Comment arrêter la scarification
Comment arrêter la scarification
J'ai plusieurs questions auxquelles je ne trouve pas de réponse :
-Comment gérer mes envies de scarification, me retenir ?
-Est-ce normal d'y penser tous les jours ?
-Combien de temps vont durer mes moments de déprime quand je ressens le besoin de le faire ?
-Est-ce que je risque de tomber dans une autre dépendance (TCA, alcool...) pour remplacer l'addiction à la scarification ?
-Comment réagis mon cerveau, mon corps face à cet arrêt ?
-Est-ce que je peux devenir agressive, stressée ?
-Écrire un journal peut-il m'aider ?
-Comment arrêter la scarification ?
Pour info j'ai arrêté depuis une semaine et le faisait depuis 4 ans.
-Comment gérer mes envies de scarification, me retenir ?
-Est-ce normal d'y penser tous les jours ?
-Combien de temps vont durer mes moments de déprime quand je ressens le besoin de le faire ?
-Est-ce que je risque de tomber dans une autre dépendance (TCA, alcool...) pour remplacer l'addiction à la scarification ?
-Comment réagis mon cerveau, mon corps face à cet arrêt ?
-Est-ce que je peux devenir agressive, stressée ?
-Écrire un journal peut-il m'aider ?
-Comment arrêter la scarification ?
Pour info j'ai arrêté depuis une semaine et le faisait depuis 4 ans.
Re: Comment arrêter la scarification
Avant tout, as-tu déjà été suivis pour tes mutilations ?
Re: Comment arrêter la scarification
Je l'ai été. Et ça ne m'a pas été utile.
Re: Comment arrêter la scarification
Pose toi cette question:
- Pourquoi te faire du mal ?
Disons que tu n' arrives pas à extériorisé ta souffrance ( qui est plus à l' intérieur qu' à l' extérieur ). Que tu cherches en quelques sorte à soulager tes douleurs, comme un moyen de te punir lorsque tu sens coupable de quelque chose...
Après ton automutilation peut-être sujet à d' autres problèmes que tu as, il faut trouver la cause qui ont fait que tu as déclencher si puis-je dire ton automutilation...
Il faut déjà que tu traites ton mal être,
- Pourquoi te faire du mal ?
Disons que tu n' arrives pas à extériorisé ta souffrance ( qui est plus à l' intérieur qu' à l' extérieur ). Que tu cherches en quelques sorte à soulager tes douleurs, comme un moyen de te punir lorsque tu sens coupable de quelque chose...
Après ton automutilation peut-être sujet à d' autres problèmes que tu as, il faut trouver la cause qui ont fait que tu as déclencher si puis-je dire ton automutilation...
Il faut déjà que tu traites ton mal être,
Re: Comment arrêter la scarification
Après je m' y connais pas trop, les autres t' éclaireront mieux que moi mais à mon avis seule une thérapie pourrait t' aider, reste à trouver la bonne. Tapes automutilation sur la recherche du forum, doit y avoir des sujets similaires, peut-être que cela pourra aussi t' aider à y voir plus clair.
Re: Comment arrêter la scarification
Je sais déjà ce qui me pousse à le faire, j'ai vécu des choses qui m'ont fait beaucoup de mal. Maintenant j'ai décidé d'arrêter je me posais juste des questions c'est tout.
Re: Comment arrêter la scarification
Je me mutilais moi aussi a un moment donné... J'ai arrêté quand j'ai enfin exploser et dit se que j'avais a dire aux personnes qui sans le vouloir m'avait poussé à le faire. Il m'arrivait tellement de m**rde en même temps, personne chez moi n'était la pour m'écouter, m'aider, me soutenir, parfois j'étais tellement en colère que pour "évacuer" je me faisait mal et puis c'est devenu une habitude. Je me faisait mal pour ne pas blesser les personnes qui me faisait souffrir mais que j'aimais...
En espérant que cela t'aide un peu...
En espérant que cela t'aide un peu...
