gravée au seau de mon père ( en plusieurs partie)

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Aujourd'hui beaucoup de chose me reviennent. Mais c'est surtout ce sentiment de honte en moi qui me poussent a écrire! A me demander si je n'ai pas chercher ce qui m'arrive. Un événement avec un de mes cousin lors d'un rassemblement de famille chez ma grand mère me fait penser que si. C'est à dire que je m'asseyais toujours sur les genoux de mon cousin qui avait l'age d'être mon père! Et je m'étais fait gronder par mon père et ma grand mère qui me disaient que çà ne se faisait pas pour une petite fille. Comble de l'ironie puisque mon père avait déjà commencer a me faire sienne en intimité. Dès lors j'ai toujours eu peur de m'assoir sur les genoux d'un adulte homme. Par contre mon père m'y obligeait lors de mes visites chez lui... ils m'obligeait aussi à l'embrasser sur la bouche comme si j'étais sa femme. Bisous qu'il faisait également à mes frère mais différemment juste du bout des lèvres pour faire, en langage familier, un « bécot ». moi je lui appartenait, j'étais sa petite femme comme il savait très bien dire et la preuve il m'achetait toujours des bijoux.
Il y a aussi pour continuer sur la lancer d'être sa petite femme, le fait que toujours il m'appelait alors que je jouais avec mes frères dehors pour, comme il disait, faire des essayages d'habit pour voir les vêtements qui étaient trop petits! Ils se trouve que ces vêtement en question étaient des sous vêtements de ma mère qu'il avait gardé (comme si je pouvais grandir et prendre des formes rapidement en deux semaine) dans quel but à l'époque je ne sais pas mais il est bien clair qu'au vu des circonstances que je décris il avais des idée bien précise lui même.
Je ressens encore cette peur de la salle bain et de l'eau. Prétexte encore pour me toucher et m'embrasser de partout. Pour s'attarder sur mon entre jambe sur des sein imaginaire qu'il voyait et qu'il était le seul a voir. Tellement que j'en avais peur d'avoir des seins et d'être une fille! Plus tard j'attacherai même une importance a devenir garçon coté vestimentaire. Je me cacherai même pour ne pas que l'on remarque mes formes, je couperai mes cheveux court et j'aimerai les sport de garçons. C'est bizarre a dire mais quand je disais que je ne voulais pas il se faché et moi je cédais. D'un certain coté je ne voulais pas le decevoir et de l'autre j'avais peur qu'il se fache. Cette notion de ne pas le decevoir et partie au fur et a mesure que je grandissais et que je savais que ce n'était pas bien.
J'ai peur de cette eau sur moi, je ne supporte pas la vue de savonnette, je m'achète surtout des gels douche car le fait de frotter le savon dans mes mains me rappelle quand il me le faisait faire aussi pour me regarder. Chose qui n'a rien a voir avec ses gestes horrible, pendant les toilettes, spécialement le bain, il m'obligeait a mettre la tête sous l'eau et me la maintenait pendant des seconde qui me paraissaient interminables!
Cette histoire de savon reviendra toujours quand il voulait se frotter à moi et qu'il disait «  çà glissera mieux ». il fallait toujours que je fasse ma toilette et chaque excuses étaient bonne pour qu'il se frotte a moi ou qu'il pose ses lèvres sur chaque partie de mon corps. Mes frère n'étaient pas cool avec moi mais je préférais rester avec eux. Je me souviens encore de leur étonnement qui s'éteignait au fur et a mesure des années quand mon père m'appelait pour les essayages et qu'il n'avait en aucun cas droit a venir nous déranger. Ou même qu'il les envoyer tous ensemble sortir la chienne en faisant plusieurs fois le tour du quartier. La pauvre chienne elle en a fait des kilomètre...ils m'ont dit plus tard qu'ils savaient ce qui se passait par rapport au cris du soir ou de la sieste.

