prendre en compte et permet de considérer que ce sont les faits dans un PN.
Mais "harcèlement et contrôle sur la victime " signent bien une perversion narcissique de la part de l'agresseur.
Il faut bien comprendre que la perversion n'est pas un défaut, mais une répétition de comportements déviants qui se sont systématisés. La structure perverse était présente en veilleuse dès le début de l'éducation de l'enfant, et c'est de un an à trois ans que tout "se décide".
On peut avoir en face de soi une personne n'ayant pas vraiment présenté des troubles déviants narcissiques, justes quelques attitudes ou réflexions qui vont choquer ou dérouter parfois, mais sans plus.
Et puis soudain, (c'est le "meilleur" des cas) "un soulèvement perversif surgit d'un coup quand "le pervers " est soudain mis en présence d'une situation qui "couvait en lui" depuis toujours, n'avait pas été pris au sérieux, et met implacablement en lumière sa vraie nature.
Si cela est prit à temps, avec la psychanalyse l'agresseur peut identifier clairement ses failles narcissiques de quoi il se nourrit son désarroi psychique. Mais c'est très rare.
Ou est-ce qu'on peut simplement attribué le terme toxique sans pour autant qualifier la personne de PN ? Notamment lié à des symptômes post-traumatiques.
*** Toxiques, donc avérés.
Liés a des symptômes ou pas, c'est de la perversion narcissique.
exemple d'une analyse graphologique d'un homme présentant un soulèvement perversif :
« L'écriture présente des irrégularités et des disproportions dans la hauteur et la largeur des lettres, dans l'inclinaison, la direction, la continuité, les formes, l'impression... Ces irrégularités révèlent la prédominance du facteur émotionnel sur la raison. La volonté est faible, encline à être influencée, instable et troublée par la sensibilité. Une inadaptation de la vie intérieure aux problèmes que posent la réalité est évidente. Il y a des risques de nervosité, d'impatience, d'indiscipline, et surtout d'ambivalence. Les irrégularités ainsi accumulées prouvent un déséquilibre émotif. Associé à la petitesse de l'écriture, les irrégularités confirment une exacerbation du sentiment du détail, ce qui empêche une adaptation de façon spontanée et facile à l'ensemble des problèmes et des situations de la vie.
L'écriture très petite dans le contexte irrégulier confirme un symptôme de névrose.
Une angoisse face aux problèmes de la vie, de l'anxiété et des difficultés à trouver le
chemin de la libération intérieure doivent faire l'objet d'attentions particulières.
Traduction de la victime dans le livre "Les seins de Basilia"
" Tu ne t'es peut-être pas senti attendu, prévu, compté. Il est possible alors que tu aies cheminé seul, replié sur la seule urgence de tes propres besoins. Ce comportement instinctif aurait fait de toi cet adulte sans empathie pour ses victimes, un homme aujourd'hui étranger à une prise de conscience de ses comportements destructeurs envers autrui.
Ce manque d’empathie, ce pourrait être ta façon d'exprimer ta souffrance, tu n'es pas
méchant, tu es souffrant. Tu n'as pas appris à t'exprimer autrement, tu ne le sais pas, tu
ne le peux pas. Tu es souffrant parce tu as peut-être été intimement frustré, et tu l’es
resté."
Avant d'être considéré comme un PN, d'emblée il y a beaucoup de nuances et de précautions à prendre. Ce serait plutôt les "dégâts" que cause une relation insupportable chez la victime qui sont à prendre en compte et permet de considérer que ce sont les faits dans un PN.
Mais "harcèlement et contrôle sur la victime " signent bien une perversion narcissique de la part de l'agresseur.
Il faut bien comprendre que la perversion n'est pas un défaut, mais une répétition de comportements déviants qui se sont systématisés. La structure perverse était présente en veilleuse dès le début de l'éducation de l'enfant, et c'est de un an à trois ans que tout "se décide".
On peut avoir en face de soi une personne n'ayant pas vraiment présenté des troubles déviants narcissiques, justes quelques attitudes ou réflexions qui vont choquer ou dérouter parfois, mais sans plus.
Et puis soudain, (c'est le "meilleur" des cas) "un soulèvement perversif surgit d'un coup quand "le pervers " est soudain mis en présence d'une situation qui "couvait en lui" depuis toujours, n'avait pas été pris au sérieux, et met implacablement en lumière sa vraie nature.
Si cela est prit à temps, avec la psychanalyse l'agresseur peut identifier clairement ses failles narcissiques de quoi il se nourrit son désarroi psychique. Mais c'est très rare.
Ou est-ce qu'on peut simplement attribué le terme toxique sans pour autant qualifier la personne de PN ? Notamment lié à des symptômes post-traumatiques.
*** Toxiques, donc avérés.
Liés a des symptômes ou pas, c'est de la perversion narcissique.
exemple d'une analyse graphologique d'un homme présentant un soulèvement perversif :
« L'écriture présente des irrégularités et des disproportions dans la hauteur et la largeur des lettres, dans l'inclinaison, la direction, la continuité, les formes, l'impression... Ces irrégularités révèlent la prédominance du facteur émotionnel sur la raison. La volonté est faible, encline à être influencée, instable et troublée par la sensibilité. Une inadaptation de la vie intérieure aux problèmes que posent la réalité est évidente. Il y a des risques de nervosité, d'impatience, d'indiscipline, et surtout d'ambivalence. Les irrégularités ainsi accumulées prouvent un déséquilibre émotif. Associé à la petitesse de l'écriture, les irrégularités confirment une exacerbation du sentiment du détail, ce qui empêche une adaptation de façon spontanée et facile à l'ensemble des problèmes et des situations de la vie.
L'écriture très petite dans le contexte irrégulier confirme un symptôme de névrose.
Une angoisse face aux problèmes de la vie, de l'anxiété et des difficultés à trouver le
chemin de la libération intérieure doivent faire l'objet d'attentions particulières.
Traduction de la victime dans le livre "Les seins de Basilia"
" Tu ne t'es peut-être pas senti attendu, prévu, compté. Il est possible alors que tu aies cheminé seul, replié sur la seule urgence de tes propres besoins. Ce comportement instinctif aurait fait de toi cet adulte sans empathie pour ses victimes, un homme aujourd'hui étranger à une prise de conscience de ses comportements destructeurs envers autrui.
Ce manque d’empathie, ce pourrait être ta façon d'exprimer ta souffrance, tu n'es pas
méchant, tu es souffrant. Tu n'as pas appris à t'exprimer autrement, tu ne le sais pas, tu
ne le peux pas. Tu es souffrant parce tu as peut-être été intimement frustré, et tu l’es
resté."