2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

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Anne claire
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2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Anne claire »

Bonjour à tous,
Mon histoire est longue....comme la vôtre !
J ai rencontré mon mari il y a 3ans. Lui séparé de la mère de ses 2 enfants et moi en plein divorce.
Tout s est enchaîné très vite : présentation des enfants, recherche d une maison. Nous avions les mêmes envies de vie, le même regard vers le futur. 1 an plus tard, nous achetions la ferme de nos rêves, pour y réaliser nos projets. Sachant que ma fille est scolarisée à 130km de cet endroit, nous vivions 1 semaine sur 2 + tous les week-end ensemble.
La ferme à gérer, les travaux + mon boulot, je fais un burn out en mars 2021.
Je finis par quitter mon boulot en juin 2022.
En attendant, Noel 2021 il m a demandé en mariage alors qu il avait toujours été contre le mariage. ( Et je ne m y attendais pas du tout )
Juillet 2022 : mariage
Août 2022 : j arrête mes traitements liés au burn out, je me retrouve enfin avec ma joie de vivre et ma motivation.

A partir de ce moment, il a pris ses distances. Octobre 2022, il me trompe avec la femme d un de ses meilleurs amis.
Aujourd hui il n y a plus d échange entre nous. Il me dit qu il ne me supporte plus, que tout ce qui vient de moi l irrite.

Que faire ????
Merci pour votre aide

Anne claire
Dubreuil
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Dubreuil »

Merci pour votre aide
*** C'est à dire ?
Avait-il un intérêt financier à vous épouser ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Anne claire
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Anne claire »

Non, aucun....
Dubreuil
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Dubreuil »

A votre avis, que s'est-il passé pour que vous en arriviez là tous les deux ? Car vous avez été deux avant de vous séparer.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Anne claire
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Anne claire »

J ai fait un burn out, perdu mon emploi mais nous étions d accord pour la perte de mon emploi car nous avions un projet commun. Avant lui j etais marié à un PN.
Du coup il remet tout en question. Il pense que je me suis mise en couple avec lui par séduction et que je ne l aime pas sincèrement. Je travaille sur moi avec un psy car j ai une blessure d abandon. Mais en rien mes sentiments pour lui ne sont un jeu.
Nous sommes en coupure mais il m appelle. Il me montre sa jalousie. Comment faire ? Je ne sais plis sur quel pied danser. Il me demande de le laisser revenir vers moi mais j ai terriblement peur de le perdre....
Dubreuil
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Dubreuil »

Attention, c'est peut-etre un homme manipulateur, pour l'excitation de vous faire souffrir comme "l'autre" a si bien su le faire! Soyez prudente ! travaillez bien cette "répétition" inconsciente avec votre psy.

Nous ne rencontrons pas nos " amours " par hasard, et ils sont là pour nous faire évoluer.
Tout dépend jusqu'où on est prêt à aller pour se rendre compte qu'une relation nous détruit. Tout repose sur le leurre de penser qu'elle ne doit pas se terminer parce qu'on s'y est trop investi.
Mais l'amour n'est pas fait de larmes et de " sacrifices " de concessions masochistes ou d'irrespect envers soi-même, si c'est le cas c'est que vous vous êtes peut-être trompé(e) de nom.
L'amour c'est une égalité, un partage, des élans, la confiance, la complicité, c'est se sentir libre et heureux... et si dans votre relation actuelle vous ne trouvez pas un écho à l'un de ces 7 mots, dites-vous que vous perdez du temps et de l'amour pour quelqu'un d'autre qui vous attend ailleurs.
Nulle personne au monde ne mérite que l'on gâche sa vie pour elle.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Dubreuil »

J ai fait un burn out, perdu mon emploi mais nous étions d accord pour la perte de mon emploi car nous avions un projet commun. Avant lui j etais marié à un PN.
Du coup il remet tout en question.
*** C'est à lui de se remettre en question

Il pense que je me suis mise en couple avec lui par séduction et que je ne l aime pas sincèrement.
*** Il vous domine en vous culpabilisant

Je travaille sur moi avec un psy car j ai une blessure d abandon.
*** Justement, vous n'êtes pas sûre de vous, c'est quand on est en égalité, que l'on a "pas besoin de l"autre pour vivre que l'on peut commencer une VRAIE histoire.

Mais en rien mes sentiments pour lui ne sont un jeu.
*** Si justement, vous êtes loin d'être spontanée et confiante, il vous coupe tous vos élans ! Vos sentiments ne l'interrogent pas. Méfiez-vous.