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Je me souviens encore quand il allait aux toilettes, il me faisait m'assoir sur ses genoux et frotter son sexe sur le mien et urinait. Je me souviens de la chaleur qui brulait ma peau et de l'odeur dégoutante. Desfois il le faisait en plein milieu du repas et c'était tout juste impossible de continuer à manger après çà! J'avais déjà des problèmes pour manger et cela n'arrangeait pas mon problème. Pour lui c'était simple et rapide car il m'habillait toujours en jupe et sans culotte. Sauf quand j'allais jouer dans la rue avec mes frères il m'en faisait mettre une. Il fallait que çà soit le plus pratique possible. Et lorsqu'il s'apercevait que j'avais mis une culotte sans son autorisation il me pinçait et m'envoyait l'enlever. Je détestais être sur ces genoux car il me faisait me placer juste sur son sexe et se frotter et me toucher en même temps. Même quand on jouait en famille il avait l'art de porter l'attention sur la table de jeux et que rien ne s'aperçoive alors qu'il profitait de la situation. L'appréhendais le soir. Quand on regardait la tv dans son lit. Les petits toujours avec lui l'un de chaque coté et les grands sur une chaise l'un de chaque coté du lit. Les jambes toujours pliées pour ne pas que l'on remarque les geste sur moi. J'étais obligé moi aussi de mettre ma main sur son pénis et de le frotter. Et quand je m'arrêtais il me faisait un mouvement d'épaule pour que je continue.
Une fois que le film était fini il nous envoyait chacun dans notre chambre. J'avais ma chambre en princesse de la maison que j'étais, et puis à ses dires les filles et les garçons ne devaient pas être ensemble. Ce qui l'arranger car personne devait me voir à par lui et il pouvait venir m'embêter quand il avait envie. Mais ce n'était pas souvent que c'était lui qui venait.... quand il avait envoyer tout le monde se coucher, il attendait un moment pour que tout le monde puisse s'endormir (à ce qu'il croyait) et puis j'entendais un toc toc sur la cloison qui le séparait de moi. C'était le signal pour que je le rejoigne. J'ai bien essayer de faire semblant de dormir mais il insistait et j'avais tellement peur de lui que j'y allais. Il faut dire que les fois ou j'ai vraiment résisté et pas répondu en me cachant sous ma couverture, je l'entendais déboulé dans ma chambre et j'étais rouée de coup et il m'emmenait de force. Après je ne sais plus comment çà se passer mais c'était l'enfer. Il me caressais se frottait. Et c'est la que je n'arrive pas a me souvenir s'il y a eu pénétration. Je sais que les doigt il les a mis mais je n'arrive plus à me rappeler de çà! Je reste avec mes doutes de cette sensation d'avoir connu la douleur quand on me pénètre. Mais ce qui me pose problème aujourd'hui c'est d'avoir ressenti du désir, pourquoi a certain moment je retenais sa main pour qu'il continue? Çà me prenait tout le bas du ventre et j'étais mouillé. Pourquoi