Re: Comment arrêter la scarification
L'automutilation est une drogue, je pense que tout le monde sera d'accord. La meilleure chose que j'ai trouver pour arrêter, et qui a aussi aider des amies, c'est de trouver un point d'accroche, un soutien dans son entourage, quelqu'un qu'on ne veut pas décevoir, ou alors se trouver un but sur lequel se concentrer. Évidemment, il faut aussi beaucoup de volonté, et parfois, se confier ne fait pas de mal.
Tu te mutilais pour te punir? Pour te sentir plus vivante? Pour avoir une souffrance physique plutôt que morale? Il y a beaucoup de raisons, et chacune a besoin d'être traitée un peu différemment. Je prend mon cas une fois de plus comme exemple, car c'est celui que je comprend le mieux: je me coupais sur tout le corps pour me punir de ce que je faisais de mal mais surtout pour "traduire" en souffrance physique mon mal intérieur. Pour arrêter, j'ai dû trouver un substitut a la souffrance physique. J'ai décidé d'écrire de nombreux poèmes dès que j'avais besoin de m'ouvrir. Maintenant, ce besoin s'est transformé en envie passagère. Ça fait 6 mois que j'ai arrêté. Je me suis coupée pendant 5 ans.
Je ne suis pas forcément l'exemple parfait, mais pour avoir essayer, je peux te dire que l'art permet parfois d'extérioriser ce que l'on ressent, sans nécessairement avoir besoin d'un lame.
Pour répondre plus directement a tes questions: tu risques de tomber dans une autre dépendance, mais bon, mieux vaut une clope fumée qu'une veine coupée. C'est "normal" d'y penser souvent. Même après tout ce temps, j'y pense encore régulièrement. Tes moments de déprimes dépendent de tes problèmes et de ta façon de les voir/subir. Pour gérer tes envies, appuie toi sur ton entourage ou fixe toi un objectif précis et faisable. La satisfaction de réussir quelque chose est un bon remontant. Tu peux devenir stressée et agressive, ou pas. Ça dépend de toi. Ton corps réagira bien: physiquement, il cicatrisera enfin, moralement, ça peut t'aider a remonter la pente.
Écrire un journal peut t'aider.
Tu te mutilais pour te punir? Pour te sentir plus vivante? Pour avoir une souffrance physique plutôt que morale? Il y a beaucoup de raisons, et chacune a besoin d'être traitée un peu différemment. Je prend mon cas une fois de plus comme exemple, car c'est celui que je comprend le mieux: je me coupais sur tout le corps pour me punir de ce que je faisais de mal mais surtout pour "traduire" en souffrance physique mon mal intérieur. Pour arrêter, j'ai dû trouver un substitut a la souffrance physique. J'ai décidé d'écrire de nombreux poèmes dès que j'avais besoin de m'ouvrir. Maintenant, ce besoin s'est transformé en envie passagère. Ça fait 6 mois que j'ai arrêté. Je me suis coupée pendant 5 ans.
Je ne suis pas forcément l'exemple parfait, mais pour avoir essayer, je peux te dire que l'art permet parfois d'extérioriser ce que l'on ressent, sans nécessairement avoir besoin d'un lame.
Pour répondre plus directement a tes questions: tu risques de tomber dans une autre dépendance, mais bon, mieux vaut une clope fumée qu'une veine coupée. C'est "normal" d'y penser souvent. Même après tout ce temps, j'y pense encore régulièrement. Tes moments de déprimes dépendent de tes problèmes et de ta façon de les voir/subir. Pour gérer tes envies, appuie toi sur ton entourage ou fixe toi un objectif précis et faisable. La satisfaction de réussir quelque chose est un bon remontant. Tu peux devenir stressée et agressive, ou pas. Ça dépend de toi. Ton corps réagira bien: physiquement, il cicatrisera enfin, moralement, ça peut t'aider a remonter la pente.
Écrire un journal peut t'aider.
Les sourires sont comme les bâillements, il en suffit d'un pour en voir sur tous les visages
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