Suicide, déprime?..

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Fereth
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Fereth »

Je n'ai eu aucun soutien médical par rapport à la ts, et mes parents, j'ai l'impression qu'ils s'en foutent un peu. Je n'ai aucun soutien de leur part.. Quant à l'infirmière, pourquoi pas.. J'en avais déjà parlé l'année dernière pour mon frère, il n'y a pas vraiment eu de suite, je dois dire que ça m'a un peu dégoûtée des infirmières et des adultes en général...
Sabrina56
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Sabrina56 »

Fereth a écrit :Je n'ai eu aucun soutien médical par rapport à la ts, et mes parents, j'ai l'impression qu'ils s'en foutent un peu. Je n'ai aucun soutien de leur part.. Quant à l'infirmière, pourquoi pas.. J'en avais déjà parlé l'année dernière pour mon frère, il n'y a pas vraiment eu de suite, je dois dire que ça m'a un peu dégoûtée des infirmières et des adultes en général...
C'est une impression :
-peut-être qu'ils s'en foutent comme tu dis
-mais peut-être que non
- peut-être que le jeu auquel tu joues (faire croire que tout va bien) ils y croient
-ou peut-être que ca les arrangent d'y croire parce que trop préoccupés par autre chose
- peut-être qu'ils ne savent pas comment te parler alors ils s’abstiennent (il y a des gens qui préfèrent ne rien faire/ne rien dire plutôt que de prendre le risque de se tromper ou de mal faire)
-peut-être qu'ils te négligent volontairement (j'y crois peu mais ca n'engage que moi, je peux me tromper)
- peut-être qu'ils se sentent impuissants ou qu'ils sont réellement démunis (n'ont pas reçu d'amour ou d'écoute de leurs propres parents dc ils passent à coté de leur rôle de parents sans s'en rendre compte, sans chercher activement à te faire du mal, juste par ignorance du rôle qu'ils devraient avoir )
-peut-être qu'ils pensent te donner le meilleur (ce qui ne veut pas dire que c'est le cas mais eux le pensent peut-être)
-peut-être qu'ils sont à leur maximum et sont dans l’incapacité de donner plus/de donner autrement
- peut-être que...tant de chose...

Tant que personne n'ouvre le dialogue, difficile de savoir. On a juste des impressions, impressions qui ne reflètent pas nécessairement la réalité.

Tu l'as vu combien de fois l’infirmière ? Elle t'a dit quoi ? Pas vraiment eu de suite, il y en a eu mais trop peu à ton goût ? tu aurais voulu qu'il se passe quoi ?
Fereth
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Fereth »

Je l'ai vue une seule fois. Et encore, pas parce que je le voulais. En fait, j'ai parlé de la situation avec mon frère à un adulte de confiance. Il s'est inquiété, et m'a un peu poussée à aller la voir. Il lui en a parlé à elle et à la cpe. Je n'ai fait que hocher la tête, acquiescer. Elle me paraissait hautaine, avec sa voix mielleuse et son regard du genre "je comprends tout". Je l'ai juste trouvée idiote, de faire comme si ça n'était pas grave, en posant des questions totalement hors sujet. Limite si elle ne m'accusait pas de tout ça. Bon. Résultat, j'ai eu un rendez- vous avec un.. Psychothérapeute, je crois? Je me souviens plus. Bref. Donc, je n'étais pas seule dans la salle avec lui, alors je me suis sentie bloquée, oppressée. Je n'ai pas voulu parler. Mes réponses étaient courtes, hésitantes, je regardais par la fenêtre, pour éviter à tout prix son regard. Je tremblais nerveusement. Ils nous ont convoqués tous les trois avec ma mère ensuite. J'ai été dégoûtée des psys en général, d'où ma décision de base de ne pas consulter. J'aurais aimé être seule avec quelqu'un et tout lâcher, qu'on m'écoute pour ce que je suis devenue, sans juger, sans regard ""bienveillant"" mais faux.. Pour la ts, personne ne m'a parlé, personne ne m'a vraiment expliqué le fond de la cause, je n'en ai que la moitié. J'allais voir ma mère à l'hôpital, je me cachais derrière des livres dans la salle d'attente, et je pleurais. Ça pouvait durer toute la séance. Je n'avais pas envie de la voir. Je dois dire que je la détestais, pour ce qu'elle avait osé faire. Je lui en veux encore aujourd'hui. On ne fait pas ça si l'on a des gens que l'on aime qui vont rester en vie, seuls. Ça m'a amenée à la conclusion qu'elle ne m'aimait pas tant que ça. Quand je dis que je n'ai eu aucun soutien, c'est- à- dire que personne ne m'a parlé en seul à seul pour m'expliquer, m'aider, me vider de tout ça. On m'a laissée seule face à la ts de ma mère.
Dubreuil
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Dubreuil »