me souvenir de cette sensation et de ce désir et pas s'il m'a pénétrer? Une fois qu'il avait sa petit affaire il s'allongeait sur le dos repu et me faisait mettre son pénis dans la bouche et le caressait. Il me tenait des fois la tête et mettait du rythme à son bon vouloir. Mais des fois il faisait semblant de s'endormir ou s'assoupissait carrément sous le plaisir. Donc moi je pensais être tranquille et j'arrêtais mais ce n'était que de courte durée car il m'y remettait de force. Des fois j'avais juste le temps d'enlever ma bouche alors qu'il éjaculait. Aujourd'hui encore je ne peux pas voir du sperme ou le sentir sur moi. J'en vomis dessuite.
Ce qui me dégouter aussi c'est quand il me faisait tenir le saut sur le coté du lit pour qu'il urine. Monsieur avait tendance à dire qu'il était trop fatigué.
Dans ce malheur il y a une chose d'à peu près bien. Mon père buvait. Il buvait a l'excès et s'en prenait à tout le monde y compris aux voisins, à la vie qui lui avait volait son père pendant la guerre... il passait ses soirées à mettre sa musique avec ses disque vinyle en boucle. Une fois qu'il avait décideé qu'il avait assez emmerder le monde, et c'est pas exagéré, il me faisait ranger tout les disques dans leur pochette et en inventer même pour ceux qui en avait pas. Je dis qu'il me le faisait faire quand je me suis retrouvée seule avec mon petit frère mais avant c'était mes grand frère qui le faisait. Pour revenir au rangement des disques, je les rangeais mais il se trouve qu'il y en avait qui n'avait pas de pochette. Mais quand je lui disais il se mettais dans une rage folle et me frappait. Une fois je me souviens qu'il a frappé tellement fort que j'ai cru qu'il m'avait cassé le nez et c'est à la vue du sang qu'il s'est calmé. En me soignant il pestait encore contre je ne sais plus quoi. Tout çà pour dire que quand il buvait ou on le ramassait avec mes frères ou mon frère quand on était tout les deux et on le tirait sur le carrelage jusqu'à la chambre et il avait un sursaut où il montait tant bien que mal dans le lit ou il s'affalait, ou bien on allait se couchait tous dans notre chambre comme d'habitude et il m'appelle en tapant contre la cloison. Et c'est la mon moment préféré! J'avais appris par expérience que mon père n'avait aucune force et aspiré à dormir comme les personnes soules. Il m'appelait, commençait mais voulait plutôt que çà soit moi qui lui fasse des choses. çà ne durait en général pas longtemps et j'attendais qu'il ronfle sans trop me forcer à faire grand chose et je partais dans ma chambre me coucher. Ce n'était pas tout le temps qu'il se mettait la tete à l'envers donc je passais très peu de moments tranquille comme çà! De toute façon le lendemain c'était rebelote, je n'échappais pas aux éternels essayages et au reste. Le wd était court mais long a mon goût et personne ne comprenait pourquoi je partais en crise d'angoisses quand je devais y aller.