Nous sommes en coupure mais il m appelle. Il me montre sa jalousie. Comment faire ?
*** Il joue peut-être, pour mieux "vous récupérer", quand il aura "gagné" il se détachera à nouveau.

Je ne sais plis sur quel pied danser. Il me demande de le laisser revenir vers moi mais j ai terriblement peur de le perdre....
*** C'est en lui disant très décidée que tout cela vous rend triste et que vous préférez le quitter, que vous aurez une chance de
le découvrir. Soyez très prudente, et ne renouvelez pas vos erreurs.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Anne claire
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Anne claire »

Merci !
Hier il m a appelé en sortant de son rdv psy. Il souhaite que l on ai une discussion ce week end ( encore lui qui décide....). Je suis dans un état d angoisse terrible et je sais que je ne devrai pas être dans cet état si je me sentais bien dans ma peau.
Il faut de toutes façons que cela cesse.
Je vois mon psy à 11h, j espere qu il va me booster !
Dubreuil
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par Dubreuil »

Si votre mari a aussi un psy, la situation est bloquée et pervertie.
Inconsciemment cela devient "une prise de pouvoir"

Quoi qu'induise ou pas votre psy, vous devriez refuser l'entrevue, si vous ne vous sentez pas prête.
C'est la logique élémentaire de se protéger soi-même. Dans l'état actuel des choses vous y allez en victime.
Eloignez-vous le plus possible de cet homme. Il en profite parce que vous êtes à terre
Moins vous lui répondrez mieux cela vous servira. Vous n'êtes plus sur lamême loguer d'ondes.

Soit vous suivez ENSEMBLE une thérapie de couple, soit vous ARRETEZ la relation tant que vous n'êtes pas l'un et l'autre arrivés à un compromis d'égalité et de respect.

En thérapie individuelle, chacun est centré sur soi, ce qui fait éclater le couple. En thérapie de couple ( menée par un professionnel assermenté ) les rapports sont équitables et constructifs. Mais ils peuvent évidemment conduire à un divorce.

***************************************************************************************************

LA PERVERSION NARCISSIQUE
“Le langage est perverti. Chaque mot cache un malentendu qui se retourne contre la victime désignée.” M.-F. Hirigoyen.
La violence psychologique consiste en une série d’attitude et de propos qui visent à dénigrer et à nier la façon d’être, ou l’être, d’une autre personne, avec pour intention et/ou pour effet de déstabiliser, de blesser cet autre.
La particularité de la violence psychologique perverse, comme façon d’être en relation, est que cette attitude et ces actions ne sont pas suivies de regrets ou d’excuses. Pour celle ou celui qui l’exerce, la violence psychologique est déniée, invisible voire inavouable. La négation de l’autre passe par la considération de celui-ci comme objet.
La fatigue émotionnelle qui découle de la violence psychologique, du climat général de ‘négation de l’autre’, notamment dans ses émotions et ressentis, est renforcée par le caractère insidieux et durable dans lequel ce mode relationnel peut s’installer.

“Ces agressions relèvent d’un processus inconscient de destruction psychologique, constitué d’agissements hostiles évidents ou cachés, d’un ou de plusieurs individus, sur un individu désigné, souffre-douleur au sens propre du terme. Par des paroles apparemment anodines, par des allusion, des suggestions ou des non-dits, il est effectivement possible de déstabiliser quelqu’un, ou même de le détruire, sans que l’entourage intervienne. Le ou les agresseurs peuvent ainsi se grandir en rabaissant les autre, et aussi s’éviter tout conflit intérieur ou tout état d’âme en faisant porter à l’autre la responsabilité de ce qui ne va pas. (…) Pas de culpabilité, pas de souffrance.

Il s’agit là de perversion au sens de la perversion morale. (…) Cela ne devient destructeur que par la fréquence et la répétition dans le temps. Ces individus ne peuvent exister qu’en “cassant” quelqu’un : il leur fait rabaisser les autres pour acquérir une bonne estime de soi, et par là même acquérir le pouvoir, car ils sont avides d’admiration et d’approbation. Ils n’ont ni compassion ni respect pour les autres puisqu’ils ne sont pas concernés par la relation. Respecter l’autre, c’est le considérer en tant qu’être humain et reconnaître la souffrance qu’on lui inflige. “, M.-F. Hirigoyen.