[quote="Fereth"] ma mère a fait une dépression, tenté de se suicider sous mes yeux, et j'ai toujours pensé, je pense encore, que j'y suis un peu pour quelque chose.
*** Un enfant ne peut pas être responsable des actes de l'adulte. Il est dans le présent et dans l'ignorance de l'anticipation. Par contre l'adulte a tout un passé derrière lui, des expériences, des connaissances, de la réflexion acquise sur la vie et sur les choses. Et parfois une pathologie. Si comme lui, vous aviez pu savoir que telle ou telle chose aurait emmenée votre mère dans cet état morbide, jamais vous ne l'auriez faite.

Depuis 2 ou 3 ans, je me mutilais (j'ai arrêté en août), malheureusement j'ai remplacé ça par des bleus. Subissant du harcèlement moral et physique de mon frère, plus cette sorte d'asocialisme avec les gens que je ne connais pas (j'ai peu de vrais amis, je les vois le mercredi après-midi et le week- end), j'ai perdu tout confiance en moi, toute envie de vivre.
*** Se mutiler, dont les raison sont les mêmes que se frapper, se faire des bleus, c'est se punir.
Se mutiler c'est se sentir coupable de ne pas être celle que l'on pense que les autres voudraient que l'on soit.
C'est se dire que l'on déçoit. Que si on est violentée, grondée, humiliée c'est qu'on le mérite et que c'est bien fait pour nous. Et on en rajoute parce que l'on s'en veut de supporter cela et d'être à la fois aussi nulle.
Se mutiler c'est faire un temps que la douleur physique soit plus forte que la douleur morale.
Se mutiler c'est au moins faire ce que l'on veut sur soi et de soi, on a pas décidé de notre naissance, on peut au moins décider de notre souffrance.
Se mutiler c'est jouir. D'une certaine façon, se donner du plaisir.
Se mutiler c'est se punir d'avoir l'impression de n'être rien pour l'autre, de ne pas être aimée, ni appréciée, ni entendue.
C'est ne pas trouver les bons mots à dire aux bonnes personnes, et de les faire sortir avec le sang. Comme faire sortir sa colère sans faire de mal à l'autre.
C'est aussi avoir des idées de meurtre, de " mauvaises " sur celui ou celle qui nous empêche de vivre, de parler, d'évoluer, et d'avoir trouvé ce seul moyen pour ne pas aller encore plus mal.
C'est savoir que nous sommes dépendant de l'adulte, de l'autre, des autres, et qu'il faut ravaler sa colère et sa haine, attendre, toujours attendre pour être libre.
C'est avoir envie de secouer l'autre en lui disant tout le mal qu'il nous fait, tout le mépris que l'on a pour lui, et tout l'amour qu'on lui voue.
C'est encore bien d'autres choses, suivant son tempérament, son histoire..
Chaque fois que vous vous mutilez vous appelez à l'aide. Ce sont des tentatives de suicide..
Tout réside dans votre prise de conscience, celle de comprendre que vous n'êtes pas venue sur terre pour les autres, mais pour vous. Pour vous réaliser et faire de votre passage des moments de partage et de bonheur avec les bonnes personnes, et pas forcément votre entourage actuel.
Le temps semble s'être arrêté, vous voyez avec horreur la ligne de votre avenir, froid et sans éclaircies, vous pensez qu'il n'y a plus rien derrière votre horizon, que vous êtes née pour vivre ce que vous vivez aujourd'hui, encore et toujours.
Mais ce que vous vivez aujourd'hui est nécessaire pour vous puisque c'est ainsi que vous vous l'infligez. En quelque sorte vous faites patienter votre mort.
On meurt chaque jour. La mort " finale " n'est que l'aboutissement de nos petites morts symboliques quotidiennes. L'enfant " meurt " du sein de sa mère pour passer à une nourriture plus solide, à autre chose que la quiétude rassurante de son corps. Il faut toujours lâcher quelque chose, mourir à quelque chose ou à quelqu'un pour trouver sa place dans la vie, pour être libre et indépendant.
Vous en êtes aux grandes questions existentielles, des milliers de personnes, de philosophes, de poètes, se sont penchés sur ce qui vous fait peur aujourd'hui. Vous êtes intelligente et sensible, vous saurez quoi lire à ce sujet, et avec qui parler et qui rencontrer. La culture, aller aux conférences, lire des bouquins, etc.. apporte une grande paix intérieure et développe prodigieusement notre vue sur le monde. Une connaissance en appelle une autre, et c'est sans fin.
Vous n'êtes pas seule en vous-même si vous prenez soin de vous-même, si vous allez voir un psy quand vous vous sentirez trop tourmentée.
Un jour vous serez aimée pour ce que vous êtes, pour de vrai, pour de bon. N'en doutez pas.