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Je me souviens encore quand il allait aux toilettes, il me faisait m'assoir sur ses genoux et frotter son sexe sur le mien et urinait. Je me souviens de la chaleur qui brulait ma peau et de l'odeur dégoutante. Desfois il le faisait en plein milieu du repas et c'était tout juste impossible de continuer à manger après çà! J'avais déjà des problèmes pour manger et cela n'arrangeait pas mon problème. Pour lui c'était simple et rapide car il m'habillait toujours en jupe et sans culotte. Sauf quand j'allais jouer dans la rue avec mes frères il m'en faisait mettre une. Il fallait que çà soit le plus pratique possible. Et lorsqu'il s'apercevait que j'avais mis une culotte sans son autorisation il me pinçait et m'envoyait l'enlever. Je détestais être sur ces genoux car il me faisait me placer juste sur son sexe et se frotter et me toucher en même temps. Même quand on jouait en famille il avait l'art de porter l'attention sur la table de jeux et que rien ne s'aperçoive alors qu'il profitait de la situation. L'appréhendais le soir. Quand on regardait la tv dans son lit. Les petits toujours avec lui l'un de chaque coté et les grands sur une chaise l'un de chaque coté du lit. Les jambes toujours pliées pour ne pas que l'on remarque les geste sur moi. J'étais obligé moi aussi de mettre ma main sur son pénis et de le frotter. Et quand je m'arrêtais il me faisait un mouvement d'épaule pour que je continue.
Une fois que le film était fini il nous envoyait chacun dans notre chambre. J'avais ma chambre en princesse de la maison que j'étais, et puis à ses dires les filles et les garçons ne devaient pas être ensemble. Ce qui l'arranger car personne devait me voir à par lui et il pouvait venir m'embêter quand il avait envie. Mais ce n'était pas souvent que c'était lui qui venait.... quand il avait envoyer tout le monde se coucher, il attendait un moment pour que tout le monde puisse s'endormir (à ce qu'il croyait) et puis j'entendais un toc toc sur la cloison qui le séparait de moi. C'était le signal pour que je le rejoigne. J'ai bien essayer de faire semblant de dormir mais il insistait et j'avais tellement peur de lui que j'y allais. Il faut dire que les fois ou j'ai vraiment résisté et pas répondu en me cachant sous ma couverture, je l'entendais déboulé dans ma chambre et j'étais rouée de coup et il m'emmenait de force. Après je ne sais plus comment çà se passer mais c'était l'enfer. Il me caressais se frottait. Et c'est la que je n'arrive pas a me souvenir s'il y a eu pénétration. Je sais que les doigt il les a mis mais je n'arrive plus à me rappeler de çà! Je reste avec mes doutes de cette sensation d'avoir connu la douleur quand on me pénètre. Mais ce qui me pose problème aujourd'hui c'est d'avoir ressenti du désir, pourquoi a certain moment je retenais sa main pour qu'il continue? Çà me prenait tout le bas du ventre et j'étais mouillé. Pourquoi me souvenir de cette sensation et de ce désir et pas s'il m'a pénétrer? Une fois qu'il avait sa petit affaire il s'allongeait sur le dos repu et me faisait mettre son pénis dans la bouche et le caressait. Il me tenait des fois la tête et mettait du rythme à son bon vouloir. Mais des fois il faisait semblant de s'endormir ou s'assoupissait carrément sous le plaisir. Donc moi je pensais être tranquille et j'arrêtais mais ce n'était que de courte durée car il m'y remettait de force. Des fois j'avais juste le temps d'enlever ma bouche alors qu'il éjaculait. Aujourd'hui encore je ne peux pas voir du sperme ou le sentir sur moi. J'en vomis dessuite.
Ce qui me dégouter aussi c'est quand il me faisait tenir le saut sur le coté du lit pour qu'il urine. Monsieur avait tendance à dire qu'il était trop fatigué.
Dans ce malheur il y a une chose d'à peu près bien. Mon père buvait. Il buvait a l'excès et s'en prenait à tout le monde y compris aux voisins, à la vie qui lui avait volait son père pendant la guerre... il passait ses soirées à mettre sa musique avec ses disque vinyle en boucle. Une fois qu'il avait décideé qu'il avait assez emmerder le monde, et c'est pas exagéré, il me faisait ranger tout les disques dans leur pochette et en inventer même pour ceux qui en avait pas. Je dis qu'il me le faisait faire quand je me suis retrouvée seule avec mon petit frère mais avant c'était mes grand frère qui le faisait.