L’emprise
Elle consiste en la préparation psychologique destinée à soumettre l’autre, à le contrôler, à établir un pouvoir sur lui/elle, et s’apparente à un abus psychologique, à un viol psychologique.
Il ne s’agit pas moins qu’assujettir autrui, par des moyens subtils, répétitifs, voilés et ambigus et c’est en cela qu’ils sont efficaces. Sous couvert de confidence, d’aveu, à travers des mots qui paraissent sincères et corrects, “de l’extérieur” il s’agit de disqualifier l’autre (humiliations, malveillance), d’instaurer un contrôle, voire de détruire l’autre. Pernicieux et amoraux, “à petites touches déstabilisantes”, ces moyens s’apparentent à un conditionnement, voire à un “lavage de cerveau”.
Chez la victime de l’emprise, les points d’entrée possibles, les accroches possibles peuvent être multiples : la confiance, l’empathie, la bienveillance, la naïveté, la faiblesse (on parle souvent d’abus de faiblesse en situation d’emprise et de harcèlement moral),…

Harcèlement moral
Il consiste en des violences récurrentes, et c’est la récurrence elle-même qui est une violence : paroles humiliantes, flux de parole recouvrant l’autre, regards méprisants, tonalité menaçante, chantage, victimisation, attaque à l’estime de soi de la victime.
“Par harcèlement sur le lieu de travail, il faut entendre toute conduite abusive se manifestant notamment par des comportements, des paroles, des actes, des gestes, des écrits, pouvant porter atteinte à la personnalité, à la dignité ou à l’intégrité physique ou psychique d’une personne, mettre en péril l’emploi de celle-ci ou dégrader le climat de travail.
(…) De toutes ces agressions, on ne meurt pas directement, mais on perd une partie de soi-même. on revient chaque soir, usé, humilié, abîmé. Il est difficile de s’en remettre.” M.-F. Hirigoyen.

Chaque remarque, geste, regard, en soi, peut être considéré comme anodin, mais c’est le quotidien de leur accumulation qui épuise et qui fait douter la victime d’elle-même1. Et la victime du harcèlement devient le présumé coupable : quoi qu’elle fasse ou dise, cela sera retenu contre elle par son agresseur.

Les leviers du harcèlement sont en particulier2 :
1. Le contrôle de la victime
“surveiller quelqu’un de manière malveillante avec l’idée de le dominer et de le commander. On veut tout contrôler pour imposer la façon dont les choses doivent être faites”
J’irai même jusqu’à dire qu’il s’agit de contrôler la manière dont la réalité doit être perçue par la “victime”, sans lien avec l’idée de vérité des faits. D’où cette idée de “lavage de cerveau”. Il y a manipulation du réel de l’autre, et aucun intérêt pour la vérité, tant que la construction imposée est plausible et non décelable dans son mensonge.
Mensonge – faire du réel ce que l’on veut, croire à ses propres mensonges
Rumeurs – faire de l’autre, du réel l’objet de ses fantasmes
L’hyper-contrôle, la surveillance exercée, la malveillance continue génère le manque d’oxygène.

2. L’isolement de la victime
Le harcèlement moral passe par un isolement de la victime afin d’assurer l’absence de contact direct avec ce dont / le monde dont il est question de construire une représentation. Le/la harceleur.se doit s’assurer de rester en position de filtre par rapport à l’extérieur, par rapport au réel.
Une énergie considérable peut être dépensée par le/la harceleur.se pour conserver cette place d’intermédiaire, pour garder le contrôle, pour éviter que la manipulation ne s’effondre.

3. Acculer la victime par l’attribution d’intentions non fondées (suspicion, comportement jaloux,…)
La succession des procédés suivants contribue au harcèlement moral : procès d’intentions, crises de jalousie, demandes permanentes de justification, etc.

4. Répétition, usure, trop plein
La victime finit par ressentir un manque d’oxygène, l’impression d’être prise au piège, entravée dans ses mouvements.
L’usure, la répétition consiste justement à ne pas laisser l’autre respirer, par “la répétition à satiété” d’un message (le harceleur le répète autant à lui-même qu’à sa victime jusqu’à que ce message devienne la réalité par l’abaissement de la garde, par l’usure, par la résignation)
Le flot de parole génère par exemple l’occupation de la disponibilité de l’autre, la médisance répétée remodèle le réel par les mot, “met en tête”, “fait croire” à un réel qui n’est que celui de celui qui aimerait que ce réel soit la réalité, et qui réalise dans la tête des autres, qui immisce dans la tête des autres sont fantasme, par la manipulation.