Se mutiler, se faire du mal, c'est se punir.
Se punir de quelque chose que l'on ne sait pas exprimer, mais qui, quand on se fait du mal physiquement, cesse un temps de nous faire du mal moralement.
Si on se punit sans savoir pourquoi, c'est que dans son enfance on a cru être méchante et mériter que l'on ne soit pas aimée comme on voulait. Et comme on ne peut pas exprimer sa colère de ne pas être aimée, comme on ne peut pas en vouloir à ses parents ou autre, comme ils sont plus fort que nous, qu'ils sont tout-puissants, et que ce serait encore pire si ils savaient qu'on leur veut du mal parce qu'ils ne nous aiment pas, alors on se fait du mal à soi.
On se punit de ne pas savoir se rendre " aimable ".
Un peu comme si l'on se disait :
- C'est bien fait pour toi si on ne t'aime pas, tu ne mérites pas qu'on t'aime, allez prends ça, et encore ça !
Et bien sûr que ce n'est pas de la faute de l'enfant.
Bien sûr que ce sont les adultes qui sont violents et imposent à l'enfant leur bêtise, leur injustice, des coups ou mauvais traitements psychologiques !
Mais l'enfant croit que c'est normal, que c'est de sa faute, qu'il le mérite.
Alors il se punit d'être puni.
L'automutilation est donc due à beaucoup d'éléments propres à chaque personne, mais il en ressort toujours qu'elle se pratique sous le coup d'une grande souffrance morale, d'une intense culpabilité ou d'une croyance erronée basée sur des sévices psychiques ou corporels infligés par autrui et qui ont fait croire au sujet qu'il n'était pas digne d'être aimé, parfois même de vivre.
L'automutilation est également associée au masochisme extrême ou la jouissance de se faire mal, pour se punir d'une faute jugée impardonnable, est à un moment donné plus forte que la douleur physique et morale. Le sujet en éprouve alors une paix intérieure de quelque durée, jusqu'à ce qu'il se sente obligé de recommencer.
( Vous pouvez rencontrer ces symptômes psychiatriques, par exemple dans la religion catholique où des " saints " sont décrits comme se flagellant afin de se punir d'avoir eu des gestes ou des pensées impures. )
Le masochisme est très difficile à " guérir ", car il a souvent son écho avec une jouissance sadique provoquée par une autre personne, ou retournée contre le sujet lui-même, par lui-même.
Un des traits de l'auto-mutilation, c'est se punir de ne pas être aimé, donc de se dire que l'on ne mérite pas cet amour, donc de culpabiliser, donc de se punir. ( raccourci terrible, bien sûr )
Haut

Je ne sais plus quoi faire pour stopper ça. Je me sens vide, inutile, coupable.
*** De quoi vous sentez-vous coupable ? Si vous avez lu ce qui est écrit plus haut vous pouvez comprendre que cette culpabilité est le " retournement " d'une CROYANCE infantile. La culpabilité est la première chose que nous ressentons de la part des adultes non avertis de l'impact de leurs projections de leurs insuffisance et ignorance sur les enfants qui deviennent des boucs émissaires de leur propre mal-être.
Vous avez, par exemple subi des traumatismes de la part de votre frère, et cela n'a jamais été réglé...
Et un traumatisme non réglé donne des idées noires, de la colère rentrée, un désespoir infini...
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Fereth
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Fereth »

Je culpabilise, parce qu'il y a des choses que j'ai gardées pour moi, et je pense que si j'en avais parlé, ça aurait évité la ts et la dépression. Je crois que je culpabilise un peu d'exister..
Dubreuil
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Dubreuil »

Relisez doucement et calmement ce qui a été écrit. Vous verrez qu'exister ne vous concerne pas, ce n'est pas vous qui avez demandé à venir au monde. Par contre, maintenant que vous êtes consciente de tout cela, c'est à vous d'œuvrer pour votre équilibre psychologique.
Courage !
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Fereth
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Fereth »

Merci beaucoup! J'ai vu une affiche concernant une psychologue dans mon lycée, qui est là le lundi. Je devrais prendre rendez- vous, non?
Sabrina56
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Sabrina56 »

Je l'ai vue une seule fois.
Dommage que la seule fois ou tu eu pu faire un pas en avant, tu sois tombée sur une personne qui ne te convenait pas. Mais ça arrive, ça ne veut pas dire que tout ceux qui pourraient t'écouter à l'avenir agirons de la même manière avec toi.
Et encore, pas parce que je le voulais.


