Pour décrire le tableau de mon étrange cervelle: je suis un anxieux maladif de naissance, j'ai fait une dépression majeure, une TS, tout cela bien avant le premier coup de canif dans le contrat (sous AD à vie, anxyolitiques par périodes malgré de l'auto-hypnose de relaxation et autres moyens relaxants naturels). je vois mon psychaitre tous els mois mais comme beaucoup d'entre eux , il est débordé et une séance dépasse rareemnt 10 minute c'est peu pour exprimer par la parole.
Ce coup de canif eut des conséquences désastreuses, bien que n'ayant pris aucun risque (relation protégée) cela m'a provoqué une crise de panique majeure, une replongée dans la dépression et une véritable phobie du Sida. J'ai donc mis une fin définitive au sexe tarifé depuis maintenant 10 ans, lorsque ma femme n'a pas envie, je pratique l'onanisme devant de la pornographie, chose qu'elle n'adore pas mais comprend (quand je dis que je l'adore ce n'est pas pour rien, on a trouvé nos solutions et cette infidélité est restée cachée (même si cette soudaine angoisse sidéenne ont attiré sa méfiance).
Me reste donc cette phobie du sida qui réapparait cahque fois que ma santé mentale se déterrriore un peu( trop de boulot, trop de stress financier, trop de stress familial,...). J'ai beau avoir fait 7 ou 8 tests négatif du VIH à la grande rage de ma femme parfois, les tests "discrets" étant quasiment indisponible en Belgique contrairement à la France. De ma vie mon seul VRAI comportement à risque est de coucher sans préservatif avec ma femme mon premier partenaire et seul partenaire régulier depuis presque 30 ans (quelle chance hein un couple qui dure pour un malade mental comme moi).
Bref, comment me délester de cette sorte de nosophobie ? j'ai peur du VIH même si ej sais que je 'nai aucune chance de l'avoir un jour vu ma fidélité actuelle et les tets passés, ledenrier il ya 5 mois (sauf si ma femme se trompe, mais je serais mal placé de lui en faire le reproche):
- Expliquer mes infidélités lointaine à ma femme serait un suicide de mon couple lui faisant un mal énomre et à la limite du pur égoïsme de ma part (beurk). rien que l'idée qu'après la mort il y aurait une autre vie où tout le monde saurait tout des fautes des autres ne me réjouirait guère, elle ne mérite pas la douleur de savoir... (dans mon cas, le courage est de ne aps lui dire, c'est si facile d'avouer et d'espérer le pardon, une lâcheté en fait).
- J'ai beau savoir quand je suis bien que mes probabilités de l'avoir sont 0%, mon cerveau malade lui ne veut pas entendre que le VIh ne s'attrappe pas aux toilettes
. j'avais 16 ans en 1990, j'ai été matraqué par "le VIH c'est la mort"... le message est (trop ?) bien passé sans doute.- On a beau avoir des remords, on ne peut revenir en arrière non plus. Me masturber dans un videoshow porno a suffit une fois à recréer la panique (et si et si et si.... les joies de la phobie/follie)
Merci pour vos réactions... si vous en avez... (éviter les "c'est bien fait, t'avait qu'à être fidèle" je le sais bien, mais dans un couple la différence du désir est parfois très difficile à gére et nous en somems hélas en sexe que des bêtes.