5. Demande d’hyper-disponibilité versus absence de disponibilité
Le harceleur demande une disponibilité totale à sa victime, et oppose en retour une indisponibilité à l’autre : “je suis surbooké”, “je n’ai pas le temps de t’écouter, de faire ce que tu me demandes”, mais je te noie dans mon flot de parole, de demandes, d’informations, d’exigences,…
La perversion narcissique : réduire l’autre à néant
Les mots pervers ne s’ancrent pas dans le réel et amènent la victime à oublier même qui elle est
Ce qui compte pour le harceleur, c’est ce qu’il veut dire, faire croire, faire circuler, indépendamment de la véracité.
L’autre est un fantasme au service de cette construction du réel qui vient nourrir l’égo du harceleur. Celui-ci est déconnecté du réel, il vit dans un sentiment d’impunité, qui rend possible l’absence de nécessité pour son discours d’être vrai : ce discours se fait passer pour vrai et cela est suffisant, en tout impunité – “c’est sa parole contre celle de la victime”3, et le harceleur se positionne souvent en place dominante, et socialement protégée pour le faire. La victime est en position de faiblesse et sa parole, même si elle dit le vrai, vaut moins.
“l’enjeu de la violence est toujours la domination”
“Le point commun de ces situations est que c’est indicible : la victime, tout en reconnaissant sa souffrance, n’ose pas vraiment imaginer qu’il y a eu violence et agression. un doute persiste parfois : “Est-ce que ce ne serait pas moi qui inventerais tout cela, comme certains me le suggèrent ?” Quand elle ose se plaindre de ce qui se passe, elle a le sentiment de mal le décrire, et donc de ne pas être entendue.” M.-F. Hirigoyen.
Il s’agit de détruire l’autre, symboliquement ou non, en tant que personne. Chez le pervers narcissique, il y a même une jouissance à dominer l’autre, à observer l’autre dans sa soumission.
“La perversité ne provient pas d’un trouble psychiatrique mais d’une froide rationalité combinée à une incapacité à considérer les autres comme des êtres humains. (…) il s’agit de “prédation” c’est-à-dire d’un acte consistant à s’approprier la vie.” M.-F. Hirigoyen.

A l’inverse d’un conflit entre deux personne, la violence psychologique perverse écrase la victime de celle-ci dans une asymétrie. Lors d’un conflit, l’identité de celui auquel on s’oppose reste à l’inverse préservé : il reste respecté en tant qu’individu, malgré le désaccord. La violence perverse est également distincte de l’agression : la première est insidieuse et répétitive, la seconde, ponctuelle et plus ouverte.
“J’ai choisi délibérément d’utiliser les termes agresseur et agressé, car il s’agit d’une violence avérée, même si elle est occulte et tend à s’attaquer à l’identité de l’autre, et à lui retirer toute individualité. C’est un processus réel de destruction morale, qui peut conduire à la maladie mentale ou au suicide.” M.-F. Hirigoyen.

Ces distorsions du réel se font au détriment de l’autre, en tant qu’être : il n’est qu’objet et en cela est nié en tant que sujet. Cette négation de l’autre dans son être est d’autant plus violente que la victime présente une faille narcissique,, une faiblesse, qui est la brèche de l’emprise perverse : le contextuel rejoint dangereusement le constitutif, d’où l’enjeu vital de la conquête d’une parole juste sur ce qui est en train de se passer dans la relation toxique, pour en sortir.
“Dans la violence (…), l’autre est empêché de s’exprimer. Il n’y a pas de dialogue”
“Cela débute par un abus de pouvoir, se poursuit par un abus narcissique au sens où l’autre perd toute estime de soi (…)” M.-F. Hirigoyen.
Le refus de dialogue provient de l’incapacité du harceleur pervers à rentrer en discussion avec l’autre sur un mode horizontal, l’interlocuteur n’étant pas légitime, valable, voir n’existant pas en tant qu’interlocuteur, puisque seulement objet de ses désirs et fantasmes de toute-puissance.
Dès lors toute résistance, c’est-à-dire tout ce qui n’est pas soumission au pouvoir exercé, est insupportable car incontrôlable et peut provoquer une “rage narcissique“.
La parole vraie et entendue de la victime est dès lors vitale pour reconquérir son statut d’être, de sujet et pour ne pas être tuée comme sujet, pour ne pas devenir qu’objet de la manipulation de celui qui exerce cette violence, cette négation insupportable.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
ultra68
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Re: 2 mois de mariage et il ne veut plus me voir

Message par ultra68 »

Bonjour Madame Dubreuil,
Si une personne a "juste" 2 de ces points (harcèlement moral, et contrôle) est-ce que cela peut suffir à dire que c'est une PN ? Ou est-ce qu'on peut simplement attribué le terme toxique sans pour autant qualifier la personne de PN ? Notamment lié à des symptômes post-traumatiques.
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