Le fait que tu te sois sentie "obligée" ou "poussée à" , a peut-être joué en ta défaveur.
En fait, j'ai parlé de la situation avec mon frère à un adulte de confiance. Il s'est inquiété, et m'a un peu poussée à aller la voir. Il lui en a parlé à elle et à la cpe. Je n'ai fait que hocher la tête, acquiescer. Elle me paraissait hautaine, avec sa voix mielleuse et son regard du genre "je comprends tout". Je l'ai juste trouvée idiote, de faire comme si ça n'était pas grave, en posant des questions totalement hors sujet.


Ne reste pas sur l'idée que tout le monde est comme elle.
Pense à toi avant tout, à ce dont tu as besoin. C'est plus courant qu'on ne le pense d'avoir affaire à une psy, une infirmière, un médecin ou tout autre profession de "soins" ou "d'accompagnement" avec qui ca coince pour mille et une raisons, entre les diverses personnalités (la notre comme celle du "soignant") ainsi que les diverses approches psys, ca ne peut pas le faire à chaque fois.
. Résultat, j'ai eu un rendez- vous avec un.. Psychothérapeute, je crois? Je me souviens plus. Bref. Donc, je n'étais pas seule dans la salle avec lui, alors je me suis sentie bloquée, oppressée. Je n'ai pas voulu parler. Mes réponses étaient courtes, hésitantes, je regardais par la fenêtre, pour éviter à tout prix son regard. Je tremblais nerveusement. Ils nous ont convoqués tous les trois avec ma mère ensuite. J'ai été dégoûtée des psys en général, d'où ma décision de base de ne pas consulter.
On ne connait pas l'histoire, peut-être que ce "psy.." pensait bien faire, peut-être que tu n'as pas émis le souhait du tête à tête ? je ne sais pas.

Ne bloque pas la dessus, ce serait vraiment dommage.
Tu vis dans une grande ville ? tu as peut-être un CMP proche de chez toi, dans lequel tu pourrais te rendre, seule ?


J'aurais aimé être seule avec quelqu'un et tout lâcher, qu'on m'écoute pour ce que je suis devenue, sans juger, sans regard ""bienveillant"" mais faux..
Si tu le souhaites, tu peux consulter cette page, tu trouveras des numéros d'appel anonymes et gratuits, avec qlqun au bout du fil pour t'écouter, et te conseiller.http://sobusygirls.fr/2013/11/07/les-nu ... s-la-main/

Pour la ts, personne ne m'a parlé, personne ne m'a vraiment expliqué le fond de la cause, je n'en ai que la moitié. J'allais voir ma mère à l'hôpital, je me cachais derrière des livres dans la salle d'attente, et je pleurais. Ça pouvait durer toute la séance. Je n'avais pas envie de la voir. Je dois dire que je la détestais, pour ce qu'elle avait osé faire. Je lui en veux encore aujourd'hui. On ne fait pas ça si l'on a des gens que l'on aime qui vont rester en vie, seuls. Ça m'a amenée à la conclusion qu'elle ne m'aimait pas tant que ça. Quand je dis que je n'ai eu aucun soutien, c'est- à- dire que personne ne m'a parlé en seul à seul pour m'expliquer, m'aider, me vider de tout ça. On m'a laissée seule face à la ts de ma mère
.

Tu peux avoir une écoute ici, au téléphone aussi, tu peux prendre rdv avec un(e) psy en CMP ;)
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Dubreuil »

Fereth a écrit :Merci beaucoup! J'ai vu une affiche concernant une psychologue dans mon lycée, qui est là le lundi. Je devrais prendre rendez- vous, non?
*** Oui, prenez rendez-vous.
Les psys n'ont pas tous les mêmes formations. Il se peut que celle-ci vous convienne parfaitement.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Fereth
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Re: Suicide, déprime?..

Message par Fereth »

Merci pour les réponses :), je prends rendez- vous demain si j'ai le temps, et j'habite dans une petite ville, mais il y a un cmp pas loin là où je suis en internat. C'est payant les psys en cmp, non?
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