[afleurdepeaudu83]

Pour revenir au rangement des disques, je les rangeais mais il se trouve qu'il y en avait qui n'avait pas de pochette. Mais quand je lui disais il se mettais dans une rage folle et me frappait. Une fois je me souviens qu'il a frappé tellement fort que j'ai cru qu'il m'avait cassé le nez et c'est à la vue du sang qu'il s'est calmé. En me soignant il pestait encore contre je ne sais plus quoi. Tout çà pour dire que quand il buvait ou on le ramassait avec mes frères ou mon frère quand on était tout les deux et on le tirait sur le carrelage jusqu'à la chambre et il avait un sursaut où il montait tant bien que mal dans le lit ou il s'affalait, ou bien on allait se couchait tous dans notre chambre comme d'habitude et il m'appelle en tapant contre la cloison. Et c'est la mon moment préféré! J'avais appris par expérience que mon père n'avait aucune force et aspiré à dormir comme les personnes soules. Il m'appelait, commençait mais voulait plutôt que çà soit moi qui lui fasse des choses. çà ne durait en général pas longtemps et j'attendais qu'il ronfle sans trop me forcer à faire grand chose et je partais dans ma chambre me coucher. Ce n'était pas tout le temps qu'il se mettait la tete à l'envers donc je passais très peu de moments tranquille comme çà! De toute façon le lendemain c'était rebelote, je n'échappais pas aux éternels essayages et au reste. Le wd était court mais long a mon goût et personne ne comprenait pourquoi je partais en crise d'angoisses quand je devais y aller. La j'ai réussi à prendre la parole pour aider mamie et dire que mamie lui parlait et qu'il se devait de lui répondre alors qu'elle a fait tout ce chemin pour le voir. Lui comme elle ont été surpris de mon audace et papa a arrêter de faire sa mauvaise tête. Il a même essayer de faire entendre sa voix quand j'ai répondu à ma mamie que l'un des pendentif que je portais était de ma mère. Ce qui a eu le don de l'énerver comme tout ce qui touche a ma mère.... il m'a fait sa tête de quand j'étais petite quand il m'interdisait de vouloir voir ma mère! Et c'est la seconde chose qui m'a fait sortir de mes gong! Je lui ai rétorqué que maintenant je suis adulte et que je voyais qui je voulais et que ma mère faisait partie de ma vie tout comme lui et que je continuerai à la voir que ça lui plaise ou pas! Ma grand mère a été encore surprise de mon franc parler... et lui n'a plu osé dire quoi que ce soit! Mais c'est les seules choses que j'ai pu lui dire, incapable de revenir sur les bonnes choses que j'avais prévu de dire! Donc depuis je reste sur ma faim car j'ai eu cette occasion de lui dire ce que je pensait mais aucune parole liées à ses gestes ne sont sorties. Je commence a me demander si c'est la peur ou la vue d'une personne âgée qui m'a rebuté. Sur le moment je n'avait pas vraiment peur. Car je me retrouvais devant quelqu'un sans force. Ce qui m'a fait mal c'est de voir son visage, même différent il avait encore ce visage que je voyais encore dans mes cauchemars et que je vois encore d'ailleurs! L'image est plus flou mais je ressent encore l'expression de son regard sur moi et cette insistance, cette appartenance. Je me souviens encore de cette voix qui me dit que je suis sa petite femme. C'est sans doute a cause de çà que je me sens jamais totalement à quelqu'un. Je pense tout donner mais en fin de compte je ne donne pas vraiment la vrai personne. Je donne celle que je doit etre au regard des autres, je me soumet au désir d'une personne mais par devoir... mon père m'a fait sienne pour toujours et j'ai l'impression que je le serai a jamais. On dirait que c'est une impression de tromperie et que j'ai comme graver sur moi l'emprunte de mon père comme un seau. J'ai l'impression que c'est écrit sur moi et que chaque fois çà repousse mes compagnons. Je me sens sale, vraiment sale et indésirable. Il m'a sali à jamais pour que je n'appartienne plus à personne que je ne plaise plus à personne. Je repousse toujours le bonheur inconsciemment et sans le faire exprès je détruis ou ne vois pas ce que l'on m'offre. Je crois que je vis a travers les gens mais par pour quelqu'un .

[afleurdepeaudu83]

pour l'instant je commence a peine a en parler! mais il est vrai que sa me fait du bien d'en parler meme si sa me remue enormément!

[afleurdepeaudu83]

c'est deja beaucoup gilou! et je t'en remercie! on dirait que d'avoir tout écrit çà m'a libérer! je ne ressens plus autant cette impression d'etouffer! j'en parlerai a mon infirmière du cmp demain a mon rdv!

[afleurdepeaudu83]

aujourd'hui l'infirmière du cmp m'a remis sur la table mes fantasme pour les filles! elle m'a fait me demander pourquoi j'avais tant ces envies... je croyais que c'était du naturel pour moi comme beaucoup de filles qui sont bi ou lesbiennes mais aparement pour moi c'est une avertion pour la gente masculine. et pourtant je suis en couple avec un homme... je crois que je fantasme sur des femmes pour evader mon esprit et moins souffrir! pourtant encore je repete je suis avec mon homme et je l'aime!

[lyza]

Et quel homme ? Sur ton autre post, ton conjoint t'empêche de t'exprimer, tu deviens petit à petit sa marionnette : tu n'as pas le droit de lui parler de ton problème car ça LE dérange, tu n'as pas le droit d'exprimer tes idées parce que tu n'as pas de boulot... Petit à petit, il t'enferme, tu as échappé à une relation douloureuse pour te retrouver progressivement dans une autre

As-tu contacté Antony ?

[afleurdepeaudu83]

oui je l'ai contacter mais il ne m'a pas repondu

[lyza]

il faut un peu de temps pour qu'il le fasse, et le week-end il est un peu plus dispo. Tu as envoyé il y a combien de temps ?